4 / 10
http://www.samaritani.ch
Il Consigliere federale Burkhalter
incoraggia i giovani soccorritori
04 I Casi concreti di rianimazione cardiaca
10 I Samaritani in veste
di First-Responder
12 I L’apparato respiratorio, lezione di anatomia
17 I A Coldrerio la 55esima
assemblea ASSTM
ENFIN!
Sylvia: J’avais tellement perdu
de poids en 1 semaine que j’ai
annulé mon rendez-vous
pour une chirurgie gastrique!
Un traitement
naturel contre
l’obésité a été
développé.
Sylvia nous raconte comment grâce à un procédé
révolutionnaire elle a perdu 22 kg en 7 semaines
alors qu’elle était désespérée et décidée à se faire
poser un ballon gastrique.
passés et j’avais 25 kilos en trop.
J'avais tellement essayé de procédés miracles
que je ne croyais plus à rien. Je ne trouvais plus rien
à m’habiller, je n'osais pas sortir et la plage était
devenue un supplice. Mais le pire, c’étaient les
réflexions de mon mari et de mon fils que je ne veux
pas rapporter ici. Enfin, au niveau affectif avec mon
mari cela devenait catastrophique.
Et puis un jour, à la télé, j’ai vu une émission
sur les chirurgies gastriques pour les personnes qui
souffrent et qui n’arrivent pas à maigrir. En réalité,
il s’agit de placer un ballon dans l’estomac. Par conséquent, on ne peut pas manger beaucoup et donc on
maigrit.
Au bout du rouleau et prête à tout pour redevenir une vraie femme, je suis allée voir mon médecin.
Je lui ai dit que je voulais faire cette opération. Finalement, nous avons fixé une date pour l’intervention. J’avais pris une décision radicale et j’étais
convaincue du résultat.
Le jour après, j'ai confié cette décision à ma
meilleure amie Monica. Le lendemain, elle m’a
appelé pour me dire que son mari qui est ingénieur
biologiste, avait entendu parler d’un nouveau procédé qui assure le même effet, mais qui évite les
inconvénients d’une intervention chirurgicale.
Il s’agissait d’une sorte de poudre qui gonfle
pour atteindre un volume multiple dans l’estomac et
permet d’agir comme le ferait un ballon gastrique.
Deux jours après, elle était devant ma porte
avec le paquet contenant la poudre miracle qu’il fallait prendre sous forme de capsules. Quand j'ai lu la
composition, j’ai constaté qu’il s’agit d’un dispositif médical certifié et à 100% naturel qui n'entraîne
aucun effet secondaire nocif.
Je pensais surtout à mon opération qui appro-
chait (c’était dans 10 jours). Je me suis dit que ce
serait une bonne occasion de m'y habituer.
Alors j'ai pris 3 capsules une demiheure avant chaque repas principal et l’effet a été immédiat.
Je mangeais ce que je j’aimais, mais je ne n'avais plus
ces pulsions qui vous font
grignoter toute la journée.
Après 3 jours, j'avais perdu
1,5 kilos et en fin de semaine,
la balance a affiché 3,5 kilos de moins.
Il me restait 3 jours avant l'opération. J’ai
appelé mon médecin pour lui raconter ce qui m'arrivait. Quand je lui ai parlé de la composition de
PLANTO-SLIM (c'est le nom de ces capsules qui
contiennent cette poudre miracle), il n'a pas été
étonné.Il m'a dit que j’avais réalisé naturellement ce
que je m’étais préparé à faire avec une opération
chirurgicale. Nous avons décidé ensemble d’annuler mon opération et de suivre les résultats ensemble chaque semaine.
Evidemment, j’ai continué à perdre du poids
régulièrement. Le premier mois j’avais perdu exactement 13 kilos – et cela sans faire aucun effort particulier.
Je mangeais ce que j’aimais, à ma faim avec un sentiment de satiété que j'avais oublié depuis longtemps. Je me sentais en pleine forme. J’ai perdu 22
kilos après 7 semaines. Là, mon médecin m’a dit
stop c’est assez.
J’avais peur de reprendre du poids en arrêtant
de prendre PLANTO-SLIM. Pour éviter donc l’effet yoyo bien connu, je prends tout simplement 2
capsules de PLANTO-SLIM avant des repas particulièrement riches en calories, mais c'est tout.
J’ai enfin la silhouette dont j’ai si longtemps
rêvé et avec mon mari j’ai des relations affectives
plus belles que jamais auparavant.
POURQUOI PLANTO-SLIM AGIT COMME
UN BALLON GASTRIQUE NATUREL
PLANTO-SLIM agit selon le même principe que le ballon gastrique qui est introduit dans le cadre d'une opération (ce ballon doit remplir l’estomac). La différence c’est que PLANTO-SLIM est à 100% naturel. Chaque jour vous perdez du
poids sans sensation de faim. Découvrez-en les raisons ci-dessous …
1) Sensation de satiété
pour longtemps
Les capsules PLANTO-SLIM
sont remplies de poudre de
glucomannane de konjac, un
extrait végétal de la racine de
konjac spécialement traité.
En prenant cette poudre avec
de l'eau, celle-ci gonfle dans
l'estomac jusqu'à atteindre
200 fois son volume normal
et forme une masse gélatineuse qui enferme les composants alimentaire broyés.
Ainsi, vous mangez nettement moins que d’habitude
car votre estomac est rempli
plus rapidement. Grâce à
cette sensation de satiété
durable et agréable vous ne
ressentez plus de sensation de
faim omniprésente. La poudre
elle-même est éliminée de
manière naturelle sans être
digérée. PLANTO-SLIM peut
être pris à volonté.
2) Réduit l’absorptionde
calories
En outre, PLANTO-SLIM
retarde l'absorption de graisses et réduit la quantité de
glucides qui sont absorbés par
la nourriture. Le résultat?
Non seulement, vous mangez
moins, mais aussi vous absor-
bez moins de calories de ce
que vous mangez. De cette
manière, vous perdez automatiquement de poids et ce, sans
avoir faim un seul instant.
3) Remboursement
garanti
N'hésitez pas et commandez
PLANTO-SLIM
encore
aujourd’hui. Si vous ne perdez pas de poids avec PLANTO-SLIM, nous vous remboursons votre argent sans
discuter. C’est honnête, n’estce pas?
Avalées avec de l’eau, ces capsules
agissent comme un ballon
gastrique naturel.
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‘ Si vous souhaitez perdre du poids normalement, prenez 2
capsules avant chaque repas principal.
‘ Si vous souhaitez perdre du poids rapidement, prenez 3
capsules avant chaque repas principal.
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on histoire est somme toute assez banale...
Pour résumer, entre 23 ans, quand j’ai eu mon
M
fils unique, et hier si je puis dire, 10 ans s’étaient
E
ditoriale
Editoriale
Sommario
Sommario
Reportage
04
Essere immediati, i minuti contano,
First-Responder, BLS, AED, corretta
rianimazione cardio-polmonare …
Sono tutte espressioni che ritroviamo
in diverse pagine di questo numero di
«oggi Samaritani». Bastano queste
parole per rendersi conto del fatto
che essere Samaritano può essere
anche molto impegnativo. Negli ultimi 20 anni, infatti, nel campo dei primi soccorsi con la rianimazione cardio-polmonare, sono state introdotte
parecchie tecniche nuove a cominciare dalla defibrillazione automatica
esterna (AED). Grazie a queste tecnologie e alla corretta applicazione
delle prime misure di soccorso, molte
vite possono e potranno essere salvate. E l’evoluzione, in questo settore,
non si ferma. Anzi va veloce!
E’ quindi innegabile che, anche per i
Samaritani che svolgono la loro attività a titolo volontario, un aggiornamento tecnico continuo è indispensabile per restare al passo con i tempi.
Soprattutto per rimanere un’organizzazione affidabile e veramente utile,
a livello nazionale. La concorrenza in
questo settore è forte; la sfida è
grande.
Se i Samaritani vogliono restare in
gioco sulla scena dei primi soccorsi,
devono cogliere questa sfida. Pena:
essere messi velocemente da parte.
Tutto questo non significa che la tecnica deve prevalere sul cuore o che lo
strumento deve avere priorità sulla
buona parola, sul conforto dato a chi
soffre. Anzi: le due cose devono e
possono convivere e in questo credo
risieda proprio la grande forza e
l’umanità del movimento Samaritano
e della sua antica filosofia.
A pagina 4 abbiamo degli esempi
concreti di interventi di rianimazione,
mentre a pagina 10 Regina Gorza ci
parla del concetto di First-Responder.
A pagina 18 si legge del positivo
esempio del Ticino in questo settore,
con l’iniziativa della Fondazione Cuore Ticino. Buona lettura!
Mara Zanetti Maestrani
Esempi reali di interventi e rianimazioni a seguito di
episodi di arresti cardiaci.
Ricette di successo
07
Dimissioni
Come pianificare ed organizzare al meglio dimissioni da
cariche importanti della Sezione.
Attualità dalla Federazione
10
14
Primo intervento
Regina Gorza spiega possibilità e limiti per i Samaritani
quali First-Responder.
Apparecchio Mini-Anne
Il progetto della Fondazione svizzera di cardiologia
sostenuto anche dalla FSS.
Sommario
Accogliere la sfida
Impiego BLS-AED
03
Buono a Sapersi
12
Anatomia umana
L’apparato respiratorio, le sue parti, le sue funzioni
specifiche e particolarità.
Sezioni e Associazione
17
Sezioni ticinesi si raccontano
Riuscita assemblea ASSTM a Coldrerio; Echi dalle Sezioni
di Tenero, Cavergno, Blenio e Ambrì-Piotta.
oggi samaritani 4/10
Reportage
Per essere pronti all'uso del
defibrillatore in casi reali,
bisogna esercitarsi e fare
attenzione a tutti i dettagli.
04
Racconti di Samaritani che hanno impiegato BLS – AED in casi reali
Esperienze vissute nella lotta
contro l’arresto cardiaco
Grazie alle misure BLS e agli apparecchi AED (*) oggi sempre più spesso le persone colpite da
arresto cardiaco sopravvivono all’evento. Più spesso sì, ma purtroppo però … non sempre. Ecco
alcuni racconti di eventi reali vissuti da Samaritani come voi.
oggi samaritani 4/10
Dopo 14 ore di lavoro, una rianimazione
Sul posto dell’incendio, si trovano
anche i Samaritani Richard Nieder­
berger e Elke Ledermann, lui presi­
dente della Sezione Samaritani di
Kaiseraugst, istruttore cantonale e
monitore di corso nonché monitore
di Sezione; lei pure Samaritana
esperta, membro dei quadri del vei­
colo sanitario dei Pompieri di Kaiser­
augst. I due stanno lavorando sul
posto da ben 14 ore …
Proprio quando, verso sera, pen­
sano finalmente di poter lasciare il
luogo dell’incendio e di rientrare a
casa, sentono improvvisamente delle
grida d’aiuto. «Il tutto non aveva nul­
la a che fare con l’incendio», precisa
Richard Niederberger. Una donna
arriva infatti di corsa, agitando le
mani e dicendo che sua suocera stava
male e stava morendo.
Di Kurt Venner
Nelle prime ore di quella mattina di
sabato, 15 novembre 2008, improv­
visamente le fiamme divampano nel
Nightclub Moolight di Augst, comu­
ne del Canton Basilea Campagna. Il
furioso incendio occupa i vigili del
fuoco, la polizia e gli enti di soccor­
so, tutti prontamente intervenuti sul
posto, per ben 24 ore di filato. Tra i
soccorritori, anche il veicolo sanita­
rio dei Pompieri, sul quale possono
lavorare solo membri attivi di una
Sezione Samaritana.
Agire assieme per vincere sulla
morte
Richard Niederberger accompagna
la donna nel suo appartamento, dove
in effetti una signora anziana giace
sul divano apparentemente priva di
vita. Il Samaritano inizia subito con
lo schema ABCD, quindi allarma i
soccorritori professionisti ed inizia
poi immediatamente con le misure
BLS. Elke, da parte sua, ha recupera­
to un defibrillatore e così iniziano
subito la rianimazione cardiopolmo­
nare, aiutandosi in coppia: lei effet­
tua la respirazione artificiale con
l’AMBU, lui il massaggio cardiaco.
Il «Defi» dà tre scariche in totale.
Dopo 10 minuti dalla chiamata,
arrivano sul posto i soccorritori pro­
fessionisti. Quest’ultimi si mettono
al lavoro, fianco a fianco dei due Sa­
maritani. Tutti lottano per salvare
dalla morte l’anziana signora. I soc­
corritori sostituiscono velocemente
il Defi dei Samaritani con un loro
apparecchio AED. Un soccorritore
prepara un’infusione, i medicamenti
sono pronti all’uso. Elke e Richard
continuano la rianimazione. Ogni
singola persona, in questi delicati
frangenti, assume una sua precisa
funzione, con determinazione ma
anche con calma e precisione, il tutto
in funzione della riuscita della riani­
mazione.
Seguono altre scosse prodotte dal
defibrillatore, vengono iniettati i me­
dicamenti, e i soccorritori proseguo­
no infaticabili con la respirazione
artificiale e il massaggio cardiaco.
Dopo una buona mezzora, le condi­
zioni della donna sono ritenute sta­
bili e può quindi essere trasportata
all’ospedale con l’ambulanza. So­
pravviverà! Le misure BLS, il DEFI,
il pronto intervento e l’ottimale
collaborazione dei Samaritani con i
soccorritori professionisti le hanno
salvato la vita!
E già di primo mattino del giorno
dopo, Elke Ledermann e Richard
Niederberger sono di nuovo al posto
sanitario sul luogo dell’incendio, e
questo dopo la giornata molto inten­
sa, le 15 ore di lavoro ininterrotto, il
Reportage
Richard Niederberger e Elke Ledermann hanno salvato la vita di una donna.
05
Peter Fuchs, custode della pista di
ghiaccio, ha salvato un uomo di 74 anni.
oggi samaritani 4/10
Reportage
salvataggio della signora e il servizio
di chiusura dell’area del sinistro
ai troppi curiosi accorsi, cosa –
quest’ultima – che non ha loro risparmiato anche qualche parolaccia.
06
Un intervento di soccorso purtroppo
finito male
Anche Paul Haltiner ha dovuto usare
sul serio, due anni fa, un apparecchio
defibrillatore. E’ presidente della Sezione Samaritani di Gränichen, dove
è pure monitore di corso e monitore
di Sezione, ed è pure istruttore
nell’Associazione cantonale di Argovia. Il suo aneddoto: dopo un posto
samaritano, alla sera, lui e i suoi colleghi Samaritani hanno ricevuto una
chiamata d’allarme. Dietro una casa,
un uomo anziano giaceva a terra, accanto alla sua motocicletta.
Dal primo veloce accertamento
secondo lo schema ABCD, i Samaritani hanno purtroppo potuto constatare che l’anziano non dava più
segni di vita. Haltiner allarma comunque i soccorsi, e prepara il defibrillatore, e poi con i colleghi inizia
la rianimazione BLS – AED, come
hanno appreso a fare. L’ambulanza
arriva alcuni minuti più tardi, ma
purtroppo questa volta la corsa contro il tempo è stata persa: l’uomo
muore infatti sul posto, poco dopo.
Vani i tentativi di salvarlo.
Paul Haltiner racconta che, in effetti, «nessuno poteva dire con precisione da quanto tempo l’uomo giaceva a terra da solo, incosciente e senza
aiuto». L’insegnamento che ha tratto
da questo triste episodio, è che comunque e sempre «è importante allenarsi e ripetere con precisione ed efficacia gli esercizi di BLS e AED,
ricordandosi dei dettagli importanti.
BLS e AED vanno stretti a braccetto:
Paul Haltiner ha dovuto usare il
defibrillatore in un caso reale, un
paio di anni fa. E’ presidente della
Sezione Samaritani di Gränichen e
istruttore dell’Associazione
cantonale di Argovia.
oggi samaritani 4/10
il defibrillatore da solo non salva la
vita».
Custode della pista di ghiaccio salva
una vita
Da ben 37 anni Peter Fuchs è custode
della pista di ghiaccio di Frauenfeld.
Grazie alla sua formazione in primi
soccorsi e al corretto impiego del defibrillatore, ha salvato una vita.
Ecco l’episodio: un mattino, verso le
9, un uomo di 74 anni sta giocando
a tennis nella palestra accanto alla
pista di ghiaccio. Improvvisamente
l’uomo si accascia al suolo, verosimilmente colpito da arresto cardiocircolatorio.
Il custode così come i soccorritori
del 144 vengono subito allarmati per
telefono. Trovandosi nelle immediate
vicinanze, Fuchs e un suo collega di
lavoro si precipitano sul posto con il
defibrillatore. Immediatamente iniziano con le misure di primo soccorso
(BLS) e installano il defibrillatore.
Quest’ultimo richiede scosse elettriche per ben 7 volte. Tra una e l’altra,
i due soccorritori si alternano nel
BLS, con la respirazione artificiale e
il massaggio cardiaco. Non sono ancora passati 10 minuti e l’ambulanza
già arriva sul posto. I soccorritori
professionali trasportano quindi il
paziente all’ospedale. Oggi il 74enne
è di nuovo in buona forma.
n
* BLS = Basic Life Support, ossia le prime
misure immediate di soccorso
* AED = Automated External Defibrillation,
ossia defibrillazione automatica esterna
Una spinta politica per avere più defibrillatori
Da 25 anni, il medico
sportivo Jean-Jacques
Fasnacht di Marthalen
(Zurigo) è anche medico
della Sezione Samaritana
di Trüllikon-Benken e
Truttikon. Egli si ricorda,
nella sua carriera, di aver
visto diversi casi tristi di
morti per infarto, sia di
giovani uomini, padri di
famiglia, sia di persone
Il medico sportivo dr.med. Jean-Jacques
colpite mentre praticavano
Fasnacht, Marthalen.
sport in palestra o sui
campi di calcio. «In tutti
questi posti – ricorda il medico – non c’erano defibrillatori a disposizione.»
Tutt’altra cosa, racconta il medico e politico, l’ha vissuta alla Maratona di
New York, nel 2008: «Mi sono trovato in presenza di un caso di arresto
cardiaco ed ho iniziato subito con le misure BLS. Neanche 3 minuti dopo i
Pompieri mi hanno messo a disposizione un apparecchio defibrillatore.» Il
paziente è così sopravvissuto. «Un utilizzo immediato del defibrillatore
accompagnato in ogni caso dalle misure di primo soccorso BLS potrebbe
alzare la quota dei salvataggi dagli attuali 5% fino al 30%.»
Queste esperienze lo hanno portato alla ferma convinzione che anche a
livello politico bisogna battersi per ottenere ancora un maggior numero di
apparecchi defibrillatori. Così, assieme al collega medico Robert Greuter di
Nänikon, ha inviato un’iniziativa la Consiglio di Stato zurighese nella quale si
chiede «una maggiore installazione di apparecchi defibrillatori nei luoghi
pubblici del territorio cantonale».
Purtroppo, lo scorso mese di marzo il Consiglio di Stato, a maggioranza, si è
espresso negativamente, ritenendo l’utilizzo degli apparecchi troppo
sporadico e i relativi costi troppo elevati. Cosa che ha molto deluso i due
medici promotori dell’iniziativa: «è davvero peccato – sostengono – che
l’intento di due medici nel richiedere delle norme legali per poter disporre di
sufficienti defibrillatori ad uso pubblico sia ‹bocciata› per ragioni di costi e
di utilizzo effettivo, addirittura con l’interrogativo a sapere se la persona
colpita vuole essere rianimata.»
Ma i due medici non mollano: «assieme alle associazioni e ai club sportivi
interessati e alle Sezioni Samaritane – osserva il dottor Fasnacht – promoviamo l’installazione di defibrillatori in luoghi pubblici quali stadi, palestre,
stazioni ferroviarie, sale per concerti, chiese e altri luoghi pubblici.»
Ricetta di successo 27
Ci sono molti buoni motivi per assumere ruoli di responsabilità nella
conduzione di una Sezione Samaritani. Ma, prima o poi, arriva comunque il momento in cui si vuole
cedere ad altri questa carica e quindi ritirarsi dall’attività. Le conseguenze di una dimissione (per
esempio di un presidente sezionale
o di un monitore) non sono mai da
sottovalutare per lo sviluppo futuro
della Sezione.
La primavera e la sua
rinnovata energia
Lista di controllo ed altri esempi per
realizzare quanto esposto qua sopra
si trovano al link:
www.samaritani.ch / Downloads /
Conduzione della Sezione / Strumenti di conduzione / Rendere attrattive
le funzioni in comitato o nei quadri,
come pure pianificare la successione
di nuovi membri di Comitato.
La primavera ci rallegra tutti con
i suoi bellissimi colori e profumi.
Prima fiorisce il nocciolo e dopo,
grazie ai caldi raggi del sole,
tutto succede molto velocemente:
«esplodono» le meraviglie della natura, sbocciano le forsizie e altri
mille fiori. La vita rinasce, un altro
anno inizia con rinnovata energia e
anche noi al Segretariato centrale,
percepiamo questi stimoli, questi
impulsi positivi a continuare la nostra attività: la richiesta di corsi per
le ditte ed aziende è aumentata e ci
sono pure richieste regolari per i
corsi di formazione continua rivolti
agli autisti professionisti. Le Sezioni
ci comunicano che la clientela desidera di nuovo un Corso combinato
e il mercato, dal canto suo, richiede
un’offerta presente e regolare di
corsi di Primi soccorsi.
I risultati del secondo Simposio
First-Responder svoltosi a Nottwil
mi stimolano ad incoraggiare le
Sezioni Samaritane ad impegnarsi,
ognuna secondo le proprie possibilità, nei gruppi regionali di FirstResponder.
A tutti noi, insomma, non mancherà il lavoro, sia nell’Organizzazione
centrale, che nelle Associazioni
cantonali come pure, e soprattutto,
nelle Sezioni. E questo è un buon
segno. I servizi, le prestazioni e la
competenza dei Samaritani sono
sempre richiesti, ieri come oggi.
Soluzioni flessibili e buona collaborazione ci permetteranno di far
fronte sempre in modo ottimale ai
bisogni della popolazione.
Gery Meier,
Capo settore Marketing
Regina Gorza
Sostituta segretaria centrale FSS
Tempo e impegno
I soci di una Sezione che decidono di
assumere ruoli di responsabilità sono
anche pronti a dedicarvi tempo e
passione. Non solo colmano un
«vuoto» nell’organigramma della Sezione, bensì rappresentano una
«ruota» importante del suo ingranaggio; un ingranaggio il cui funzionamento – in caso di una dimissione
– può accusare significativi «disturbi». Ogni dimissione da cariche importanti necessita quindi sempre la
massima attenzione e valutazione.
L’ideale sarebbe che le dimissioni
vengano comunicate al Comitato,
per iscritto, almeno con un anno di
anticipo. In questo modo c’è il tempo
necessario per organizzare al meglio
la successione.
Ci sono casi normali di dimissioni, ossia quelle pianificate dagli statuti e
che quindi giungono al termine del
mandato. Ma ci sono anche casi di
dimissione a corto termine o immediate, durante il periodo di carica. In
caso di dimissioni per disaccordi in
seno al Comitato, è molto importante che eventuali critiche o malumori
siano evitati e non diventino di pubblico dominio (discussioni al bar).
Questo darebbe infatti una cattiva
immagine della Sezione e ne influenzerebbe l’ambiente generale.
Un passaggio di cariche corretto
E’ importante procedere ad un corretto passaggio di cariche. Informate
il vostro successore in dettaglio sui
vari compiti richiesti dalla carica.
Rendetelo attento sui problemi ricorrenti, sui progetti in corso e sui compiti da eseguire. Motivate il successo-
re e mostrategli anche i lati positivi e
belli della nuova carica. E soprattutto,
seguite e consigliate il vostro successore per un certo periodo di tempo
dopo che ha assunto la carica che era
vostra. E infine mettetevi ancora a disposizione per la vostra Sezione, in
caso di piccoli progetti limitati nel
tempo, oppure per consigli e cercate
di trasmettere ancora il vostro sapere
e soprattutto la vostra esperienza!
Il tutto per il bene della vostra Sezione e la stessa ve ne sarà grata!
La «Cassetta degli attrezzi», vi aiuta nella conduzione della Sezione
Ricette di successo
Pianificare bene le
dimissioni da cariche
importanti
07
oggi samaritani 4/10
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imbrattare il meno possibile la
compressa e la ferita.
08
In caso di lesioni di piccole dimensioni o di compressione,
applicare la compressa piegata
oppure, in caso di lesioni più
estese, applicare la compressa
aperta.
Avvolgere la benda intorno
alla ferita e fissarla con gli apposti ganci.
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oggi samaritani 4/10
Relazione in occasione del 2. Simposio First-Responder a Nottwil
Samaritani e First-Responder:
possibilità e limiti
Attualità dalla Federazione
Da diversi anni, autorità varie e organizzazioni di soccorso discutono attorno all’importante
questione: chi assume il ruolo di First-Responder in caso di emergenza? Si discute inoltre su
come questo impiego e la relativa formazione dovrebbero essere organizzati. Anche la Federazione svizzera dei Samaritani (FSS) si è chinata su questo problema.
Foto: sh
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Alcune Sezioni sono già attive nel concetto First-Responder; nella foto la speciale
«cassaforte» contenente il defibrillatore.
di Regina Gorza, futura Segretaria
centrale della FSS
Un evento di arresto cardiaco porta,
purtroppo ancora nella maggior
parte dei casi, a gravi danni cerebrali o alla morte della persona colpita,
e questo perché spesso tra l’evento e
l’intervento dei soccorritori professionisti passa troppo tempo. Decisivi appaiono quindi i primi minuti
dopo l’incidente o la crisi cardiocircolatoria, minuti che servono al
dispositivo di soccorso per attivarsi.
In questo senso, si tratta di organizzare i primissimi minuti di assistenza al paziente, dai 5 ai 7 minuti
entro i quali bisogna prestare la rianimazione cardio-circolatoria e la
defibrillazione AED. Il solo e semplice utilizzo dell’apparecchio defibrillatore, così come viene pubblicizzato da alcuni mesi, non serve. Le
corrette conoscenze della rianimazione cardio-circolatoria (CPR), rispettivamente BLS rappresentano
infatti una fondamentale premessa
quando si tratta di salvare una vita
umana.
In diversi Cantoni, in particolare
nel Ticino, attraverso iniziative private e/o locali sono stati approntati
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dei dispositivi d’allarme con apparecchi AED, in stretta collaborazione con il numero d’urgenza 144 e la
sua centrale. Anche alcuni Corpi
Pompieri prestano servizi del genere,
come avviene ad esempio nel Canton Soletta; in altri Cantoni questo
ruolo è invece assunto dalle pattuglie della Polizia.
Nel limite entro cui le capacità di
queste unità di intervento lo permettono, esse rispondono comunque
alle esigenze di un’immediata disponibilità e mobilità, qualità decisive
per i First-Responder, e rappresentano quindi una buona soluzione.
Già nel 2007, la Federazione svizzera dei Samaritani si è chinata su
questa importante problematica,
cercando il modo di assicurare i primi soccorsi immediati al paziente. E
questo soprattutto laddove, in comuni o luoghi pubblici, non esiste
una presenza continua di enti di soccorso come i Pompieri, la Polizia o
servizi medici di soccorso.
Avevamo quindi pensato alla
creazione di piccole unità di allarme
e di intervento che potessero assolvere a questo compito. In concreto,
questo significa istituire dei Gruppi
locali di First-Responder in luoghi,
comuni e/o quartieri con una popolazione minima di circa 2500 abitanti. Il «personale» di questo gruppo può provenire da impiegati locali,
commessi dei negozi, impiegati in
bar e ristoranti o case di cura. Ad
esempio, il custode di un quartiere
di palazzine potrebbe essere formato a questo scopo, come pure anche
gli inquilini interessati e motivati.
Ovviamente queste persone interessate a diventare First-Responder devono essere debitamente formate e
seguire continui aggiornamenti.
La creazione di queste unità di
intervento ha lo scopo preciso di
fornire al paziente entro i primissimi momenti dall’incidente, i primi
soccorsi necessari e volti a dargli
le maggiori chances possibili
di sopravvivenza. Il tutto prima
dell’intervento dei servizi medici di
soccorso.
A causa della frammentazione del
nostro territorio nazionale e delle
diverse premesse già esistenti nei
singoli comuni o nelle città, devono
essere valutate e messe a punto soluzioni organizzative diverse, che si
adattino ad ogni situazione.
La Federazione svizzera dei Samaritani, con le sue sole forze, non
è in grado di organizzare ed allestire un sistema del genere su tutto il
territorio nazionale. Da un lato la
FSS non dispone dei mezzi finanziari necessari per concretizzare un
concetto del genere, dall’altro la
disponibilità di tempo richiesta ai
Samaritani sarebbe difficile da soddisfare. Non dobbiamo infatti
dimenticare che l’impiego dei Samaritani avviene sempre a titolo di
volontariato. Per questo motivo, ci
siamo dedicati prioritariamente
all’insegnamento e alla divulgazione delle misure immediate di primo
soccorso, attraverso i corsi BLSAED, cercando di raggiungere sempre più vaste fette di popolazione.
Istruzione e garanzia di qualità
Grazie al suo potenziale di oltre
1100 Sezioni Samaritane sparse in
loro Gruppi di First-Responder.
Inoltre ci sono segnali di interesse,
da altre Sezioni e/o dai quadri delle Associazioni cantonali, a rivestire dei ruoli nell’ambito del concetto First-Responder.
La FSS ritiene che per le unità di intervento First-Responder sia necessario un concetto nazionale che regoli l’istruzione e la formazione dei
membri, istruzione di livello 2 e 3, e
relativi aggiornamenti ed esercitazioni regolari. Il concetto deve anche
spiegare quale materiale deve essere
impiegato, come garantire la raggiungibilità del personale e come
assicurarne la mobilità.
A cosa servono i sistemi First-Responder?
Il secondo Simposio First-Responder ha avuto luogo il 20 settembre scorso
a Nottwil. Lo stesso è stato frequentato da oltre 150 persone attive nelle
varie organizzazioni di soccorso. Così come Regina Gorza ha portato il
punto di vista dei Samaritani, altri enti come i Pompieri o i Corpi di Polizia
hanno illustrato le loro modalità d’azione a riguardo degli interventi
First-Responder. E’ stata esposta anche l’esperienza olandese. Si è pure
discusso di direttive nonché degli aspetti legali e psichici legati agli interventi First-Responder.
Proprio nel campo delle esercitazioni
regolari e degli aggiornamenti, le Sezioni possono però già ora giocare
un ruolo molto importante. Nelle oltre 1100 Sezioni attive in Svizzera, i
singoli membri si ritrovano regolarmente per le loro esercitazioni. Poliziotti e Pompieri che rivestono un
compito di First-Responder devono
pure esercitarsi regolarmente e rinfrescare le loro conoscenze nel settore dei primi soccorsi. Quest’ultimi
potrebbero aggiornarsi assieme ai
Samaritani e partecipare quindi alle
esercitazioni mensili. Sono convinta
che questo agire comune sarebbe di
arricchimento per le due parti.
Spesso ci si chiede come possano
sorgere Gruppi First-Responder in
località dove non ci sono Corpi Pompieri o dove i servizi di soccorso sono
stazionati più lontano. La risposta si
trova, in ogni caso, in una buona
collaborazione tra tutti gli attori
coinvolti nella catena di soccorso.
La FSS, proprio per questo, fa parte
dal 2009 dell’apposito gruppo di
lavoro «First-Responder» creato
dall’Interassociazione di Salvataggio
n
di Berna.
Attualità dalla Federazione
tutta la Svizzera, la Federazione
svizzera dei Samaritani può tuttavia
fornire un utile ed importante contributo a sostegno del sistema di
First-Responder:
• i suoi monitori di corso e monitori
di Sezione possono venir impiegati nel reclutamento, nella formazione e nell’aggiornamento regolare dei membri dei Gruppi di
First-Responder
• i Samaritani possono impegnarsi
come membri delle unità di intervento
• le Sezioni Samaritane possono
contribuire alla garanzia di qualità del materiale impiegato. Già
oggi diverse Sezioni hanno dei
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Echi dalla Conferenza dei presidenti delle Associazioni cantonali di metà marzo
Presenza sul mercato, finanze, giubileo
e dimissioni
Come deve festeggiare, la Federazione svizzera dei Samaritani, il suo
125esimo anniversario nel 2013?
Questo era uno dei temi che ha occupato i presidenti delle Associazioni cantonali durante la loro Conferenza di due giorni a metà marzo, a
Nottwil. Il sondaggio effettuato
proprio su questo tema sul sito
www.samaritani.ch ha evidenziato
che sarebbe auspicato un buon coinvolgimento delle Sezioni Samaritane in questo grande evento. A loro,
l’Organizzazione centrale dovrà
trasmettere idee per attività ed
eventi commemorativi, come pure
fornire i necessari supporti pubblicitari.
Un altro tema portato in discussione era il miglioramento dell’«immagine di mercato» delle Sezioni
relativa all’offerta e alla proposta di
corsi. In questo senso, i presidenti
cantonali hanno riconosciuto che
una centralizzazione della gestione
degli annunci dei corsi e delle iscrizioni costituirebbe una premessa
importante. Questo comporterebbe
I presidenti uscenti: da sinistra: Christian
Iten, Svitto; la presidente centrale
Monika Dusong, Carole Hutin, Ginevra e
Jean-Claude Roulin, Neuchâtel.
un minor carico di lavoro per le singole Sezioni, più iscrizioni ai corsi
stessi e, non da ultimo, una migliore
immagine complessiva del movimento samaritano.
In seguito, i presidenti hanno esaminato e discusso le trattande previste all’ordine del giorno dell’assemblea dei delegati del 19 giugno
prossimo. In particolare si è parlato
delle forme di collaborazione esistenti e di quelle possibili nel futuro
tra le Associazioni cantonali, e si è
discusso pure del finanziamento
della FSS.
Al termine della conferenza,
come vuole la tradizione sono stati
festeggiati quei presidenti che hanno lasciato la loro carica nel 2009.
Così la presidente centrale Monika
Dusong ha rivolto parole di ringraziamento in particolare a Carole
Hutin che ha diretto l’Associazione
del Canton Ginevra per quattro
anni. Altri apprezzamenti sono stati
rivolti a Christian Iten che, dal
2007 e assieme a Bernadette Bachmann, ha co-presieduto l’Associazione cantonale di Svitto. Infine sentimenti di gratitudine sono stati
rivolti anche a Jean-Claude Roulin
che ha presieduto l’Associazione di
Neuchâtel dal 2006. Eugen Kiener
Altre informazioni e rapporti si trovano sul sito www.samaritani.ch,
Cercare: Conferenza 2010
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Anatomia umana, parte 6
L’apparato respiratorio
Buono a sapersi
Testo: Brigitte Strahm
Illustrazioni: Huch/Jürgens: Mensch
Körper Krankheit, 5. Auflage, © Elsevier
GmbH, Urban & Fischer Verlag Monaco
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Il fuoco, per alimentarsi, necessita
di ossigeno, proprio come il nostro
organismo. I processi metabolici vitali delle cellule che compongono il
nostro corpo sono assicurati da una
costante «combustione» di energia.
L’ossigeno è dunque indispensabile
anche agli esseri umani. Il suo assorbimento avviene attraverso un
sistema le cui componenti funzionano in perfetta sintonia: l’apparato
respiratorio.
L’apparato respiratorio è formato da:
naso, faringe, laringe, trachea,
bronchi e polmoni.
Naso e faringe costituiscono le
vie respiratorie superiori; laringe,
trachea, bronchi e polmoni le vie respiratorie inferiori.
Naso e seni paranasali
Il naso è la parte anatomica che caratterizza il viso di ogni persona.
Può essere lungo e stretto, largo,
grande, adunco o all’insù, ma qualunque sia il suo aspetto esteriore,
internamente la sua struttura è sempre la stessa.
La parte sporgente o esterna del
naso è costituita dalle narici e dalle
ali nasali. La sua forma è determinata soprattutto dalle diverse cartilagini che la compongono. L’aria
che vi penetra viene scaldata e umidificata. I peli nasali e le ciglia vibratili la puliscono e intercettano le
particelle estranee.
La cavità nasale è suddivisa a
metà dal setto nasale e la mucosa
olfattiva ne costituisce il tetto. I recettori presenti nella mucosa nasale
percepiscono gli odori e inviano i
corrispondenti segnali al cervello.
Un’apertura situata nella parte posteriore della cavità nasale permette
all’aria di giungere nella faringe.
Su ciascuno dei due lati del naso
si trovano i seni paranasali: i seni
frontali, le cellette etmoidali, i seni
sfenoidali e i seni mascellari. Si tratta di cavità ossee rivestite internamente di mucosa, collegate tramite
stretti orifizi alla cavità nasale principale. I seni paranasali contribuiscono a riscaldare l’aria inalata e
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fanno quindi parte a pieno titolo
dell’apparato respiratorio.
Faringe
Nella faringe si incontrano la trachea e l’esofago. L’epiglottide funziona da «scambio» tra le vie respiratorie e il tubo digerente. Durante i
movimenti di inspirazione ed espirazione si trova in posizione rialzata,
mentre all’atto della deglutizione
chiude la trachea e impedisce al bolo
e alla saliva di dirigersi verso i polmoni.
Laringe e corde vocali
La laringe è formata da tre diverse
cartilagini: la tiroidea, la cricoidea e
l’aritenoidea, che insieme costituiscono una struttura tubolare. Le
parti cartilaginose sono unite da legamenti e muscoli che garantiscono
solidità alla laringe.
La cartilagine più grande è quella
tiroidea, la cui parte superiore è
rappresentata dal pomo d’Adamo,
ben visibile dall’esterno. Sul bordo
superiore del pomo d’Adamo poggia l’epiglottide.
Più sotto si trova la cartilagine cricoidea, che costituisce il margine superiore della trachea. Sopra la cricoide, a sinistra e a destra, si trovano le
aritenoidi, due cartilagini girevoli.
Le corde vocali vanno dalla superficie interna della cartilagine tiroidea
alle aritenoidi, lasciando un’apertura centrale conosciuta come glottide.
Nel processo di fonazione, le corde vocali sono fatte vibrare da un
flusso d’aria. La frequenza del suono prodotto è regolata dalla tensione delle corde vocali, mentre il suo
volume dipende dalla colonna
d’aria. La pienezza della voce è, infine, determinata dalla cavità risonante.
Trachea
La trachea inizia subito sotto la faringe e appare come un tubo semirigido lungo circa 11 cm e formato da
una serie di anelli cartilaginei (da 16
a 20). Tale struttura permette alla
trachea di restare aperta mentre inspiriamo. In fase di inspirazione si
crea infatti una pressione negativa
Serie «Anatomia»
Nr./Edizione
Argomento
1/9 Le cellule/La pelle
2/10 L’apparato locomotore passivo
3/1 L’apparato locomotore attivo
4/2 L’apparato digerente/Parte 1
5/3 L’apparato digerente/Parte 2
6/4 L’apparato respiratorio
7/5 La circolazione sanguigna
e linfatica
8/6–7 Il sistema cardiocircolatorio
Bronchi
All’altezza della quarta o della quinta vertebra toracica la trachea si divide nei due bronchi polmonari
principali destro e sinistro. Questi, a
loro volta, si ramificano prima nei
bronchi, poi nei bronchioli, per terminare in piccolissime vescicole
chiamate alveoli polmonari.
La struttura dei bronchi è ben
raffigurata dall’immagine di un albero capovolto: le foglie rappresentano gli alveoli, il tronco e i rami
rappresentano i bronchi.
Gli alveoli si trovano a grappoli
intorno ai condotti alveolari e ai
bronchioli. In un essere umano sono
presenti circa 300 milioni di alveoli.
Ognuno di essi è circondato da una
sottilissima rete di capillari che assicurano l’ematosi, ossia il processo
di ossigenazione del sangue.
Polmoni
Nell’essere umano i polmoni occupano la maggior parte della cavità
toracica. Il polmone destro è composto da tre lobi polmonari, il sinistro da due. In alto e sui lati i polmoni sono delimitati dalla cassa
toracica, in basso dal diaframma.
Ciascun polmone è avvolto in una
sacca a doppia parete, costituita dalla pleura viscerale (interna) e dalla
pleura parietale (esterna). La cavità
tra le due pleure contiene una piccola quantità di liquido che permette
alle due pareti di scorrere l’una
sull’altra. La pressione negativa nello spazio fa sì che il polmone si adatti ai movimenti della cassa toracica e
del diaframma e possa in questo
modo dilatarsi.
Respirazione esterna e interna
Solitamente, quando parliamo di respirazione, intendiamo i movimenti
di inspirazione ed espirazione che il
sollevarsi e l’abbassarsi della cassa
toracica rendono visibili dall’esterno. Il processo respiratorio non consiste però solo nella cosiddetta respirazione esterna, ma anche nella
respirazione interna.
Respirazione esterna
La respirazione esterna serve a incamerare l’ossigeno presente nell’aria
tramite l’inspirazione e a trasferirlo
nel sangue, ricevendone in cambio
anidride carbonica da disperdere
nell’ambiente tramite l’espirazione.
All’atto dell’espirazione, oltre
all’anidride carbonica viene espulso
anche vapore acqueo. L’alternarsi di
inspirazioni e espirazioni permette
di aerare in permanenza i polmoni,
in modo che negli alveoli lo scambio
gassoso tra l’aria e il sangue veicolato dai capillari avvenga in modo
permanente. Tale processo è noto
anche come respirazione polmonare.
Respirazione interna
La respirazione interna consiste negli scambi di ossigeno e di anidride
carbonica tra il sangue e le cellule
dei tessuti. Questo processo è conosciuto anche come respirazione cellulare.
L’ossigeno si lega all’emoglobina
presente nel sangue e viene trasportato dai polmoni alle cellule. Queste
ultime cedono l’anidride carbonica
da smaltire che, sempre tramite il
sangue, raggiunge i polmoni per essere evacuata. Se lo scambio viene
interrotto nei polmoni o nei tessuti,
sopraggiunge in breve tempo la
morte per asfissia.
Buono a sapersi
(vuoto) e in assenza degli anelli cartilaginei le pareti della trachea sarebbero attratte l’una verso l’altra
impedendo il passaggio dell’aria.
Longitudinalmente e trasversalmente la trachea è elastica. Questa caratteristica è tra l’altro indispensabile
per far staccare, tossendo, i corpi
estranei e il muco.
La trachea è rivestita da un epitelio ciliato nel quale sono presenti
ghiandole mucose. Le ciglia vibratili si muovono in continuazione in
direzione della faringe, in modo da
spingere verso l’alto e l’esterno anche le più piccole impurità.
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Meccanica respiratoria
L’inspirazione avviene grazie a una
serie di movimenti muscolari. Il diaframma si tende, i muscoli intercostali più esterni si contraggono e la
cassa toracica si solleva. L’aumento
di volume del torace permette ai polmoni di espandersi e di ricevere nuova aria ricca di ossigeno.
All’atto dell’espirazione sono invece i muscoli intercostali più interni a contrarsi. La cassa toracica torna ad abbassarsi e l’aria povera di
ossigeno viene espulsa.
Volume respiratorio
Ogni movimento respiratorio permette di inspirare o espirare approssimativamente 500 ml di aria. Circa
due terzi raggiungono gli alveoli, il
resto rimane nelle vie respiratorie.
Un adulto respira dalle 14 alle 16
volte al minuto, per un volume complessivo di 7,5 litri di aria inspirata
ed espirata ogni 60 secondi.
Controllo della respirazione
Il tenore di ossigeno e di anidride
carbonica e il pH del sangue sono
rilevati in diversi punti dell’organismo da neuroni recettori. I valori
sono poi trasmessi al centro della respirazione situato nel midollo allungato. Se ad esempio il livello di anidride carbonica nel sangue cresce, la
frequenza respiratoria aumenta così
da espellere dall’organismo l’anidride carbonica in eccesso.
n
oggi samaritani 4/10
Consiglio federale e Samaritani sostengono il programma della Fondazione svizzera di Cardiologia
In 30 minuti pronti per un’emergenza
cardiaca
La Fondazione Svizzera di Cardiologia ha lanciato, a fine marzo scorso e alla presenza del Consigliere federale Didier Burkhalter, un modello innovativo di autoapprendimento delle conoscenze
per salvare la vita; modello rivolto principalmente agli allievi e alle loro famiglie.
Attualità dalla Federazione
in un anno si verificano 8000 arresti
cardio-circolatori: meno del 5% delle persone colpite sopravvive ad un
tale evento. Potrebbero essere quindi molte di più, se solo si riuscisse ad
aumentare la percentuale di popolazione istruita in materia di rianimazione cardio-polmonare.
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La presidente centrale della FSS Monika Dusong e il presidente della Fondazione di
Cardiologia Ludwig von Segesser ricevono il Consigliere federale Didier Burkhalter.
di Eugen Kiener
Con il kit d’esercitazione Mini Anne
i laici possono imparare velocemente le nozioni base ed importanti di
comportamento in caso di arresto
cardio-circolatorio. Ed in effetti,
durante la presentazione alla stampa del 30 marzo scorso allo «Stade
de Suisse» di Berna, ben 100 scolari
Allo «Stade de Suisse», oltre 100 bambini
dalla Svizzera tedesca e romanda
oggi samaritani 4/10
della Svizzera tedesca e romanda
hanno acquisito in soli 30 minuti le
nozioni fondamentali per salvare la
vita. Il ministro della salute Didier
Burkhalter ha quindi ringraziato i
giovani di cuore per la loro disponibilità a diventare soccorritori.
Secondo la Fondazione Svizzera
di cardiologia, l’istruzione nelle
scuole è il miglior modo per diffondere su vasta scala e in modo duraturo le cognizioni di pronto soccorso in caso di emergenza cardiaca,
nozioni che oggi sono ritenute insufficienti nella popolazione. Il modello
di autoapprendimento è stato introdotto con successo in circa 20 Paesi
del Mondo, tra cui gli Stati Uniti,
l’Australia e parecchie nazioni europee come la Danimarca, i Paesi Bassi e la Germania.
Secondo un sondaggio realizzato
dalla Federazione svizzera dei Samaritani (FSS), 3 persone su 4 hanno seguito un corso di Primi soccorsi, tuttavia la frequenza risale
spesso a parecchi anni addietro. Ed
in effetti, solo poche persone effettuerebbero in caso reale una respirazione artificiale e ancora meno (una
persona su tre intervistate) farebbero
un massaggio cardiaco. In Svizzera
Mini Anne non sostituisce i corsi
dei Samaritani
La presidente centrale della FSS Monika Dusong ha affermato a Berna
che la FSS sostiene il progetto lanciato dalla Fondazione Svizzera di
Cardiologia. In effetti, lo stesso collima con lo scopo della FSS, ossia
quello di divulgare ad un maggior
numero possibile di persone le conoscenze dei primi soccorsi.
Il Kit di autoapprendimento Mini
Anne, ha detto dal canto suo il capo
della Sezione Formazione e Consulenza della FSS Roland Marti, non
rappresenta una concorrenza per i
corsi proposti dalle Sezioni Samaritane: «questi apparecchi – ha infatti
precisato – permettono ai profani di
imparare rapidamente e facilmente
cosa si deve fare, ma non possono
assolutamente rimpiazzare la frequenza di un corso. Nei nostri corsi
– ha continuato Marti – si lavora e
ci si esercita sulla base di esempi,
dove i partecipanti imparano non
solo la rianimazione cardio-circolatoria, ma anche come procedere e
comportarsi nella gestione dell’intera situazione di emergenza.»
Da sempre, non esiste in Svizzera
un obbligo di seguire una formazione nell’ambito dei primi soccorsi.
Pure nelle scuole l’esercitazione
alla rianimazione cardio-circolatoria non è ancora inserita tra le materie obbligatorie. Proprio per questo,
la Fondazione Svizzera di Cardiologia e la FSS intendono pianificare e
proporre in diverse scuole e Cantoni
dei progetti pilota che possono servire da stimolo. Prossimamente le
scuole riceveranno informazioni sul
concetto di autoapprendimento e le
relative informazioni sui vari pron
getti.
3domande
In breve
Anita Tenhagen
«Voglio continuare ad
essere vicina alla base»
Da quasi un anno, Anita Tenhagen,
di Effretikon, è stata eletta in seno al
Comitato centrale della Federazione
svizzera dei Samaritani (FSS). La redazione centrale di Olten di «oggi
Samaritani» ha voluto intervistarla
per sapere da lei come giudica questa esperienza.
ek.
1
1. E’ riuscita ad entrare nello spirito
giusto del Comitato centrale?
Sin dall’inizio sono stata accettata
molto bene da tutto il Team ed è
quindi stato molto facile integrarmi.
Per contenere la durata delle sedute,
riceviamo già prima per posta tutta
la documentazione da discutere,
così ci possiamo preparare in anticipo. Nonostante questo, le sedute
sono intense. Le eventuali differenze
di opinione vengono affrontate in
modo concreto ed orientato alla ricerca di soluzioni.
Attualmente mi sto occupando di
temi tecnici, dato che con la mia attività di istruttrice sono più vicina a
queste tematiche. Comunque mi interessano pure tutte le altre tematiche.
2
2. Quali sono gli argomenti che la
occupano maggiormente?
Personalmente mi sta a cuore la collaborazione a livello nazionale: solo
assieme, tutti uniti, potremo guardare al futuro in modo positivo. Per
fare ciò, deve instaurarsi una fitta
rete di comunicazione, a tutti i livelli.
In questo senso, la nuova rivista
«oggi Samaritani» e le Newsletters
mensili fanno già tanto. Purtroppo,
però, succede ancora che le informazioni non passino. E molti Samaritani, da una parte, non si rendono
conto di quanto lavoro tutto questo
comporta per il Segretariato centrale. D’altra parte, succede ancora
spesso che tematiche urgenti o importanti per le Sezioni non giungano
al Segretariato. Nel 2013 la FSS
commemorerà il suo 125 anniversario, una bellissima occasione per festeggiare ma anche per mostrare a
tutta la popolazione la nostra forza
in quanto organizzazione nazionale.
Un occhio di riguardo lo meritano i
nostri corsi per la popolazione: offriamo infatti corsi di livello molto
buono con monitori qualificati ed
aggiornati. Il continuo aggiornamento e la formazione dei quadri
sono molto importanti se vogliamo
continuare ad essere migliori della
concorrenza.
3
3. Oggi come ieri, è sempre attiva
nella sua Sezione Samaritana come
pure nella sua Associazione cantonale. Data sua alta funzione odierna, sono cambiati i suoi rapporti
con la base?
La collaborazione non è per niente
cambiata, dal momento che sono
sempre rimasta la stessa persona di
prima. Sono sempre una Samaritana
come tutti gli altri e questo è per me
molto importante. Voglio sentire
come funziona la base, e ciò è possibile solo se con la base ci si vive e si
lavora. Per motivi di tempo, però,
non posso più essere così presente e
ogni tanto devo declinare qualche
impegno con la Sezione. Tuttavia ritengo che la mia collaborazione in
tutti i livelli mi offre la possibilità di
gettare uno sguardo concreto sui
problemi e sui desideri di ogni settore della vita samaritana.
La Colletta Samaritana 2010 è prevista dal 23 agosto al 4 settembre. Le
Sezioni hanno ricevuto i relativi formulari di comanda già in marzo. Il termine per l’inoltro dei formulari scade a
metà maggio. Tra i mezzi pubblicitari
a disposizione delle Sezioni, figura anche il giornale della Colletta che è allegato alla rivista attuale. La Colletta
2010 avrà quale tema: «Primi soccorsi
anche nello Fai da te». Il materiale
contiene pure l’appello della Presidente della Confederazione Doris Leuthard. Come noto, una buona metà
della raccolta della Colletta torna alle
singole Sezioni e alle Associazioni, a
copertura delle loro attività.
E’ scomparso Ermanno
Genasci
Lo scorso marzo è purtroppo deceduto, a Gudo, Ermanno Genasci, classe
1935. Genasci era stato nominato nel
1993 quale rappresentante della Croce Rossa svizzera (CRS) in seno al
Comitato centrale della Federazione
svizzera dei Samaritani, carica che ricoprì per un paio di anni. Per molti
anni è stato molto impegnato nell’Associazione svizzera dei cani da catastrofe, ora Redog, organizzazione che
ha presieduto per ben otto anni.
E’ stato pure nel consiglio di direzione
della CRS, dove ha anche rivestito la
carica di vicepresidente. Ermanno Genasci è ricordato come una persona
gentile, discreta e generosa, sempre
molto impegnata in opere sociali e
umanitarie. Sapeva inoltre intrattenere ottimi rapporti con i Samaritani ticinesi. Con la sua morte, è scomparsa in
Ticino una figura importante nel campo degli enti di primo soccorso.
Attualità dalla Federazione
Giornale per la Colletta
Samaritana 2010
15
Istruzione BLS-AED nei
Centri Fitness
Le Sezioni Samaritane possono continuare ad offrire l’istruzione ai corsi
BLS-AED in tutti i Centri Fitness. Questo quanto comunicato da «Qualitop»
lo scorso 1 marzo a tutti i Centri Fitness attraverso una lettera circolare.
Questa circolare è visibile presso il Segretariato centrale della FSS. In concreto, questo significa che il corso
BLS-AED può venir proposto ed offerto a partire da subito; negli anni 2010
e 2011 assieme al corso di introduzione-formazione BLS-AED; a partire dal
2012 gli aggiornamenti BLS-AED.
oggi samaritani 4/10
Gaby Hartert, Rebstein
Attualità dalla Federazione
Organizzatrice con
testa, cuore e mani
16
oggi samaritani 4/10
Un’organizzazione funziona ed ha successo,
solo se ci sono testa, cuore e mani. Di questo
Gaby Hartert, Samaritana e municipale a
Rebstein, ha più volte ricevuto conferma, ad
esempio nelle vesti di presidente del Comitato
d’organizzazione delle ultime Gare Samaritane
svizzere.
di Dominik Senn
Q
uando faccio o organizzo qual­
cosa, lo faccio sempre con te­
sta, cuore e mani. Il cuore deve esse­
re sempre presente, intendo nel
sentire e percepire le persone con le
quali si lavora; devono sempre es­
serci motivazione ed entusiasmo. E
le persone devono sentire che dietro
di loro c’è qualcuno che le sostiene.
Gaby Hartert sa di cosa parla. Nelle
vesti di presidente del Comitato
d’organizzazione ha portato a ter­
mine con successo le Gare Samarita­
ne 2009 grazie ad una Sezione Sa­
maritana molto motivata e ad altri
ben 300 aiutanti e collaboratori pro­
venienti da quasi tutte le società del
paese.
Gaby è Samaritana dal 1995 e
anno dopo anno partecipa in seno al
Gruppo di gara alle Gare svizzere.
E’ così che una volta ha pensato di
«trasferire» questo importante even­
to anche nella «sua» suggestiva e
verde Valle del Reno, a Rebstein ap­
punto, sede dell’attiva Sezione Sa­
maritana che è già stata tre volte
campione svizzera e che nel 1999 ha
avuto l’onore di rappresentare la
Svizzera alle Gare europee di primi
soccorsi FACE, concludendo ad un
onorevolissimo settimo rango. E
Gaby, ovviamente, era in squadra! E
così lo scorso anno, proprio in
occasione del Centenario di fonda­
zione della Sezione, ha «messo» in
piedi il grande evento svizzero. Du­
rante l’assemblea sezionale, ad ini­
zio 2010, i soci hanno potuto ammi­
rare non solo un bellissimo libro
ricordo con delle foto, bensì anche
una piccola pubblicazione sui 100
anni di storia della Sezione, ovvia­
mente redatta da Gaby.
Gaby Hartert è nata il 10 aprile del
1963, lo stesso giorno della Consi­
gliera federale Doris Leuthard: «un
semplice caso», osserva sorridendo.
Ma ci sono state altre attività in co­
mune: le due donne erano infatti
ambedue ginnaste, sono socie del
Partito popolare democratico e sono
politicamente attive negli Esecutivi:
Doris Leuthard a livello federale,
Gaby a quello comunale. Infatti dal
2005 è Municipale a Rebstein quale
unica donna in questo gremio e ter­
za nella storia ad esservi eletta.
Nata e cresciuta nel villaggio vici­
no di Marbach, è figlia dell’alberga­
tore Karl Baumgartner, membro del
locale Consiglio scolastico e della
Commissione della gestione comu­
nale. La mamma Rosmarie, già gin­
nasta, è stata fondatrice del movi­
mento «Ginnastica per tutti». In
questo senso, la vita sociale è «di
casa» ed è un aspetto importante
nella famiglia Baumgartner.
«Per un villaggio – dice Gaby – la
presenza e la vita delle società sono
culturalmente molto importanti.»
La sua formazione l’ha portata a
concludere la licenza liceale, tipo E,
tinua il lavoro nell’impresa tessile.
Diventa così capo del settore vendita
in Francia con ufficio a Parigi. Più
tardi torna a Rebstein.
Sposata e madre di tre bambini,
ha da subito un buon motivo per se­
guire il corso di Primi soccorsi per i
bambini. Altre sette mamme sono
così entusiaste del lavoro samarita­
no che, nel 1995, decidono di entra­
re in Sezione. Due anni dopo, Gaby
viene eletta nel Comitato e nel 2000
viene pure nominata nel Comitato
dell’Associazione cantonale di S.
Gallo e del Liechtenstein.
«I Samaritani fanno qualcosa!, si
dice di noi in paese – osserva Gaby
– e questo non solo dopo le vittorie
svizzere e la partecipazione a
FACE.» «Il fatto che partecipiamo
attivamente alla vita del paese porta
i suoi frutti.» Infatti il Gruppo
HELP fondato nel 1996 conta oggi
ben 50 giovani ragazze e ragazzi. Il
ricambio generazionale è garantito!
All’esercizio d’inizio anno si sono
iscritti in 20 ragazzi.
Certo è un segreto, come faccia
questa donna a combinare tutte le
sue attività: famiglia, municipale,
Samaritana, istrut­
trice cantonale, co­
«La vita di una Sezione è molto impor- ordinatrice seziona­
le, sostituta delegata
tante per la comunità di un paese»
all’assemblea della
Croce Rossa e da ul­
alla Scuola cantonale di Heerbrugg. timo monitrice capo degli HELP.
In seguito si è iscritta alla rinomata Ma proprio a quest’ultima attività
Università economica di S.Gallo, tiene molto: «I giovani – dice – sono
dove tuttavia non si è sentita a suo il nostro futuro, e dobbiamo avvici­
agio. La soluzione però non era lon­ narli subito, prima che altre attività
tana ed è scaturita proprio durante o il lavoro li portino su altre strade.
uno stage di studio presso la Jacob In questo modo prepariamo il terre­
Rohner AG di Rebstein, oggi diven­ no a successive entrate in Sezione,
tata Forster Rohner AG. A questo magari più tardi, quando hanno le
n
punto lascia la via degli studi e con­ loro famiglie.»
A Coldrerio la 55esima assemblea dell’Associazione
Sezioni Samaritane Ticino e Moesano (ASSTM)
Sezioni, Associazione
Si è svolta domenica 28 marzo scorso al Centro Polivalente di Coldrerio la 55esima assemblea
generale ordinaria dell’Associazione Sezioni Samaritane del Ticino e Moesano (ASSTM). Il presidente cantonale Andrea Rusconi ha invitato le Sezioni ad una maggiore collaborazione.
17
I soci riuniti, il tavolo presidenziale e Renato Lampert durante la sua relazione.
E’ stato un grande onore, per la Sezione di Coldrerio che festeggia i
suoi 70 anni di attività, ospitare un
evento importante come la 55esima
assemblea dell’ASSTM, ente che
raggruppa le 65 Sezioni attive sul
territorio, compresa quella di Campione d’Italia.
E all’accogliente e spazioso Centro Polivalente, dove è intervenuto
anche il Consigliere di Stato Gabriele Gendotti, i numerosi delegati
sono stati accolti dalla presidente
della locale Sezione Piermatilde
Pelosi, che ha rivolto a tutti i saluti
di rito.
Nel suo rapporto, il presidente
Rusconi ha rivolto un pensiero ed
una riflessione a quelle Sezioni che
si trovano in difficoltà e in particolare alla Sezione di Taverne-Torricella che proprio lo scorso anno si è
purtroppo sciolta. Il suo invito è
stato quindi quello di reagire e di
non accontentarsi dello status quo.
Bisogna impegnarsi, ha detto, nel
rinnovamento e ciò anche cercando
la collaborazione con altre Sezioni,
per il bene e per la continuazione
delle stesse e del loro importante
compito per la popolazione. Anche
Gendotti, nel suo intervento, ha elogiato l’attività dei Samaritani e in
particolare proprio il loro aspetto
formativo a riguardo della popolazione: «l’opera dei Samaritani è
molto importante – ha detto – so-
prattutto per mantenere elevati i
servizi prioritari per la popolazione.
Tutti voi – ha affermato – meritate
una medaglia per quel che fate».
Gendotti ha anche ricordato che il
Cantone sostiene la diffusione dei
defibrillatori. Attualmente, ha precisato dal canto suo la rappresentante della «Fondazione Ticino
Cuore» (vedi articolo in queste pagine) Silvia Parianotti, presente
all’assemblea, ve ne sono circa 600
su tutto il territorio e in Ticino la
quota di interventi di successo ha
raggiunto il 38%, la media più alta
in Svizzera.
I soci, nel corso dei lavori assembleari, hanno poi appreso che nel
2009 la Colletta Samaritana ha
permesso di raccogliere oltre 17mila
franchi, di cui circa 13mila franchi
tornano a favore dell’ASSTM e delle
Sezioni. Il ricavato della colletta
serve a finanziare l’istruzione e i necessari aggiornamenti.
Ha poi preso la parola il neo-vicepresidente della Federazione svizzera dei Samaritani (FSS) Renato
Lampert, che ha riferito con piacere
della sua buona esperienza in seno
al Comitato centrale e dei buoni
rapporti del Ticino con lo stesso.
Il Consigliere di Stato Gabriele Gendotti è intervenuto all'assemblea.
oggi samaritani 4/10
Sezioni, Associazione
18
Il vicepresidente della FSS Renato Lampert.
Il direttore operativo del Servizio
Trasfusionale della Croce Rossa
svizzera Mauro Borri ha in seguito
illustrato brevemente le novità del
Servizio, ribadendo l’importanza
Mendrisio
Cavalieri del Cuore, Samaritani che si distinguono
Chi aiuta un’altra persona e le salva
la vita merita un riconoscimento.
Lo pensa, da alcuni anni, la Fondazione Cuore Ticino che, lo scorso 24
febbraio all’Hotel Coronado di
Mendrisio, ha premiato più di 180
persone, tra cui cinque Samaritani,
che in un modo o nell’altro si sono
attivate per un allarme oppure per
un intervento a seguito di un arresto cardiaco.
Il premio-riconoscimento attribuito è denominato «Cavaliere del
Cuore». Alla cerimonia era presente
pure la direttrice del Dipartimento
cantonale Sanità e Socialità (DSS)
Patrizia Pesenti. Il fatto che ha suscitato molte emozioni, durante
questo evento, è che chi è stato salvato ha potuto vedere e stringere la
mano a chi lo ha soccorso e salvato.
Una cosa di per sé talmente bella e
forte, che le sole parole non arriveranno mai a descrivere …
Come noto, la Fondazione Ticino
Cuore, fondata nel 2005 e presieduta attualmente dal dottor Romano
Mauri, si propone in particolare di
creare una rete capillare di apparecchi defibrillatori (AED) installati su
tutto il territorio cantonale, rete coordinata e gestita da Ticino Soccorso che risponde al numero 144. Attualmente, grazie anche al sostegno
del Cantone Ticino, sono circa 600
gli apparecchi defibrillatori installa-
oggi samaritani 4/10
delle donazioni di sangue e delle
azioni promosse dai Samaritani.
I soci hanno poi approvato
all’unanimità i conti del 2009 e i
preventivi del 2010, come pure il
programma per l’anno in corso,
pubblicato su «oggi Samaritani» di
novembre/dicembre 2009.
Come vuole la tradizione, l’assemblea è pure stata l’occasione per
consegnare le medaglie Henry Dunant; 8 i Samaritani meritevoli: si
tratta di Daniela Priori-Paglia
(ASSTM), Renato Lampert (Cavergno), Josephine Defanti (Lavorgo) e
di Luciana Liliana Del Bello, Rosario De Marco, Paolo Corti, Agnese
Maffioletti e Fernanda Peduzzi tutti
di Bellinzona. Infine i soci hanno
pure approvato due avvicendamenti
nel Comitato cantonale (vedi «oggi
Samaritani» di marzo): a Giovanni
Maddalena (che resta nella commissione tecnica) e a Loredana Ghidossi sono subentrati Luciano Savazzi
di Melide e Nicodemo Cannavò di
Tenero.
L’assemblea cantonale del 2011
sarà organizzata dalla Sezione di
Blenio.
m.z
Il folto gruppo di premiati, riuniti a Mendrisio per la cerimonia.
ti sul nostro territorio, mentre i
«first responder» (i primi soccorritori formati) sono già ben 1600.
Questo aiuta a far sì che chiunque si
dovesse trovare in una situazione di
emergenza possa essere prontamente soccorso, e soprattutto con mezzi
adeguati, entro 5 minuti. In caso
di arresto cardiaco, è noto che secondi e minuti sono determinanti
per la sopravvivenza di una persona
colpita.
Tra i premiati, come detto, c’erano anche alcuni Samaritani, ossia:
Oscar Dadò (Sezione Cevio), Nadia
Forgia (Sezione comune di Blenio),
Sandro Pellanda (Sezione Osogna),
Laura Basileo (Sezione Stabio) e Luciano Bolis (Sezione Airolo). A loro
e a tutti gli altri premiati, i compli-
menti e gli apprezzamenti per la
loro attività.
Intanto la Fondazione Ticino
Cuore ha lanciato quest’anno un
progetto di sensibilizzazione e di
formazione rivolto a ben 3200 ragazze e ragazzi delle quarte classi
(quindi quattordicenni) di Scuola
media del Ticino, e ciò nell’ambito
del «Piano di intervento cantonale
primario in caso di arresto cardiaco». I giovani verranno in particolare informati sui fattori di rischio e
determinanti per la salute. Si tratta
– questa – di una «prima» a livello
nazionale.
Altre utili informazioni si trovano sul sito: http://www.ticinocuore.
ch/it/52/progetto_bls-dae_scuole_
medie.aspx
m.z
Tenero Contra
Come ben sappiamo vi sono vari
enti che a volte supportano gli interventi dell’ambulanza, e sicuramente tra questi non possiamo non
citare la Polizia che interviene in
primo luogo a garantire la sicurezza del cittadino.
Quali sono i compiti della Polizia
e come è organizzata a livello cantonale? Quale modo migliore per
rispondere a queste domande se
non quello di chiederlo ai diretti interessati?
Così sabato 13 marzo scorso una
ventina di ragazzi del gruppo Help
Tenero-Contra e del Circolo della
Navegna, si sono recati con i loro
accompagnatori al posto della Polizia cantonale di Magadino.
Dopo una prima introduzione
sulla funzione e sui compiti dei vari
reparti, i poliziotti hanno guidato
ragazzi e monitori in un’interessante visita. Divisi in due gruppi, i
ragazzi hanno quindi avuto la possibilità di visitare la centrale operativa e salire sulla barca della Polizia
lacuale. All’interno della centrale
operativa, si è avuta la possibilità di
vedere come i poliziotti ricevano le
richieste d’intervento e il materiale
in dotazione. E'stato addirittura
possibile sbirciare in un’auto della
Polizia e sedercisi dentro.
Trovarsi sulla barca della lacuale, ha invece dato la possibilità di
scoprire molti segreti del lago. Tor-
Il Gruppo di ragazzi sulla barca della Polizia lacuale.
Sezioni, Associazione
Il Gruppo HELP visita la Polizia cantonale e lacuale
19
Tutti i partecipanti posano per la foto di rito.
nati a terra, dopo la foto di rito, i
partecipanti hanno «brindato» e
ringraziato le guide gentilissime che
hanno risposto a tutte le domande
poste. Una mattinata molto interes-
sante che ha permesso la nostro
Gruppo di conoscere chi lavora per
la nostra sicurezza.
Clod, responsabile
gruppo Help
Cavergno
Una nuova sfida, un padrinato a distanza per aiutare
Daniel in Etiopia
Dall’inizio del 2010, e dopo essere
passata l’idea in assemblea, la Sezione di Cavergno si è presa a carico
Daniel Arega Kiros, un ragazzo
dell’Etiopia con la madre malata di
AIDS e una sorellina di 5 anni. Il
padre è deceduto. Con un supporto
di Fr. 50.– al mese la Sezione garantisce un’educazione e il mantenimento della famiglia fino al termine
degli studi.
Una volta all’anno la Sezione riceve notizie del ragazzo e della famiglia sull’andamento a scuola e sulla
loro salute. Il progetto, partito nel
2003 da Pro Etiopia-Infanzia, sta
diventando una grande realtà. Il
gruppo è riconosciuto dall’ufficio
Federale a Berna ed è totalmente affidabile. In quanto Samaritani, la
Sezione di Cavergno ha quindi pensato di allargare il suo aiuto non
solo nel suo territorio, bensì anche
estendendo lo sguardo e la solidarietà oltre confine. Come i Samaritani,
anche gli esploratori della Sassifraga
Vallemaggia hanno aderito al progetto, già da un paio d’anni.
Per aderire al progetto è molto
semplice, basta andare sul sito
www.proetiopiainfanzia.ch e richiedere i formulari. Per i Samaritani si
tratta di una grande esperienza di
vita. Sperando che anche altre sezione ne facciano parte, la Sezione di
Cavergno resta volentieri a disposi-
zione per ulteriori informazioni. In
particolare, è stata di grande aiuto
la signora Orietta Lucchini, presidente e fondatrice della fondazione
di Pro Etiopia-Infanzia, che si è dimostrata una persona di grande
cuore, come pure Lucia Pedrazzetti,
che la Sezione pure ringrazia, che si
occupa di curare i padronati. Ora
l’idea dei Samaritani è quella di creare attività extra, per esempio, un
banco del dolce, per poter raccogliere il necessario da poter dare a Daniel e alla sua famiglia. Cosi da non
utilizzare i fondi della Sezione. «Si è
ricchi soltanto di ciò che si dona.»
Per la Sezione Samaritani
di Cavergno, Dadò Oscar
oggi samaritani 4/10
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Blenio
Un nuovo stemma sezionale, un
nuovo nome, un gruppo di soci attivi e motivati, quattro brave e competenti monitrici e un lungo calendario di attività. Così in poche righe
si potrebbe riassumere la vita della
dinamica Sezione di Blenio che, in
occasione dell’assemblea dello scorso 20 marzo a Olivone, ha altresì
cambiato il suo stemma, adottando
quello del nuovo Comune di Blenio,
nato dalla fusione dei 5 comuni
dell’alta valle. E l’assemblea, riunita
sotto la direzione della presidente
Ausilia Canepa, ha pure approvato
una modifica dello statuto relativa
al nome della Sezione che, a seguito
della fusione comunale, ha pure de-
ciso di chiamarsi «Sezione Samaritana del comune di Blenio» e non
più di Olivone, Ghirone, Campo
Blenio e Aquila. Nel suo rapporto,
la presidente ha dapprima voluto
ricordare giustamente due figure
importanti per la Sezione, che
purtroppo sono recentemente scomparse per anzianità: si tratta di
Angelica Lutz di Dangio e Remo
Jamolli di Olivone. Angelica era
stata addirittura la prima monitrice
samaritana dell’allora Sezione di
Aquila, mentre Remo è stato per oltre 30 anni monitore e condottiero
dell’allora Sezione di Olivone. Il
loro memoria, i presenti hanno osservato un rispettoso minuto di silenzio.
Nel suo rapporto presidenziale,
Canepa ha evidenziato come l’attività samaritana sia cambiata nel
corso degli anni, a seguito dell’evoluzione della società e dei servizi
atti a garantire i primi soccorsi
oggi presenti sul territorio (basti
pensare alla Rega, ecc). «Tuttavia
Ambrì-Piotta
I Samaritani di picchetto per il «Tris
Rotondo», un’esperienza particolare
E stato il forte vento, il pulviscolo di
neve nell’aria e quindi le temperature rigide (ben sotto gli 0 °C) a caratterizzare la 4a edizione della gara di
sci-alpinismo «Tris Rotondo», che –
in partenza da All’Acqua – si svolge
sulle cime della Valle Bedretto, attorno all’omonimo Pizzo. Ogni
anno questo evento sportivo attira
un numero sempre maggiore di
sportivi e appassionati di questa
dura disciplina. A supporto e protezione dei partecipanti c’erano anche
i Samaritani, con i loro apprezzatis-
simi posti sanitari (6 quelli sul tracciato). Ben tre le Sezioni leventinesi
impegnate lungo il primo tratto del
percorso: la Sezione di Ambrì-Piotta, quella di Airolo e di quella di
Rodi-Prato Leventina e Dalpe per
una ventina di Samaritani in tutto.
A quote più alte si sono invece installati i soccorritori professionali di
Tre Valli Soccorso e i medici, con i
quali si intrattiene un’ottima collaborazione. Il loro lavoro svolto dai
Samaritani è stato particolarmente
duro, come detto, a causa del forte
– ha detto – le Samaritane e i Samaritani, dalla loro modesta posizione, possono continuare ad offrire
servizi preziosi, in grado di attestare che l’aiuto, in molti casi, può essere offerto ancora dal vicino di
casa o da una persona comune consapevole che l’incidente, l’essere
malato o la mancanza delle forze
possono trovare il primo sollievo
all’interno della comunità dove si
vive ogni giorno.» Dal canto suo la
monitrice Nelly Aspari ha ripercorso le tante attività svolte nel corso
del 2009, i vari incontri e i corsi ed
ha pure ricordato con piacere che la
Sezione, con le sue due squadre, ha
ben figurato al Convegno di Bodio
piazzandosi rispettivamente al secondo e al quarto posto. I picchetti
di pronto soccorso prestati nel
2009 sono stati 10, mentre 180
sono state le ore dedicate ad «Aiutare e assistere» in collaborazione
con il Servizio di aiuto domiciliare
e il Servizio di trasporti per persone
bisognose.
m.z
Sezioni, Associazione
Un nuovo stemma per una Sezione
dinamica e propositiva
21
vento e delle temperature rigide: stare fermi al posto di picchetto per diverse ore non è sempre cosa evidente
(impossibile piazzare le tendine)! E
da notare che anche i Samaritani
sono saliti alle loro postazioni a piedi, con racchette o sci e trasportando a spalla il materiale sanitario indispensabile. Comunque tutto è
andato bene e non vi sono stati interventi particolari, salvo alcuni
partecipanti (e anche i collaboratori!) sofferenti per il freddo a mani e
piedi. Tutto questo ha reso l’esperienza intensa e davvero particolare,
e ha reso i Samaritani ancora più fieri del loro «essere Samaritano».
Danusia Riva, monitrice,
Sezione Samaritani Ambrì-Piotta
Impressum
«oggi samaritani»
4/2010
Editore
Federazione Svizzera
dei Samaritani FSS
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4601 Olten
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Redazione
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Telefono 062 286 02 23
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Ticino e Moesano
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oggi samaritani 4/10
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Edizione 4/10 del 21 aprile 2010