1 / 10 http://www.samaritani.ch Responsabilità al volante dei «bisonti» 10 I Intervista alla presidente centrale 14 I Ambulanze, luci blu e sirene 16 I Il Gruppo HELP di Tenero-Contra 21 I Patrick Rohr alle Giornate d’Impulso ENFIN! Sylvia: J’avais tellement perdu de poids en 1 semaine que j’ai annulé mon rendez-vous pour une chirurgie gastrique! Un traitement naturel contre l’obésité a été développé. Sylvia nous raconte comment grâce à un procédé révolutionnaire elle a perdu 22 kg en 7 semaines alors qu’elle était désespérée et décidée à se faire poser un ballon gastrique. passés et j’avais 25 kilos en trop. J'avais tellement essayé de procédés miracles que je ne croyais plus à rien. Je ne trouvais plus rien à m’habiller, je n'osais pas sortir et la plage était devenue un supplice. Mais le pire, c’étaient les réflexions de mon mari et de mon fils que je ne veux pas rapporter ici. Enfin, au niveau affectif avec mon mari cela devenait catastrophique. Et puis un jour, à la télé, j’ai vu une émission sur les chirurgies gastriques pour les personnes qui souffrent et qui n’arrivent pas à maigrir. En réalité, il s’agit de placer un ballon dans l’estomac. Par conséquent, on ne peut pas manger beaucoup et donc on maigrit. Au bout du rouleau et prête à tout pour redevenir une vraie femme, je suis allée voir mon médecin. Je lui ai dit que je voulais faire cette opération. Finalement, nous avons fixé une date pour l’intervention. J’avais pris une décision radicale et j’étais convaincue du résultat. Le jour après, j'ai confié cette décision à ma meilleure amie Monica. Le lendemain, elle m’a appelé pour me dire que son mari qui est ingénieur biologiste, avait entendu parler d’un nouveau procédé qui assure le même effet, mais qui évite les inconvénients d’une intervention chirurgicale. Il s’agissait d’une sorte de poudre qui gonfle pour atteindre un volume multiple dans l’estomac et permet d’agir comme le ferait un ballon gastrique. Deux jours après, elle était devant ma porte avec le paquet contenant la poudre miracle qu’il fallait prendre sous forme de capsules. Quand j'ai lu la composition, j’ai constaté qu’il s’agit d’un dispositif médical certifié et à 100% naturel qui n'entraîne aucun effet secondaire nocif. Je pensais surtout à mon opération qui appro- chait (c’était dans 10 jours). Je me suis dit que ce serait une bonne occasion de m'y habituer. Alors j'ai pris 3 capsules une demiheure avant chaque repas principal et l’effet a été immédiat. Je mangeais ce que je j’aimais, mais je ne n'avais plus ces pulsions qui vous font grignoter toute la journée. Après 3 jours, j'avais perdu 1,5 kilos et en fin de semaine, la balance a affiché 3,5 kilos de moins. Il me restait 3 jours avant l'opération. J’ai appelé mon médecin pour lui raconter ce qui m'arrivait. Quand je lui ai parlé de la composition de PLANTO-SLIM (c'est le nom de ces capsules qui contiennent cette poudre miracle), il n'a pas été étonné.Il m'a dit que j’avais réalisé naturellement ce que je m’étais préparé à faire avec une opération chirurgicale. Nous avons décidé ensemble d’annuler mon opération et de suivre les résultats ensemble chaque semaine. Evidemment, j’ai continué à perdre du poids régulièrement. Le premier mois j’avais perdu exactement 13 kilos – et cela sans faire aucun effort particulier. Je mangeais ce que j’aimais, à ma faim avec un sentiment de satiété que j'avais oublié depuis longtemps. Je me sentais en pleine forme. J’ai perdu 22 kilos après 7 semaines. Là, mon médecin m’a dit stop c’est assez. J’avais peur de reprendre du poids en arrêtant de prendre PLANTO-SLIM. Pour éviter donc l’effet yoyo bien connu, je prends tout simplement 2 capsules de PLANTO-SLIM avant des repas particulièrement riches en calories, mais c'est tout. J’ai enfin la silhouette dont j’ai si longtemps rêvé et avec mon mari j’ai des relations affectives plus belles que jamais auparavant. POURQUOI PLANTO-SLIM AGIT COMME UN BALLON GASTRIQUE NATUREL PLANTO-SLIM agit selon le même principe que le ballon gastrique qui est introduit dans le cadre d'une opération (ce ballon doit remplir l’estomac). La différence c’est que PLANTO-SLIM est à 100% naturel. Chaque jour vous perdez du poids sans sensation de faim. Découvrez-en les raisons ci-dessous … 1) Sensation de satiété pour longtemps Les capsules PLANTO-SLIM sont remplies de poudre de glucomannane de konjac, un extrait végétal de la racine de konjac spécialement traité. En prenant cette poudre avec de l'eau, celle-ci gonfle dans l'estomac jusqu'à atteindre 200 fois son volume normal et forme une masse gélatineuse qui enferme les composants alimentaire broyés. Ainsi, vous mangez nettement moins que d’habitude car votre estomac est rempli plus rapidement. Grâce à cette sensation de satiété durable et agréable vous ne ressentez plus de sensation de faim omniprésente. La poudre elle-même est éliminée de manière naturelle sans être digérée. PLANTO-SLIM peut être pris à volonté. 2) Réduit l’absorptionde calories En outre, PLANTO-SLIM retarde l'absorption de graisses et réduit la quantité de glucides qui sont absorbés par la nourriture. Le résultat? Non seulement, vous mangez moins, mais aussi vous absor- bez moins de calories de ce que vous mangez. De cette manière, vous perdez automatiquement de poids et ce, sans avoir faim un seul instant. 3) Remboursement garanti N'hésitez pas et commandez PLANTO-SLIM encore aujourd’hui. Si vous ne perdez pas de poids avec PLANTO-SLIM, nous vous remboursons votre argent sans discuter. C’est honnête, n’estce pas? Avalées avec de l’eau, ces capsules agissent comme un ballon gastrique naturel. + + = = ‘ Si vous souhaitez perdre du poids normalement, prenez 2 capsules avant chaque repas principal. ‘ Si vous souhaitez perdre du poids rapidement, prenez 3 capsules avant chaque repas principal. Trendmail SA, Service-Center Bahnhofstr. 23, 8575 Bürglen TG Tel. 071 634 81 25, Fax 071 634 81 29 www.trendmail.ch BON DE COMMANDE ! OUI, je commande contre facture (10 jours) + participation aux frais d'envoi (Fr. 5.90) comme suit: Veuillez cocher ci-dessous le régime souhaité: o PLANTO-SLIM régime 10 jours (64 capsules) o No d'art. 3603 o No d'art. 3601 Fr. 48.– PLANTO-SLIM régime 1 mois (192 capsules) ‘ Recommandé pour des résultats optimaux! au lieu de Fr. 144.– seulement Fr. 98.– ! PLANTO-SLIM régime 2 mois (384 capsules) No d'art. 3606 au lieu de Fr. 288.– Monsieur o o seulement Fr. 178.– ! Madame Nom: Prénom : Rue/N°: NPA/lieu: A envoyer à: Trendmail SA, Service-Center, Bahnhofstr. 23, 8575 Bürglen TG 205-218 on histoire est somme toute assez banale... Pour résumer, entre 23 ans, quand j’ai eu mon M fils unique, et hier si je puis dire, 10 ans s’étaient Editoriale Sommario Sommario Reportage 04 | Autisti professionisti Una giornata con un camionista per ca pire i rischi del mestiere, e non solo sulla strada. Ricette di successo 07 | L’importanza dei giovani I giovani membri sono molto importanti per la vita della Sezione, come avvicinarli. Un anno è già passato … Buon Anno! Quella mattina nevicava molto. Ep pur mi sembra ieri. Salivo il Ceneri lungo l’autostrada innevata e supe rando i parecchi … bisonti della stra da fermi o di traverso senza catene … L’appuntamento per il colloquio era nella sede della ASSTM di Rivera. Lì ho incontrato con piacere e per la prima volta il Capo del Settore co municazione di Olten Eugen Kiener e il nostro presidente cantonale An drea Rusconi. Pochi giorni dopo, loro e i colleghi della redazione di Olten, avrebbero «tirato assieme», proprio durante le festività natalizie e non senza mille interrogativi, il pri mo numero della nuova rivista «oggi Samaritani». Io ho avuto il grande piacere e la fortuna di poter conti nuare, in un buon e stimolante am biente di lavoro, questa sfida con il secondo numero della rivista e tutti i successivi. E questo grazie alla fiducia accordatami dal Settore comunica zione di Olten e grazie anche e so prattutto a tutti voi, cari Samaritani! Una sfida, dico, poiché questa nuova rivista come pure le Newslet ters fanno parte di un nuovo modo di comunicare e di rapportarsi con i soci voluto dalla Federazione svizze ra dei Samaritani. Una sfida che, dopo un anno, mi sembra sia stato più che giusto cogliere ed affrontare, proprio per dare al movimento sa maritano svizzero anche un’unità di informazione oltre che di immagine. E mi sembra che piano piano ci stia mo riuscendo. Ma si può ancora mi gliorare e fare molto, come lo ribadi sce, in questo numero, la nostra presidente centrale Monika Dusong. L’importante è crederci, provare, a volte fare il primo passo e non mol lare il pedale … dell’entusiasmo. E’ quello che auguro a tutti voi per il 2010, care Samaritane e cari Samari tani! Attualità dalla Federazione Sezioni e Associazione 10 | Intervista a Monika Dusong La presidente della FSS parla degli ob biettivi per il nuovo anno: aumentare le sinergie. 16 | Sezioni ticinesi si raccontano Un nuovo Gruppo Help a Gordevio, le attività di quello di Tenero e voci da Canobbio. Buono a sapersi 18 | Anatomia umana L’apparato locomotore attivo: impariamo a conoscerne meglio il funzionamento. Ritratto 21 | Patrick Rohr Il successo e il carisma di un moderatore TV che sa parlare alla gente e comunicare. Sommario E ditoriale 03 Mara Zanetti Maestrani oggi samaritani 1/10 Reportage 04 In Svizzera sono ben 80 000 gli autisti professionisti in circolazione Dove il viaggio è ancora il lato meno pericoloso Trasportare, scaricare, consegnare, ritirare … e tutto velocemente: il tempo stringe. In Svizzera, 80 000 autisti professionisti guadagnano la loro pagnotta praticamente al volante. Tuttavia, il viaggio in sé è ancora la parte meno pericolosa di questa professione, come ha potuto constatare il reporter che ha passato una giornata con un camionista. Testo e foto: James D.Walder La vista sull’autostrada dall’alto del la cabina del camion è ottima. Già da lontano si vede la colonna di vei coli, subito dopo l’oramai noto pun to critico di Brüttisellen. Jimmy Schmid, che in verità si chiama però Ulrich, frena lentamente il camion e si incolonna sulla corsia di destra, assieme agli altri veicoli in attesa. «Negli ultimi anni – racconta – il traffico è aumentato di molto; le co lonne mi rubano molto tempo e all’impresa costano molti soldi, ma cosa si può fare? Anche se si costru isse da qualche altra parte una nuo va galleria o una nuova corsia, il problema dell’ ‹imbottigliamento del traffico› verrebbe solo trasferito oggi samaritani 1/10 altrove». Jimmy è camionista da più di 20 anni. In questo bel pomeriggio di dicembre, ha caricato con la gru a Winterthur (presso il suo datore di lavoro) delle grandi e pesanti tavole di legno che ora sta portando nella zona di Zurigo, in un grande cantie re. Lavoro di precisione e forza Quando, dopo l’attesa, finalmente si potrebbe dare gas, il camion già deve uscire dall’autostrada. «Sono atteso laggiù» – ci dice indicando in lontananza, dove si scorge una gru mastodontica, addirittura più alta di un campanile poco lontano. E oggi, sul cantiere, non siamo accorsi solo noi, ma ci sono già altri tre camioni sti della stessa ditta (Marcel Bern hard, René Schneider e Andrea Bühler) con i loro grandi automezzi. Accanto alla gru di cantiere, è posi zionata un’altra enorme autogrù di 300 tonnellate della ditta stessa di Winterthur. Ad un primo colpo d’occhio, questa autogrù enorme sembra addirittura … oscillare, con le sue ruote a mezzo metro da terra. In effetti il contrappeso dell’autogru non è posizionato correttamente. Jimmy chiede ai suoi colleghi di aiutarlo: bisogna intervenire tutti assieme per riportare in equilibrio stabile il pesantissimo mezzo. Cantieri pericolosi Con uno strano sentimento, quasi di sconcerto, ho constatato come i quattro autisti con le loro sole forze Il camionista Jimmy Schmid al volante del suo camion. hanno potuto fissare la catena al grosso cubo di cemento del contrap peso e come, solo poco dopo, lo stes so penzolava alto sopra le loro teste. Se la catena dovesse rompersi, a poco servirebbero a questo punto i casti in plastica degli operai … Ve dendo queste cose nel cantiere, mi è stato subito chiaro che i viaggi dei camionisti i loro grossi automezzi sono decisamente la parte meno pe ricolosa del loro lavoro. «Sia gui dando che nel cantiere, bisogna esse re completamente concentrati per In alto con il contrappeso – il montatore di gru e gli autisti si danno una mano. non incappare in incidenti», osserva il 48enne Jimmy Schmid. Anche Werner Greuter, l’autogruista esper to, è molto concentrato quando, guardando verso l’alto, manovra con il suo «Joystick» in mano il con trappeso, lassù in alto. In cantieri di queste grandezze, si nascondono spesso e volentieri pa recchi pericoli; i più frequenti sono le cadute (vedi riquadro). Proprio nel settore edile, a questo punto, è davvero sensato e utile assolvere il corso di Primi soccorsi, ossia nozio ni importanti che dal 1 settembre 2009 sono inserite nei corsi di for mazione continua obbligatoria per gli autisti professionisti. «I corsi sono ingiusti» «E’ comunque un po’ ingiusto che noi camionisti dobbiamo assolvere 35 ore di formazione continua entro 5 anni, mentre tutti gli altri automo bilisti non devono fare nulla», pensa Jimmy la cui opinione è condivisa dai suoi colleghi camionisti. In defi nitiva, il tema «Comportamento in caso di incidenti stradali» riguarde rebbe tutti i conducenti. Soprattutto se si pensa che molti conducenti hanno assolto il corso di Primi soc corsi molti anni fa. Tuttavia, tornando ai nostri ca mionisti, loro non hanno tempo per prendersela per queste «misure di scriminanti» emanate dagli Uffici della circolazione. Il lavoro urge: bi sogna smontare una gru e caricarne la parte sommitale sul camion. Tutti gli autisti aiutano in questo lavoro. «Se è ben fissata, metà del viaggio è già fatta», affermano sorridendo. Oltre alle tavole di legno, viene quindi caricata anche parte della gru, del peso di oltre 1300 chili. Ora tutti sono pronti e il viaggio conti La Federazione svizzera dei Samaritani è pronta al via Secondo la nuova normativa concernente il permesso di guida degli autisti professionisti, quest’ultimi devono frequentare nell’arco di 5 anni 35 ore di formazione continua e aggiornamento su vari argomenti, tra cui le due tematiche «Primi soccorsi in caso di incidenti» e «Comportamento in caso di incidenti». Queste formazioni saranno offerte da istituzioni varie, accreditate e riconosciute dall’Associazione dei servizi della circolazione (ASA) della Svizzera e Liechtenstein. «La Federazione svizzera dei Samaritani (FSS) è in pole-position e attende solo la luce verde per poter partire. Stiamo lavorando e prendendo tutti i provvedimenti per poter iniziare il più presto possibile con le nostre proposte di corsi», osserva Roland Marti, Capo del Settore Formazione e Consulenza del Segretariato centrale. «Diversi corsi – continua – sono stati elaborati e ora sono presso l’ASA per la registrazione». La FSS insomma è pronta in pole-position. Durante la prossima riunione prevista il 16 gennaio, il Comitato centrale si chinerà definitivamente sul relativo concetto di dettaglio. Successivamente, secondo Marti, verranno informate tutte le Sezioni Samaritane e tutti i quadri attraverso comunicazione via mail, affinché monitori e Sezioni possano sapere come fare per organizzare e proporre il corso. Inoltre verranno organizzati dei momenti informativi rivolti a monitori, quadri e Sezioni allo scopo di fornire le necessarie informazioni in merito. ds. In altezza si posano i contrappesi alla gru. oggi samaritani 1/10 Reportage nua verso la vicina centrale idroelet trica, dove li attende una missione delicata. 06 Una manovra delicata che … «regala» ore supplementari La prossima destinazione si trova proprio nelle vicinanze di un altro svincolo autostradale. Nel frattem po il freddo inizia a farsi sentire e il crepuscolo avanza lentamente pre annunciando la fine della giornata. Nel nuovo cantiere, Jimmy scariche rà finalmente il suo camion: si tratta infatti di usare le grandi tavole di legno come binari rialzati (o corsie) per l’autogru. E quest’ ul tima deve appunto essere portata, e in retromarcia (!), sui binari fino all’enorme capannone della centrale elettrica. Ma lungo la tratta da per correre ci sono vari ostacoli: buche e piccole baracche da evitare. Così le manovre si complicano e tutto di pende dall’esperienza, dalla pazien za e dalla grande sensibilità alla gui da di Werner Greuter che corregge il volante al millimetro per far restare le 10 ruote del grosso veicolo sui bi nari di legno. Ci si potrebbe credere alla trasmissione «Wetten dass … ?» (Scommettiamo che …?) vedendo il grosso automezzo procedere centi metro per centrimetro in retromar cia; solo l’ambiente circostante è un po’ più «rude» rispetto a quello tele visivo! Gli altri uomini a questo punto possono solo dar fiducia a Werner. Alcune volte gli gridano: «stop!» e scompaiono veloci tra le grandi ruote dell’automezzo per riposizionare in modo corretto le tavole di legno. Solo così il «grande mostro» avanza. Finalmente il lavo ro termina, l’autogru è arrivata a destinazione. E’ già buio quando, col camion, ci si rimette infine in viaggio di ritorno verso Winterthur, non senza di nuo vo qualche breve colonna sull’auto strada. Dopo aver fatto benzina ed aver compilato l’abituale rapporto di lavoro e dopo 10 ore e mezza di lavoro, finalmente Jimmy ha termi nato il suo lavoro. «Oggi è stata una giornata lunga, con molta ‹action›» – conclude Jimmy, prima di infilarsi nella sua Dodge e scomparire nel buio verso casa. n Doris Spühler: Samaritana e capo del personale La nuova regolamentazione per il permesso dei conducenti professionisti concerne Doris Spühler in due maniere: da una parte la 43enne è capo del servizio del personale della ditta «Toggenburger» di Winterthur, che conta in totale più di 100 autisti. D’altra parte Doris è una Samaritana appassionata: «da 22 anni – afferma – appartengo alla Sezione di Andelfingen e dintorni, nella campagna zurighese; e da 7 anni sono presidente della Sezione». Inoltre è istruttrice in seno all’Associazione cantonale e specialista qualificata nella sicurezza sul lavoro. Nella ditta, la formazione continua obbligatoria è stata regolata come segue: «i costi per i corsi consigliati dalla nostra ditta vengono sostenuti dalla ditta stessa» – spiega la responsabile – «Si tratta complessivamente di circa 25 000 franchi all’anno. Per questa ragione, i corsi non sono conteggiati come ore di lavoro, ma vengono seguiti dai dipendenti nel loro tempo libero», precisa la nostra interlocutrice che, tra l’altro, a livello personale ha la licenza per condurre camion, taxi e moto. Offerta di corsi, è tempo di accelerare! Jimmy Schmid carica la parte sommitale della gru sul suo camion. Doris Spühler sostiene convinta che bisogna accelerare i tempi nell’offerta concreta di corsi: «la FSS deve cogliere al volo questa enorme opportunità e offrire questi corsi indirizzati agli autisti professionisti il più presto possibile in tutta la Svizzera; tema centrale dei corsi: primi soccorsi in caso di incidenti. Le imprese aspettano queste offerte», afferma la capo del personale. Il flusso burocratico creato da queste nuove disposizioni è abbastanza considerevole, con un altrettanto considerevole impegno a livello amministrativo. Tuttavia la formazione continua del personale, in passato come nel presente, è sempre un fattore importante per le imprese. Come esperta nel campo della sicurezza, la 43enne constata che nel suo campo di attività, sono pochi gli incidenti che si verificano sulla strada, e di più quelli sui cantieri, come cadute. Le cadute sono molto più frequenti – afferma – secondo le nostre statistiche, un incidente su due è il risultato di una caduta. E, comunque, nella metà dei casi le persone non si feriscono nell’azienda, ma durante il tempo libero, ad esempio praticando sport. Naturalmente il profilo dell’autista professionale ha diverse sfaccettature, in definitiva non tutti i camionisti sono come quelli descritti in questo reportage. Comunque la formazione continua è importante, sia per i camionisti che per i conducenti di autobus, bus di linea, tram o altro; tutti assieme – queste 80 000 persone – portano con loro una grande responsabilità. Doris Spühler è contemporaneamente Samaritana e capo del personale di una grossa impresa, per cui tocca con mano i bisogni dei camionisti. oggi samaritani 1/10 Ricetta di successo 24 I giovani soci fanno bene alla Sezione! L’approccio ai giovani è diverso da quello che i può avere con gli adulti. Nell’attività in Sezione, abbiate cura di organizzare eventi e corsi che avvicinano in modo diretto i giovani (ad esempio: un’azione «Primi soccorsi a scuola»). Presentatevi e parlate sempre a nome della Sezione, rivolgendovi ai giovani in modo deciso. Date un’immagine attrattiva e vivace della vostra Sezione. Eliminare i pregiudizi Spesso i pregiudizi da una parte (giovani) e dall’altra (adulti) ostacolano in qualche modo una buona integrazione e collaborazione. Ad esempio, spesso il linguaggio dei giovani è percepito come un «problema». I giovani si esprimono infatti in modo diverso dagli adulti. Bisognerebbe quindi accettare il linguaggio dei giovani, il che però non vuol dire in nessun caso assumere a tutti gli effetti questo linguaggio, che spesso indispone gli adulti. Si tratta in pratica di avvicinarsi l’un l’altro dimostrando tolleranza reciproca. I soci attivi della Sezione dovrebbero avvicinare i giovani e presentarsi. Per fare questo, le occasioni sono molte (incontri, corsi, eventi). funziona, i giovani si sentono subito molto bene e accettati. Integrare i giovani I giovani sono un’iniezione di ottimismo ed entusiasmo nella Sezione. Nel contempo si occuperanno, a loro volta, di cercare nuove forze e individuare nuove opportunità che permetteranno alla Sezione di vivere a lungo! Se alcuni giovani entrano in Sezione, è sconsigliabile spingerli subito nei Gruppi Help o in settori particolari di attività. Non abbiate fretta e non forzate. Non tutte le Sezioni possono del resto fondare dei Gruppi Help. I giovani possono essere integrati bene nella normale vita della Sezione, con il lavoro degli adulti. Hanno però bisogno della necessaria assistenza. Se questa Siete interessati? Super-Sami ne sa di più! Nel manuale «Lavorare con i giovani», vi mostra qual è l’approccio corretto con i giovani e a cosa porre l’attenzione quando si lavora con loro. www.samaritani.ch > Downloads > Marketing > Manuali > Lavorare con i giovani. Gery Meier, Capo Settore Marketing Ricette di successo Sempre più Sezioni Samaritane si lamentano della mancanza di nuove e giovani leve. La domanda è a sapere come si possono motivare ed interessare i giovani al lavoro in Sezione. Una premessa importante per guadagnare la loro fiducia, è quella di rivolgersi direttamente a loro, parlare con loro in modo aperto e coinvolgerli nella Sezione accompagnandoli ed integrandoli. 07 Organi in… organismi e organizzazioni Nel nostro corpo, molte cose funzionano senza che noi coscientemente ne dirigiamo il funzionamento. Il nostro cuore batte e la nostra digestione funziona senza nessun ordine cosciente da parte nostra. Ci rendiamo conto dell’esistenza di alcuni organi solo quando qualcosa in loro non funziona a dovere. Ad esempio, i disturbi digestivi sono assai fastidiosi, poiché ci rovinano i nostri abituali ritmi di vita. Ma appena i disturbi scompaiono, non ci pensiamo più. A volte, questi «inghippi» di salute sono più seri. Allora ciò ci fa prendere coscienza che per vivere necessitiamo davvero di tutto quanto il nostro organismo. Solo allora agiamo in modo più cosciente a facciamo attenzione a dare al nostro corpo quello di cui ha bisogno per restare sano e prestante. I nostri organi non sono macchine indistruttibili. Anche noi, qui al Segretariato cen- trale di Olten, a volte funzioniamo senza che pressoché nessuno se ne renda conto. Avete un’idea di quante e quali prestazioni avere ricevuto dal Segretariato nel corso dell’anno che si sta per concludere? Oppure avete percepito la nostra presenza solo perché una volta, magari, qualcosa ha avuto un piccolo inghippo e ciò ha disturbato il «normale corso» delle vostre cose? La lista delle nostre attività e prestazioni, visibile sul sito www.samaritani. ch sotto «Organizzazione/Segretariato centrale» comprende ben 48 singole attività. Anche noi non siamo «macchine indistruttibili». Tuttavia ci rallegriamo di poter svolgere la nostra funzione anche nel 2010 allo scopo di mantenere la FSS in piena forma, sana e forte! Kurt Sutter, Segretario centrale oggi samaritani 1/10 FLAWA Prodotti per il trattamento delle ferite I partner della FFS I bendaggi servono per proteggere le ferite dall’azione degli agenti esterni, contro i punti di compressione, per il fissaggio, il sostegno o come bendaggi di scarico. 08 Il cerotto adesivo Nova Haft e la benda elastica di garza Fixelast sono utilizzati principalmente per il fissaggio di compresse e come bendaggi di copertura. Il bendaggio coesivo Nova Quick offre un sollievo immediato in caso d’incidenti di tipo sportivo: sulle articolazioni l’applicazione di Nova Quick funge ad es. da bendaggio antiscivolo o di scarico che mette rapi- damente «in scarico» la parte del corpo interessata. FLAWA Nova Cool – il prodotto intelligente 2 in 1, formato da un bendaggio a freddo, ad azione compressiva. Nova Cool offre un sollievo immediato in caso di strappi, compressioni, contusioni, tumefazioni e schiacciamenti. Nova Cool non deve essere messo in frigorifero e la sua azione dura ca. 2 ore. Grazie al raffreddamento e alla compressione ad effetto immediato la tumefazione non si espande. Il bendaggio compressivo a freddo consente quindi all’articolazione di continuare a muoversi. All’aperto o al chiuso, Nova Cool è l’aiuto immediato in ogni disciplina sportiva. Si consiglia quindi di applicare Nova Cool subito dopo il verificarsi dell’incidente, per prevenire la temuta tumefazione ed ottenere un primo sollievo del dolore. Nova Cool può essere riutilizzato più volte senza alcun problema. Nova Color porta colore nel mondo dei bendaggi e può essere utilizzato come benda universale per il fissaggio, il sostegno o anche come bendaggio compressivo e di copertura. La migliore medicina in caso di mal di pancia e per riscaldarsi Borsa dell’acqua calda con rivestimento di peluche Art. 5748 CHF 16.— Prezzi con IVA, spese di spedizione CHF 9.– per ordinazioni infersiori a CHF 200.– Ordinazione Autoadesivi Super-Sami Inviare a: Federazione svizzera dei samaritani Servizio di vendita Casella postale, 4601 Olten Telefono 062 286 02 85 Fax 062 296 03 71 e-mail [email protected] http://shop.samariter.ch Quantità No. cliente Sezione/Associazione Cognome Nome Via NPA/Luogo Telefono e-mail I partner della FFS 09 Vedere ed essere visti Il TCS s’impegna in favore di condizioni visive e di visibilità ottimali sulla strada Soltanto aguzzando la vista, e con una buona illuminazione, gli automobilisti riescono a districarsi nel traffico in modo sicuro in autunno e inverno. In collaborazione con l’Associazione svizzera dell‘ottica, il TCS offre agli automobilisti la possibilità di beneficiare gratuitamente di ottime condizioni. Guidando un veicolo, gli occhi sono messi a dura prova. Oltre il 90% delle informazioni rilevanti per il traffico sono raccolte attraverso la vista. Di conseguenza, una buona capacità visiva è la prerogativa basilare per viaggiare senza affaticarsi, in modo concentrato e, di conseguenza, sicuro. Informazioni su illuminazione e test visivo gratuito Nell’ambito della sua campagna «Vedere ed essere visti», il TCS offre agli automobilisti la possibilità di sottoporsi in Svizzera a un test gratuito della vista, compiuto da uno specialista, membro dell’Associazione svizzera dell’ottica. Il relativo buono, unitamente all’opuscolo sul- la campagna, si possono scaricare dalla pagina Web del TCS. Ma non è tutto: il TCS dà informazioni e La valutazione personale può ingannare! Quasi sempre il peggioramento delle capacità visive si sviluppa così lentamente che chi ne è colpito si adegua continuamente e si accorge del calo della vista soltanto quando la carenza della capacità visiva è già chiaramente progredita. È di conseguenza importante far controllare ogni tre anni le proprie capacità visive, indipendentemente dal fatto che si portino o meno occhiali o lenti a contatto. consigli per avere una chiara visione dall’interno dell’automobile e un’ottima visibilità del proprio veicolo. Per esempio, vengono spiegate le differenze tra fari anabbaglianti e luci diurne oppure l’esigenza di regolare i fari abbaglianti. Con queste utili informazioni, gli automobilisti aumentano, in modo semplice, la loro sicurezza, come pure quella degli altri utenti della strada. In questo modo disponete della rassicurante certezza che, in materia di condizioni visive, avete preso i migliori provvedimenti per un inverno senza preoccupazioni. Informazioni dettagliate sulla campagna del TCS «Vedere ed essere visti» sono disponibili all’indirizzo: www.infotechtcs.ch. oggi samaritani 1/10 Attualità dalla Federazione 10 Una chiacchierata con la Presidente centrale Monika Dusong Le attività vanno sincronizzate Sono tre le tematiche principali che la Presidente centrale Monica Dusong mette al centro degli obbiettivi per il 2010: 1. legami e sinergie più intensi tra le attività dell’Organizzazione centrale, delle Associazioni cantonali e delle Sezioni; 2. una discussione approfondita sulle alternative di finanziamento dell’Organizzazione centrale e 3. l’entrata nell’era dell’ «e-Learning». Intervista raccolta da: Eugen Kiener Red.: Perché parla di sinergie e maggiori «concatenamenti» nell’ ambito della collaborazione fra i tre livelli della Federazione? Monika Dusong: proprio come la Svizzera, anche la nostra Federazio ne dei Samaritani è una creazione complessa che conta tre entità, tre livelli. In questo senso è molto im portante che riusciamo tutti assieme ad «armonizzarci». La collaborazio ne tra i livelli federativi si svolge, a dipendenza dei vari compiti e servi zi, su diversi piani: ad esempio, l’Organizzazione centrale fornisce una parte delle sue prestazioni diret tamente alle Sezioni Samaritane quando invia loro le nuove docu mentazioni per i corsi oppure quan do forma i quadri delle Sezioni. Altre prestazioni vengono indi rizzate ed eseguite per le Associa zioni cantonali, le quali – a loro volta – utilizzano poi gli input dell’Organizzazione centrale per fornire servizi alle loro Sezioni. Il tutto, insomma, funziona come un grande ingranaggio. Seguendo questa immagine, è importante al oggi samaritani 1/10 lora che ogni ruota dell’ingranaggio intersechi l’altra in modo giusto e sincronizzato, dandole slancio ed energia per «ruotare» a sua volta in modo ottimale; le ruote non devono bloccarsi a vicenda. Essere pronti ad accogliere impulsi dalla FSS Dove si possono ancora intravedere migliori sinergie? Per la prima volta, l’Organizzazione centrale ha elaborato per il 2010 un programma di attività che definisce in modo chiaro cosa ci si aspetta dai tre livelli della FSS. Ovviamente, come noto, questo programma è stato dapprima discusso dai rappre sentanti delle Associazioni cantona li e poi approvato dall’Assemblea generale dei Delegati a Kloten. Ma questa votazione positiva non rap presenta solamente un «SI» al Pro gramma di attività della FSS. Ques to «SI» significa anche che sia le Associazioni cantonali che le Sezioni sono pronte e in grado di accogliere gli impulsi provenienti dall’Organizzazione centrale. Affinché la FSS possa raggiungere gli scopi e gli effetti desiderati, dob biamo ben valutare ed accordarci sulle nostre offerte, dosarle ed orga nizzarle bene. Dobbiamo in sintesi armonizzare tutto quello che faccia mo sui 3 livelli: Organizzazione cen trale, Associazioni cantonali e singo le Sezioni. La creazione di sinergie è stata uno degli argomenti più importanti della scorsa Conferenza d’autunno. Si è in particolare evidenziato che tutti noi possiamo ancora fare pro gressi nell’accogliere e nel mettere a frutto le offerte. Non c’è infatti nes sun senso nel trovare o fare cose nuove, quando quelle già presenti non vengono utilizzate o lo sono troppo poco. Per questa ragione, solo per fare un esempio pratico, de sideriamo che le Sezioni Samaritane, ma anche le Associazioni cantonali, conoscano bene e imparino i conte nuti della «Cassetta degli attrezzi» e che la utilizzino in modo intensivo. Buon Anno Di cuore, auguro a tutte le Samaritane e i Samaritani un Buon Anno Nuovo, con tanta salute, incontri gioiosi ed arricchenti e nuovo entusiasmo! Ha citato «e-Learning»: in futuro è pensabile frequentare un corso di Primi soccorsi da casa, seduti davanti al PC? Non tutto si può fare al PC: molte cose bisogna esercitarle in pratica. Solamente quando i gesti di soccor so vengono effettuati e ripetuti di persona e in concreto, si impara ad aiutare in modo sicuro ed efficiente. Tuttavia alcuni concetti teorici pos sono essere facilmente trasmessi ed appresi grazie a «e-Learnig». Dobbiamo stare al passo con i tempi e sfruttare i progressi tecnolo gici dove questo ha senso. «E-Lear ning» può essere impiegato sia per l’istruzione dei nostri quadri come pure in occasione dei corsi per la po polazione. Attraverso l’utilizzo delle nuove tecnologie possiamo rendere moderni ed attrattivi i nostri corsi, accorciarne la durata e quindi pure il costo. Tutto ciò a beneficio anche delle Sezioni e allo scopo di sostene re il nostro primo posto quali mo derni fornitori di formazione per i laici. Quando arriverà «E-Learning»? Il progetto è in fase embrionale, ma non dovremmo perdere il treno… Sarebbe davvero bello se potessimo essere pronti per il 2013, anno del nostro Giubileo. Unificare ed armonizzare anche l’immagine verso il pubblico Di cosa di occuperà ancora la FSS nel nuovo anno? Nel 2013 la FSS festeggerà il suo 125esimo anniversario di esistenza. Vogliamo sottolineare questo impor tante traguardo in modo che ci siano effetti permanenti, sia al nostro in terno, che verso l’esterno. Stiamo già facendo i primi preparativi: il Comi tato centrale ha in questo senso già fatto una lista di prime idee, e deside ra pure invitare chi ha delle proposte interessanti a comunicarcele. Proprio su questo tema, verrà pubblicato prossimamente un sondaggio sul sito www.samaritani.ch . In seguito, ci chineremo anche sulla tematica dei loghi dei Samari tani, avendo cura di lavorare per un’armonizzazione grafica di quest’ ultimi al fine di migliorare la nostra immagine e rafforzare il nostro pro filo verso il pubblico. In questo sen so è necessario un significativo passo verso un’armonizzazione, una certa unità d’immagine. Con l’obbligo, per gli autisti pro fessionisti, di seguire una formazio ne continua, i Samaritani hanno l’occasione di offrire ulteriori corsi. L’Organizzazione centrale ha colto la palla al balzo e sta lavorando in questo senso. Ci sono altre tematiche, magari già presenti da tempo, che richiederanno ancora l’impegno della FSS? Sì, certo, lo sviluppo e il rafforza mento delle sinergie tra le Sezioni Samaritane è uno di questi temi. Non dobbiamo sciupare le nostre energie portando avanti singolar mente ognuno le proprie novità o attività, credendo di riuscire da solo a svolgere tutti i compiti e le incom benze. Qui possiamo ancora fare progressi e invito tutte le Sezioni ad almeno provare a rivolgersi alle Se zioni vicine, constatando come – spesso – uniti in un progetto si possa essere più forti. Un gruppo Help per ogni Sezione Mi sta molto a cuore la promozione dell’attività e del movimento giova nile. Il mio forte desiderio è che ogni Sezione riesca sempre ad istituire un suo gruppo giovanile e che un rap presentante di questo gruppo sieda dei comitati sezionali. I giovani sono pronti ad assumersi delle responsa bilità. Poi dovremmo, e in modo urgen te, poter eleggere più rappresentanti della Romandia nei nostri gremi, a cominciare dal Comitato centrale. Al momento, non c’è infatti la neces saria garanzia che il flusso di infor mazioni tra l’Organizzazione cen trale e la Romandia funzioni. Infine dovremmo inserire in modo stabile la cura dei malati nei nostri programmi di corsi. Quest’anno i corsi di «Cure a domicilio in caso di pericolo di contagio» non hanno avuto molto successo. E’ però im portante che la popolazione appren da a prendersi cura correttamente dei malati per essere preparati in caso di necessità o urgenze. Le basi delle cure dei malati dovrebbero far parte di una formazione base di ogni cittadino, come i principi dei primi soccorsi. n Attualità dalla Federazione Le entrate sono troppo dipendenti dai corsi effettuati Qual è il problema maggiore nel finanziamento dell’Organizzazione centrale? Diversamente da altre associazioni, le prestazioni e i servizi dell’ Orga nizzazione centrale della FSS non sono finanziate dagli importi e da contributi dei soci, bensì dipendono unicamente dal numero dei corsi di Primi soccorsi effettuati. In questo senso, le nostre finanze poggiano su una base… relativamente insicu ra. Questo tema è stato affrontato per la prima volta durante la scorsa Conferenza d’autunno. Sono state valutate e soppesate – dal punto di vista della fattibilità e dell’ accetta zione – alcune alternative e forme di finanziamento diverse. Alcune proposte verranno valutate e il tema resterà d’attualità anche nel 2010. 11 Usare i mezzi ausiliari già esistenti; approfittare delle buone idee Cosa significa in concreto per le Sezioni, sviluppare sinergie nelle attività? L’Organizzazione centrale come pure le Associazioni cantonali si aspettano da ogni Sezione che quest’ultima utilizzi effettivamente le offerte da loro proposte. Rivolgo qui un appello alle Associazioni e alle Sezioni: dovrebbero aiutarsi e fare in modo che i loro programmi di attività, approvati dalle rispettive assemblee, siano effettivamente realizzati. Per aiutare le Sezioni, offriamo loro molti «strumenti» messi a disposizione dall’Organizzazione centrale, come ad esempio le tecniche per reclutare nuovi soci, come fondare un Gruppo Help, come migliorare la pubblicità verso l’esterno, ecc. Basta curiosare nei documenti da scaricare dal sito www.samaritani.ch (Download Menu) o chiedere ai collaboratori del Segretariato centrale (telefono: 062.286.02.00). Non sempre bisogna escogitare nuove cose: spesso basta agire con i mezzi a disposizione per realizzare e portare avanti attività di successo, come ad esempio l’offerta di corsi nelle scuole. Molte Sezioni sono attive in questo senso già da anni e con soddisfazione. Solo se saremo capaci di lavorare ancora meglio, mano nella mano e nella stessa direzione, la nostra posizione quale organizzazione laica nel settore del soccorso sanitario resterà la più forte. oggi samaritani 1/10 Attualità dalla Federazione 3domande 12 Perché non un «Buono regalo» per un corso? Lea Meier «Una comunità … di varie organizzazioni» «Tutti fratelli – vivere e sperimentare in comune», questo è il motto del Campo HELP di Pentecoste che si svolgerà in maggio ad Heiden, Can ton Appenzello, in concomitanza con il 100esimo anniversario dalla morte del lungimirante Henry Dunant, fon datore del movimento della Croce Rossa, esteso ora a livello mondiale. Il Campo sarà organizzato dalla Federa zione svizzera dei Samaritani (FSS). Il Comitato d’organizzazione è com posto anche da volontari dei movi menti giovanili della Croce Rossa Svizzera (CRS). La redazione di Olten ha chies to alla responsabile del pro gramma Lea Meier, di Basilea, i con tenuti principali dello stesso. ds. Qual è l’idea di base che sta dietro al programma? Sull’arco dei tre giorni, cercheremo di costruire idealmente un ponte tra le varie organizzazioni, creando delle comunità tra i partecipanti. Al sabato si inizia all’interno delle proprie orga nizzazioni: Help, Società Svizzera di Salvataggio (SSS), Società svizzera delle Truppe sanitarie e movimenti giovanili della CRS. Alla sera tutti i partecipanti si incontrano per la pri ma volta per una fiaccolata in comu ne. La domenica sono previsti dei Workshops e un programma volto a conoscere i sette principi della CR, mentre il lunedì, all’insegna del motto «Tutti fratelli», è previsto il grand fi 1 oggi samaritani 1/10 nale … Ma su questo non diciamo ancora nulla! Quali sono i punti forti del Campo in relazione all’importante giubileo? Oltre al concerto della domenica sera, citerei qui senz’altro l’ampio ventaglio di Workshops che offriremo, a scelta, ai partecipanti. I temi sono variati, sia teorici che pratici: dalla conoscenza della CR e della vita di Henry Dunant, fino all’impegno sociale o a lavori pra tici nell’ambito dei pompieri, del nuo to di salvataggio o del massaggio car diaco, senza dimenticare workshops meno impegnativi e più divertenti come il teatro o i giochi africani. 2 Chi sono i membri di comitato? Come si svolge il lavoro di preparazione? L’allestimento del programma viene effettuato da un apposito gruppo di lavoro, che esamina assieme le prime idee fino al perfezionamento delle più valide. In questo gruppo c’è almeno un rappresentante di ogni organizza zione. Contemporaneamente curia mo la collaborazione e i contatti con le Autorità sul posto, quelle di Hei den: comuni, istituzioni, scuole e la società «Dunant-Anno 2010 Heiden» del Museo Dunant. Da tutti questi enti, percepiamo un grosso impegno e una grande voglia di partecipazio ne. Altre informazioni sul sito: www.pfila2010.ch 3 Anche se le festività natalizie sono appena concluse, non è troppo tardi per lanciare a tutti voi un’idea; idea che mi è stata formulata da un caro amico (Jacques Küng, presidente dell’Associazione cantonale Glarona) e che propone la creazione dei «Buo ni regalo» nell’ottica di migliorare ul teriormente la comunicazione e l’of ferta dei corsi proposti dalle vostre Sezioni. Pensate: i coniugi svizzeri spendono ogni anno in media 562 franchi a testa per regali (di Natale, ma anche per altre numerose ricor renze). Che ne dite? E se le Sezioni samaritane riuscissero ad entrare in questo «mercato»? Possiamo contare sui nostri Samaritani, attivi e passivi, quali ambasciatori dell’azione dei «Buoni regalo»? Pensate a quanti ambasciatori abbiamo a disposizione per promuovere tramite tutte le Se zioni svizzere un’azione di gennaio incentrata su «Buoni regalo» per la partecipazione, ad esempio, ad un corso soccorritori (e/o altri corsi) presso la vostra Sezione. Tutti i Sa maritani hanno dei «fuochi» fami gliari, delle conoscenze e degli amici, quindi molti hanno la possibilità di vulgare a genitori, nonni, madrine e padrini, ecc. e far acquistare il «Buo no regalo» da dedicare ai giovani che vogliono o devono partecipare al corso soccorritori. Inoltre, il Comitato della Sezione può chiedere ai Comuni della propria regione – specificando la bontà dell’iniziativa – gli indirizzi dei giovani d’età compresa tra i 14 e 15 anni. Quindi si procede con l’invio di una lettera, tipo quella spiegata nel numero scorso di «oggi Samaritani» (Azione di Natale 1). L’impegno pro posto alla Sezione è notevole, ma ne vale la pena. Vogliamo provare? Vi auguro un Buon Anno Nuovo! Renato Lampert Vicepresidente della FSS Divertimento e sicurezza da gennaio a dicembre. ivo Esclus 25 anni per i 16 a il soccorso stradale del TCS per CHF’an6no6.– all si o di corsi 2-fa perfeziona buono di CHF Validité du 50.– bon: ion ation mat fform e for cour s de nnement • pour un de perfectio usbi ldun g 2 phases ou Zweipha sena la date de gsku rss 2 ans dès • für eine WN CLU B • dura nt Weit erbi ldun m au COOLDO oder einen datu m im souscription s nach Beit ritts cour re de s Jah 2 jour • • tous les CLU B présentation cour s, sur COOLDOWN e de • le jour du et de la cart Kur stagen n cheiin ive du bon Gutssche • an allen gt érat imp edin stag unb n en eise • am Kur membre rkar te vorw ou sur r und Mitg liede .bon s.tcs.ch aupr ès • sur www vationen unte hone eser télép ne-R par oderr per • Onli réservat ion ine.t cs.ch ssou s n nden ende tehe choi si ci-de www.gut sche nach steh du cent re tres bons einem der Telefon in le avec d’au la le labl entr en • cumulab Ausbildu ngsz ren bar mit ande • kumulier nen Gutschei t: Gültig kei Validità: fasii o ne 2 ffas ione azio ffor maz corso dii form • per un namento oscr izione di perfezio a data di sott alla dall id • due ann CLU B WN LDO nto del al COO di svol gime siasi data • per qual corso igo di del corso, obbl socio tessera di • il gior no la e o il buon presenta re su ione onli ne per telefono • prenotaz s.ch oppu re di www.buoni.tc indicati qui dei cent ri presso uno segu ito buon i i le con altri la ile labi • cumulab driver membercard BE Jenny Mustermann Data di emissione: Validità: original original Numerosi sconti perman enti dai nostri partner e molti altri vantaggi su ww w.cooldownclub.ch! { { mento 012.811.837 15.08.2008 14.08.2009 Attualità dalla Federazione. Luce blu e sirena alternata sono riservate per questi veicoli 14 Quali sono le regole per le luci blu e le sirene ad alternanza Quando Kojak passa col rosso a sirene accese La mano che esce dal finestrino dell’auto in corsa folle, posiziona la luce blu sul tetto, si inserisce la sirena … Le ruote stridono sull’asfalto quando il tenente Kojak schiaccia il pedale del gas e passa col rosso i semafori della grande Manhattan; allora negli spettatori della fortunata serie televisiva sale l’adrenalina e il divertimento! Tuttavia, quello che vale per i poliziotti come Kojak, per i Pompieri, per le ambulanze e per i veicoli di servizio sanitario, non vale per i Samaritani! Un Samaritano lettore della nostra rivista ci ha fatto pervenire un rap porto di un incidente stradale avve nuto a Basilea, nel quale un’automo bile privata equipaggiata di luci blu e sirena ha attraversato con il sema foro rosso un incrocio sfiorando pe ricolosamente un altro veicolo. Alla Polizia, in sede di protocollo, l’igna ro automobilista ha confessato di essere Samaritano nel suo tempo li bero e di non aver assolutamente saputo che luci blu e sirena sono riservate esclusivamente ai veicoli della Polizia, dei Pompieri (servizi antincendio) e di determinate orga nizzazioni di soccorso (servizi sani tari), nonché ai servizi doganali. oggi samaritani 1/10 Stando alla sua deposizione, l’ignaro Samaritano si sarebbe procurato l’equipaggiamento in Internet e lo avrebbe montato da solo sulla sua automobile. Un comportamento il legale, non permesso, che è stato poi punito severamente con il ritiro del la patente per alcune settimane e con una cospicua multa pecuniaria … Iscrizione nella licenza di circolazione Le regole in proposito sono fissate in modo chiaro e inequivocabile dalla Legge, in particolare nelle direttive emanate dal Dipartimento federale dell’Ambiente, dei Trasporti, dell’ Energia e delle Comunicazioni (DA TEC) e dal suo Ufficio federale delle Strade (USTRA) inerenti l’equipag giamento con luci blu e sirene (Ordi nanza del 19 giugno 1995 concer nente le esigenze tecniche per i veicoli stradali, OETV, art.110). Inoltre nelle direttive per la costru zione e l’equipaggiamento di veicoli sanitari dell’Interassociazione di sal vataggio (IAS) si legge pure che l’equipaggiamento con luci e sirene è permesso solamente solo dietro au torizzazione dell’Ufficio cantonale stradale (Autorità d’immatricolazio ne) competente e con relativa iscri zione nella licenza di circolazione. Come afferma Michael Müller, capo del Settore informazione e co Quali veicoli sono riconosciuti come sanitari? L’equipaggiamento dei veicoli sanitari comprendente un’installa zione fissa di segnali visivi ed acustici deve essere autorizzata dalle Autorità cantonali sanitarie competenti e rispettare le direttive federali e quelle inerenti l’equipag giamento dei veicoli sanitari e di soccorso dell’Interassociazione di salvataggio (IAS). Veicoli e conducenti devono inoltre appartenere ad un’organizzazione di soccorso ufficiale e riconosciuta e devono essere raggiungibili e collegati ad una centrale di soccorso cantonale o intercantona le. Nella categoria delle ambulan ze, rientrano i veicoli di soccorso e i veicoli medici di primo intervento. Per tutti gli altri casi (vetture di intervento con equipaggiamento particolare, veicoli medici privati, veicoli per catastrofi in caso di grandi eventi) valgono invece delle disposizioni specifiche. ds. Escluse le esercitazioni dei Pompieri Reto Rimle, monitore di Sezione dei Samaritani di Moulen, conosce bene regole e disposizioni, essendo già stato comandante del Corpo Pompieri di Muolen: «I nostri inter venti come Firstresponder (Gruppo Samaritani in caso di incidenti) li effettuiamo con un veicolo Chevro let Van dei Pompieri, di colore ros so e dotato pure di luce blu e sire na.» Cosa, questa – come spiega il nostro interlocutore – che è possibi le solo grazie e tramite il Corpo Pompieri, altrimenti non si potreb be equipaggiare con luci e sirene un veicolo samaritano. Ed è importan te sottolineare che il veicolo viene impiegato solo in caso di reale ur genza. Luci e sirene non possono assolutamente essere usate in caso di esercitazione. Ai veicoli in dotazione alle Sezioni Samaritane possono essere applicati i loghi magnetici della Federazione svizzera dei Samaritani o i loghi del la Sezione. Questi loghi sono però da considerare solo come «pubblici tà» o segni di riconoscimento dei Samaritani e non garantiscono nes sun diritto. «Un Samaritano – osser va Rimle – non deve né equipaggiare un veicolo con segnali speciali, né utilizzarlo, salvo nel caso in cui im piega un mezzo dei Pompieri auto rizzato, e ciò per un reale intervento urgente a salvaguardia di persone o cose di valore.» Pubblicità sull’auto privata La Smart con le insegne samaritane del monitore di corso e di Sezione Thorsten Pohl della Sezione Samari tani di Dürnten è molto conosciuta in tutto l’Oberland zurighese: «Da quando sono in giro con questo vei colo – racconta – ho già aiutato al cune volte la Polizia, accorsa in caso di incidente, a regolare il traffico sul luogo dell’evento. Da allora viaggio sempre con l’equipaggiamento sani tario e un estintore. Il prossimo ac quisto potrebbe essere un apparec chio AED.» Attualità dalla Federazione. Intervento di servizio e urgenza Ad eccezione delle automobili della Polizia, l’intervento del veicolo di soccorso deve essere ordinato da una Centrale d’intervento. L’urgen za che giustifica questi interventi è data dai casi dove è richiesto un ra pido ed efficace soccorso al fine di salvare la vita di persone: pompieri, sanitari e/o polizia si mettono dun que in moto. Ciò è richiesto anche nei casi di pericolo arrecato alla si curezza pubblica (e quindi necessità di riportare l’ordine pubblico), nei casi di salvaguardia di importanti oggetti di valore oppure nell’inse guimento di fuggitivi. In tutti questi casi, il non rispetto delle regole del codice stradale e l’applicazione del diritto di precedenza è permesso solo se le condizioni del traffico sono così sfavorevoli, che l’interven to di soccorso sarebbe seriamente ostacolato e quindi compromesso. Il solo inserimento della luce blu, non implica nessun diritto di prece denza. In principio, questo diritto diventa effettivo, e anche di notte, solo con l’attivazione simultanea di luce blu e sirena. Il conducente può violare anche i limiti di velocità. 15 Luci intermittenti anteriori sono già standard Oggi le luci intermittenti anteriori installate sui veicoli dotati di luce blu sono diventati standard anche in Svizzera (come già in Germania). In effetti, guardando nello specchietto retrovisore, a volte risultano meglio visibili che non la luce sul tetto. Queste luci frontali sono permesse solo sui veicoli di soccorso e solo come accessorio. n Dominik Senn La pubblicità sul veicolo del Samaritano Thorsten Pohl non è solo permessa ma anche utile Bild: zVg. image: Patrick Lüthy municazione della Direzione dell’Uf ficio federale delle Strade (USTRA), i veicoli permessi circolanti con luci blu e sirene comportano – conside rato il loro diritto di precedenza – un maggior rischio per gli altri uten ti della strada e per il traffico in generale, ma anche un elevato peri colo per il veicolo stesso. I condu centi di questi veicoli possono «vio lare» le regole del codice stradale. «Tuttavia», ammonisce Müller, «luci e sirene possono essere usate solo se il servizio è veramente urgen te e quando le regole stradali non possono davvero venir rispettate.» oggi samaritani 1/10 Concordia – Gordevio Sezioni, Associazioni Fondato il quarto Gruppo HELP del Ticino 16 Lo scorso 29 ottobre presso la sede Samaritani Concordia di Gordevio si è tenuta la fondazione ufficiale del Gruppo Help «Giovani Samaritani» alla presenza di 18 ragazze e ragazzi fra gli 8 e i 18 anni su un totale di 22 iscritti, accompagnati da buona parte dei loro genitori. Alla prima lezione di prova erano presenti ben 20 ragazzi, tutti volonterosi, entusiasti e ben disposti. Ciò che lascia ben sperare per il futuro! All’importante e significativa cerimonia di saluto e fondazione, hanno preso la parola il presidente della Sezione, il vice sindaco di Gordevio signor Mario Laloli, il vice sindaco di Maggia Aron Piezzi e il rappresentante del Ticino nel Comitato centrale della Federazione svizzera dei Samaritani (FSS) a Olten signor Renato Lampert. Tutti hanno espresso parole di incoraggiamento e di lode ai giovani presenti, che hanno deciso di mettersi a disposizione per apprendere, anche divertendosi, la base dei primi soccorsi. Parole di lode sono state rivolte anche agli organizzatori, in particolare alla famiglia Bonetti, che hanno dato un validissimo contributo per il raggiungimento della creazione di questo Gruppo; creazione che da tempo era un progetto nel casset- to della Sezione Concordia. La simpatica cerimonia si è conclusa con un piccolo aperitivo offerto dalla Sezione. Il neo costituito Gruppo Help viene ad aggiungersi ai tre già attivi in Ticino, ossia quelli di Bodio-Personico-Pollegio, quello di LodrinoProsito e quello di Tenero-Contra. Giovanni Maddalena Tenero-Contra Esperienza di gestione di un Gruppo HELP in Ticino in cui ognuno ha la possibilità di esercitarsi. Nel gruppo si impara a collaborare e a scambiarsi opinioni per trovare la soluzione migliore per affrontare un caso reale. Un incontro si svolge solitamente nel seguente modo: si dà il benvenuto, si affronta una piccola lezione di teoria, si fa pratica a gruppi, ci si riunisce per una valutazione dell’attività e si fa merenda tutti assieme. Nel corso dell’anno vengono pure proposti momenti ricreativi per co- noscersi meglio e stare assieme divertendosi. Per esempio si sono organizzate un’escursione a Cardada con corsa d’orientamento e una giornata al Nara a slittare. Lo scorso settembre alcuni ragazzi hanno partecipato alle Gare Samaritane a Rebstein con esito positivo: è stata anche l’occasione per esibire le nuove magliette del gruppo. Linda Cavagna foto: di Moreno Rubbi Il Gruppo Help di Tenero-Contra da un anno a questa parte è gestito da quattro giovani Samaritani di età compresa fra i 17 e i 19 anni. Il gruppo si riunisce a scadenza mensile, solitamente la domenica pomeriggio dalle 16 alle 18, presso le Scuole elementari di Tenero. Le attività sono rivolte a ragazzi dagli 11 ai 16 anni motivati e interessati al primo soccorso. Quest’anno sono iscritti 25 ragazzi. Le attività comprendono aspetti del soccorso tratti dal corso soccorritori ed esercizi pratici presentati sotto forma di situazioni o di giochi. Si lavora per lo più in piccoli gruppi, oggi samaritani 1/10 Canobbio «Ten botta» – scrivo a nome mio, ma parlo della mia Sezione Samaritana di Canobbio, una Sezione che ha vissuto alti e bassi, ma che finora ha «tenuto botta». Abbiamo pure potuto convincere la nostra presidente a restare in carica, ma purtroppo non abbiamo registrato nuovi arrivi … in un certo senso, stiamo invecchiando … La nuova arrivata dello scorso anno si è dimostrata valida come revisore e speriamo di poterla convincere a rimanere come cassiera, qualora il nostro cassiere – preso da molti impegni – proprio non ce la farà più. Così i soliti impegni ed incarichi della Sezione ricadono sui pochi attivi rimasti. Ciò nonostante abbiamo svolto un ricco programma, composto da: vari picchetti (che hanno soddisfatto le esigenze dei richiedenti), una gita di due giorni offerta ai compaesani, abbiamo organizzato l’esercizio all’aperto in giugno (presso «la vaccherie», una specie di «dacia russa» di Berto Pedrini, il nostro socio più anziano, a Trevano) esercizio organizzato anche per le Sezioni consorelle di Comano e Massagno; abbiamo poi allestito una speciale bancarella per sottolineare il nostro 55esimo di attività. Ma non è tutto: agli anziani di Canobbio, abbiamo offerto l’entrata gratuita al teatro dialettale locale con la partecipazione di oltre 50 annunciati, per alcuni di loro abbiamo pure organizzato il trasporto. Inoltre la nostra Sezione ha partecipato all’autunno canobbiese ed ha allestito una tombola, nonché organizzato il Convegno intersezionale (era invitata anche la Sezione di Comano, con la quale collaboriamo Rianimazione cardio-polmonare: anche con l’età, si riesce... molto bene, anche se non è nello stesso Distretto). I partecipanti sono stati una trentina. L’esercizio inscenava un incidente stradale: a giudizio dei presenti è stato molto utile ed ha incontrato la soddisfazione dei partecipanti. In particolare, ci ha fatto piacere che i presenti, una volta concluso l’esercizio, non si sono dileguati subito, ma hanno avuto piacere a soffermarsi per uno scambio di vedute e due chiacchiere in compagnia. Inoltre, queste occasioni ci permettono, se ce ne fosse bisogno, di constatare come Samaritani anziani e giovani possono ben lavorare assieme! La più anziana partecipante al nostro Convegno ha 75 anni ed è assolutamente ancora in piena forma! Trasporta la barella, a fianco magari di una Samaritana più giovane, appena 20enne! Il nostro socio più anziano Berto Pedrini insegna ed ha insegnato benissimo il nodo samaritano ai più giovani. In dicembre, abbiamo poi allietato il pomeriggio ricreativo per i pen- Un Samaritano 72enne insegna il nodo samaritano ad una giovane di 20 anni, mentre una futura Samaritana di 9 anni osserva sionati di Canobbio ed abbiamo partecipato con due bancarelle al mercatino della festa di Natale del paese. Oltre a tutto questo, ogni anno e come tutte le Sezioni, abbiamo in calendario la nostra assemblea, l’esercizio mensile, le riunioni mensili di comitato, la partecipazione alla Giornata del Malato, la grigliata presso il monitore, le visite per il compleanno dei più «attempati» e la cena per il comitato e i soci attivi nei picchetti! Una bella e variegata attività, insomma! Il nostro maggior incoraggiamento, sono le testimonianze di affetto e di gratitudine che riceviamo nello svolgimento di queste attività. Questo ci dà forza e speranza per continuare, augurandoci di poter proseguire ancora per molti anni, dato che purtroppo veniamo a conoscenza di Sezioni che, sempre più spesso, sono costrette a chiudere la loro attività. In effetti, penso che dobbiamo reagire, fare qualcosa e trovare nuove strategie per convincere soprattutto i giovani ad unirsi a noi, e a darci – tra qualche anno – il giusto cambio per poter tener vivo lo spirito samaritano anche in futuro. Per concludere, auguro a tutti una buona continuazione, tanta forza e coraggio per «tener botta», auguro soddisfazioni e gratificazioni, così come noi Samaritani ce lo aspettiamo, vedendo sui visi delle persone che abbiamo soccorso i loro sorrisi spontanei e la gioia di chi ha appena ricevuto un bel gesto da parte nostra. Franca Dotti Sezioni, Associazioni Insieme si può, anziani e giovani collaborano bene 17 oggi samaritani 1/10 Buono a sapersi 18 Senza la muscolatura sarebbe impossibile praticare uno sport. Anatomia umana, 3 Apparato locomotore attivo L’apparato locomotore attivo è composto dai muscoli, dai tendini e dalle guaine tendinee. Senza muscolatura l’essere umano non potrebbe muoversi. Testo: Brigitte Strahm Illustrazioni: Huch/Jürgens: Mensch Körper Krankheit, Elsevier GmbH, Urban & Fischer Verlag München I muscoli sono formati da cellule allungate e filamentose chiamate fibre muscolari o fibrocellule. Queste determinano il movimento, il battito cardiaco e altre funzioni vitali. Si distinguono tre tipi di tessuto muscolare: Tessuto muscolare liscio: si trova nella parete muscolare del tratto gastro-intestinale. La fibra muscolare liscia possiede un nucleo unico, centrale e allungato, talvolta ramificato. La sua contrazione è lenta e involonoggi samaritani 1/10 taria. Anche allo stato di riposo le fibre muscolari lisce sono sempre sotto tensione. La contrazione della muscolatura liscia avviene autonomamente oppure è prodotta dal sistema neurovegetativo. Tessuto muscolare striato: costituisce l’intero sistema della muscolatura scheletrica. Le contrazioni delle fibre muscolari striate dipendono dal sistema nervoso centrale e sono in gran parte volontarie. Il miocardio, un muscolo striato particolare Il miocardio, o muscolo cardiaco, ha una struttura simile a quella dei muscoli striati. Osservandolo al micro- scopio si noterà la striatura tipica della muscolatura scheletrica, ma anche delle cellule dotate di un nucleo centrale, come quelle della muscolatura liscia. Come la muscolatura liscia la muscolatura cardiaca è di tipo involontario. Nel presente articolo ci occuperemo dei muscoli striati, o muscoli scheletrici. Il corpo umano ne comprende circa 400, alcuni dei quali sono formati da parti distinte. La muscolatura dello scheletro consente la mobilità, come camminare o correre, oppure dei movimenti localizzati, come afferrare un matita. I muscoli compongono circa il 45 percento della massa corporea e consistono in cellule altamente spe- cializzate dotate di quattro proprietà fondamentali: • eccitabilità • contrattilità • estensibilità • elasticità Struttura dei muscoli striati: la muscolatura scheletrica è costituita da fasci di fibre muscolari avvolti da tessuto connettivo e attraversati da vasi sanguigni e nervi. Ogni fascio conta centinaia di fibre muscolari. Fibre muscolari: al microscopio appaiono come filamenti la cui lunghezza può raggiungere i 15 centimetri (diametro: 0,1 mm) e che sono in grado di contrarsi. Un’unica fibra muscolare può contenere fino a mille nuclei. Si rilevano inoltre un’alternanza di bande chiare e scure perpendicolari all’asse della cellula: a questa particolarità si deve il termine «fibra muscolare striata». I muscoli dello scheletro sono per lo più ancorati in due punti. La parte meno mobile si chiama inserzione d’origine e quella mobile inserzione terminale. La parte centrale del muscolo è detta ventre muscolare. Contrazione dei muscoli scheletrici: la muscolatura scheletrica si contrae grazie a un impulso nervoso. Ogni fibra muscolare è collegata a un neurone, detto motoneurone, che le tras mette degli impulsi nervosi provenienti dal cervello. Sotto l’effetto della contrazione, che può essere rapida e vigorosa, il muscolo striato può accorciarsi della metà. I muscoli sono in grado di contrarsi, ma per allungarsi è necessaria l’azione di un altro muscolo, capace di agire in senso opposto e perciò detto antagonista. Ogni articolazione del corpo umano dispone di coppie di muscoli antagonisti (flessori ed estensori); quando uno di essi si tende l’altro si rilassa, poi si contrae per far tornare il primo nella posizione iniziale. sorridere sono necessari 17 muscoli del viso. Per un’espressione imbronciata ne sono necessari addirittura una quarantina. I nome dei muscoli dipende dalla zona in cui sono situati, dalle loro dimensioni, dal numero, dall’origine e dalla forma. Così ad esempio il trapezio, uno dei muscoli più grandi del corpo umano. Esso si estende dalla regione cervicale fino alla scapola e alla clavicola. È fissato sui processi spinosi delle vertebre cervicali e toraciche ed ha forma triangolare. I due muscoli trapezio (uno in ogni lato del corpo) danno origine a una forma trapezoidale. Interazione dei muscoli estensore e flessore del braccio. Forme di muscolatura scheletrica: i muscoli hanno forme e dimensioni diverse. Uno dei muscoli più piccoli fa muovere il globo oculare. Tra i muscoli più grandi rientrano i muscoli delle cosce, della schiena e delle natiche. I muscoli delle estremità hanno forma affusolata, mentre altri, come i muscoli del ventre, sono Tono muscolare: Anche quando piatti. I muscoli del viso sono anche sono a riposo i muscoli sono sottodetti muscoli mimici e si innestano posti costantemente a impulsi nersotto la pelle del viso. La mimica è vosi. Questi determinano una tenresa possibile dal movi… e dell’innervazione di una fibra muscolare. mento contemporaneo di diversi muscoli facciali. Per Sezione di un muscolo dello scheletro … oggi samaritani 1/10 Buono a sapersi sione detta tono muscolare, che è ad esempio responsabile della postura eretta del corpo umano. Il tono muscolare della muscolatura della nuca fa sì che quando siamo seduti la testa non ricada in avanti né all’indietro. Se si recide il nervo di un muscolo si verifica una perdita di tono muscolare; ne consegue una paralisi del muscolo, che diviene flaccido. La marcia favorisce la trasmissione degli impulsi nervosi, inducendo un accorciamento del muscolo e un aumento del tono. 20 Contrazione isotonica e isometrica: La contrazione isotonica (a tensione costante) si ha quando un muscolo si accorcia e genera un movimento. Questo avviene ad esempio quando muoviamo le gambe e camminiamo. Nella contrazione isometrica il muscolo sviluppa tensione ma non si accorcia, o lo fa solo minimamente. In tale caso non si produce alcun movimento anche se si consuma energia. Questo ci consente ad esempio di portare una borsa sul braccio. Muscolatura maschile e femminile: gli uomini hanno una massa muscolare molto maggiore rispetto alle donne. Ciò è dovuto all’ormone sessuale maschile, il testosterone, che agisce notevolmente sullo sviluppo muscolare. Anche la forza muscolare differisce molto nei due sessi: le donne raggiungono solo il 65% della forza dell’«uomo medio». Lavoro muscolare: per funzionare, i muscoli hanno bisogno di energia, che viene prodotta per degradazione del glucosio in presenza di ossigeno. Attraverso tale processo metabolico l’organismo produce costantemente calore. Nella fase di riposo, il 20% del calore viene prodotto dall’attività muscolare, come ad esempio il lavoro compiuto per mantenere la posizione eretta o seduta, oppure per trasportare un oggetto. Durante l’attività fisica, la produzione di calore dei muscoli può raggiungere oltre il 90%. Se la temperatura corporea diminuisce, l’organismo si difende cer- cando di produrre calore attraverso un’attività muscolare: i brividi. I tendini e la guaina tendinea Tendini: strutture fibrose che ancorano i muscoli alle ossa. I tendini possono essere molto lunghi, come quelli dei muscoli delle dita della mano, che terminano a livello dell’avambraccio e attraversano quindi il polso e le articolazioni delle dita. Guaina tendinea: i tendini sono avvolti da una guaina connettivale detta guaina tendinea, contenente una sostanza lubrificante. La guaina tendinea non solo stabilizza i tendini, ma impedisce il loro sfregamento contro i muscoli, i nervi, i vasi sanguigni e le ossa. Con il tempo i muscoli che sollecitiamo maggiormente diventano più forti ed efficienti. Al contrario, se rimangono a lungo inattivi, i muscoli si atrofizzano e diminuisce la loro funzionalità. Per questo un allenamento regolare della forza muscolare è molto importante. n Felix Pfammatter alla meritata pensione Da Mister 144 a Mister Expo A fine 2009, Felix Pfammatter lascerà il suo lavoro nella sede di Olten per entrare al beneficio della meritata pensione, concludendo così la sua collaborazione con il Segretariato centrale della FSS. Felix è stato responsabile sia del Servizio vendita come pure del Settore corsi, settori dove ha sempre saputo prestare la sua preziosa consulenza. In questi campi di attività, Felix Pfammatter ha elaborato pure delle basi di lavoro importanti che ora possono venir utilizzate nell’offerta di corsi, come ad esempio quello per gli autisti professionisti. Più di 1000 Samaritani hanno avuto l’occasione di conoscer- lo sull’arco dei 159 giorni di Servizi sanitari presso l’Expo 2002. Di lui, si è avuto modo di apprezzare il suo impegno per la causa samaritana, le sue capacità organizzative e la sua gioia e voglia di fare. Una persona sempre disponibile e pronta ad ascoltare. Originario del Vallese, Felix in gioventù è stato attivo nel soccorso aereo e, nell’ambito delle istituzioni di primo intervento, ha partecipato attivamente alla creazione del numero d’emergenza 144. Più tardi, a Basilea Città, è stato per anni a capo del Corpo di soccorso, formato da una settantina di uomini. Entrato alle dipendenze della FSS, aveva già alle spalle una solida e lunga esperienza, anche nel settore samaritano: è stato infatti a lungo socio della Sezione di Riehen di Basilea e, successivamente, ha portato all’istituzione dell’Associazione cantonale basilese, unendo i Samaritani di Basilea campagna e di Basilea città; Associazione che ha poi anche presieduto per diverso tempo. Eugen Kiener Impressum «oggi samaritani» 1/2010 Editore Federazione Svizzera dei Samaritani FSS Martin-Disteli-Strasse 27 Casella postale 4601 Olten Telefono 062 286 02 00 Telefax 062 286 02 02 [email protected] www.samaritani.ch oggi samaritani 1/10 Segretario centrale: Kurt Sutter Abbonamenti, cambiamenti d’indirizzo per scritto all’indirizzo citato Prezzo d’abbonamento Singolo abbonamento per terzi: Fr. 33.– annuali 10 numeri all’anno Tiratura: 5000 copie Redazione Eugen Kiener, Dominik Senn Segretariato: Karin Schmid Telefono 062 286 02 23 Svizzera Romanda Chantal Lienert Ticino e Moesano Mara Maestrani Casa Vescovi, 6717 Dangio Telefono e fax 091 872 17 47 [email protected] Inserzioni Kretz AG Verlag und Annoncen Casella postale 8706 Feldmeilen Telefono 044 925 50 60 Telefax 044 925 50 77 [email protected] www.kretzag.ch Impaginazione, stampa, spedizione AVD Goldach 9403 Goldach Patrick Rohr, Zurigo «Una battuta per rompere il ghiaccio» Testo e foto: James D. Walder L e sue comparse alla Televisione svizzero tedesca in trasmissioni di successo sono indimenticabili, siano esse in «Arena» quale abile conduttore oppure nell’emissione «Quer» dove, con empatia, ha intervistato molte persone interessanti. Quindici anni di presenza in TV hanno fatto di Patrick Rohr una persona nota in tutta la Svizzera tedesca. «Da una parte – racconta Rohr – naturalmente è bello sentirsi conosciuto ed essere fermato per la strada dalle persone che desiderano parlarmi, ma dall’altra ci sono giorni in cui desidero solo rimanere anonimo. Ma appunto, tutto ha un suo prezzo nella vita.» Se non avesse vissuto tutti quegli anni in televisione e in modo così positivo e se non avesse manifestato pubblicamente e ripetutamente il suo talento, le sue capacità e la sua retorica, oggi Patrick Rohr non sarebbe di certo un brillante direttore col suo consueto e aperto sorriso – devo già contare sull’aiuto di cinque collaboratori. Nel medesimo tempo ho scritto un paio di libri con consigli utili; libri che sono diventati bestseller. No, a dire la verità non mi manca il periodo della TV, anche se è stato davvero fantastico.» Re della conversazione Durante le conversazioni, il 41enne appare autentico ed aperto, schietto. Parla e racconta in modo interessante, gesticolando, ma sa anche ascoltare molto attentamente. E’ davvero una fortuna che la Federazione svizzera dei Samaritani (FSS) lo abbia potuto avere per le sue Giornate d’Impulso a Olten, in aprile. Nella sua veste di esperto di «Gioventù e Sport», a suo tempo aveva frequentato un corso di Primi soccorsi. A parte ciò, non ha però poi mai avuto altre occasioni di avvicinarsi al mondo Samaritano. Ha appena pubblicato il suo nuovo – e secondo – libro dal titolo «So meistern Sie jedes Gespräch» («Così gestite ogni conversazione»). Il primo era intitolato «Reden wie ein Profi» («Parlare come un professionista»). «Scrivere libri – confessa spiegando la sua passione – è sempre stato un mio sogno. Il lavoro in televisione era immediato e ‹sfuggente›, mentre i libri possono approfondire e rimangono nel tempo.» Malgrado la sua lunga esperienza, le sue conoscenze e la sua prepa- «Ci sono anche giornate nelle quali desidero rimanere anonimo.» Patrick Rohr di un’impresa di comunicazione. Da quando, appena tre anni fa, ha lasciato di sua propria iniziativa gli studi a Leutschenbach per aprire una sua ditta di consulenza con sede a Zurigo, il successo è andato sempre in crescendo: «Oggi – conferma razione, ammette che gli capita ancora, prima di entrate pubbliche, che il «cuore gli batta forte in gola». «La maggior parte delle volte – afferma però – dopo la prima frase e/o una battuta di humor il nervosismo mi passa. La risata rompe sempre il ghiaccio e facilita il contatto con il pubblico, in ogni caso.» Ritratto In qualsiasi posto della Svizzera lui compare, lo si conosce. Quindici anni di presenza in televisione hanno il loro effetto! Patrick Rohr, già moderatore televisivo, è oggi un affermato autore di bestseller e un imprenditore di successo nel campo della comunicazione. 21 Giornalista appassionato Anche se spesso e volentieri si pensa che Patrick Rohr sia vallesano, in effetti non è proprio vero. Egli è cresciuto infatti nel Canton Glarona, dove – ad appena 14 anni – ha fatto le prime esperienze giornalistiche scrivendo come collaboratore per il giornale locale «Glarner Nachrichten». L’accento vallesano («che però oggi non è così forte come un tempo», puntualizza il nostro interlocutore) lo ha invece «intaccato» un po’ più tardi, quando con sua madre e sua sorella si erano trasferiti da Nestal a Briga. «Come Teenager per me era molto importante esprimermi, proprio come gli altri.» Il mestiere vero e proprio lo ha imparato a Zermatt, presso la «Radio Matterhorn». Successivamente, la sua entrata ed ascesa alla Televisione svizzera tedesca è stata notoriamente rapida, folgorante. Poco dopo la sua partenza dalla tele, ha addirittura ancora ricevuto il premio del pubblico televisivo quale «Moderatore preferito della Svizzera». «Quando prendo un impegno, voglio dare il massimo. Così farò anche a Olten», afferma convinto Patrick Rohr. n oggi samaritani 1/10