Info Media Basket
Saison 2012-2013
16 mai 2013
Résultats et affiches
Football
Europa League – Finale
Benfica Lisbonne - Chelsea.............................. 1-2 (0-0)
Tennis
Rome. Masters 1000 et tournoi WTA
(6,2 millions de dollars/terre battue).
Simple messieurs. 2e tour: Dolgopolov
(Ukr) bat Wawrinka (S/15) ab. Granollers
(Esp) bat Murray (GB/3) 6-3 6-7 (5/7) ab.
Ferrer (Esp/4) bat Verdasco (Esp) 5-7 7-5 6-3.
Nadal (Esp/5) bat Fognini (It) 6-1 6-3.
Janowicz (Pol) bat Tsonga (Fr/8) 6-4 7-6
(7/5). Chardy (Fr) bat Nishikori (Jap/16) 6-4
6-1. Simon (Fr) bat Youzhny (Rus) 7-5 6-3.
Paire (Fr) bat Benneteau (Fr) 6-7 (3-7) 6-4 7-6
(7-4). Kohlschreiber (All) bat Ramos (Esp) 6-4
6-1. Gulbis (Let) bat Troicki (Ser) 6-1 6-1.
Simple dames. 2e tour: Suarez Navarro
(Esp) bat Oprandi (S) 6-4 6-2. Sharapova
(Russ/2) batMuguruza (Esp) 6-2 6-2. Na
(Chine/5) bat Jie (Chine) 6-3 6-1. Errani (It/7)
bat McHale (EU) 7-5 5-7 6-2. Stosur (Aus/9) bat
Shuai (Chine) 7-6 (7/5) 6-0. Kirilenko (Rus/12)
bat Lepchenko (EU) 6-3 6-1. Vinci (It/13) bat
Burnett (It) 6-1 6-4. Cibulkova (Slq/14) bat
Oudin (EU) 5-7 6-1 6-3. Stephens (EU/16) bat
Bertens (PB) 4-6 6-3 6-2. Jankovic (Ser) bat
BJovanovski (Ser) 6-2 6-0. Dominguez Lino
(Esp) bat Wickmayer (Be) 6-4 6-4.
Rodriguez (Ven) à 3’25. Puis: 20. Intxausti
(Esp) à 5’23. 29. Wiggins (GB) à 5’41. 31. Evans
(Aus). 32. Nibali (It). 36. Uran (Col). 38.
Scarponi (It). 40. Gesink (PB), tmt. 57.
Morabito (S) à 6’00. 75. Danilo Wyss (S)
à 10’01.
Classement général: 1. Nibali (Astana)
43h26’27. 2. Evans à 41’’. 3. Uran à 2’04. 4.
Wiggins à 2’05. 5. Gesink à 2’12. 6. Scarponi à
2’13. 7. Santambrogio (It) à 2’55. 8. Niemiec
(Pol) à 3’35. 9. Intxausti à 4’05. 10. Pozzovivo
(It) à 4’17. Puis: 47. Morabito à 39’10. 84.
Wyss à 1h11’49.
U Tour de Californie. 3e étape. Palmdale Santa Clarita, 177,7 km: 1. Sagan
(Slq/Cannondale) 4h20’31. 2. Matthews (Aus).
3. Farrar (EU). 4. Meersman (Be). 5. Van
Poppel (PB). Puis: 27. Franck (S). 45. Zaugg
(S). 51. Schär (S). Classement général (3/8):
1. Acevedo (Col/Jamis) 13h59’50. 2. Van
Garderen (EU) à 12’’. 3. Deignan (GB) à 27’’. 4.
Frank à 45’’. 5. Rogers (Aus) à 55’’. 6.
Mancebo (Esp) à 1’03. Puis: 36. Schär à 11’23.
53. Zaugg à 19’21.
Hockey sur glace
NHL. Play-off (best of 7), demi-finales de
Conférence. 1er match. Est: Pittsburgh
Penguins - Ottawa Senators 4-1. Ouest: Los
Angeles Kings - San Jose Sharks 2-0.
Basketball
Play-off (best of 5), demi-finale
Ce soir (5e et dernier match)
19.30 Fribourg Olympic - Lugano
(2-2 dans la série).
U NBA. Play-off (best of 7), demi-finales
de Conférence. Est. 4e match: Indiana
Pacers - New York Knicks 93-82 (Indiana
Pacers mène 3-1 dans la série).
Ouest. 5e match: San Antonio Spurs Golden State Warriors 109-91 (San Antonio
Spurs mène 3-2 dans la série).
Cyclisme
Tour d’Italie. 11e étape. Tarvisio - Vajont,
182 km: 1. Navardauskas (Lit/Garmin)
4h23’14 (41,484 km/h) 22’’ de bonif. 2. Oss (It)
à 1’08 (12’’ de bonif.). 3. Pirazzi (It) à 2’59 (8’’ de
bonif). 4. Puccio (It) à 3’07. 5. Martens (All). 6.
Di Luca (It). 7. Martinez (Esp), tmt. 8. Pauwels
(Be) à 3’10. 9. Petrov (Rus) à 3’11. 10.
Arrivée et rapports d’hier à Caen
Prix des ducs de Normandie
NP: 11 et 13 – No +: 2382
7 - 14 - 15 - 9 - 10
Tiercé (1 fr.): 7 - 14 - 15
Ordre exact: 20. –. Différent: 3.30.
7-14-NP: 3.30.
Quarté + (1 fr. 50): 7 - 14 - 15 - 9
Exact: 81.60. Différent: 10.20.
Trio/Bonus: 2.70.
Quinté + (2 fr. 50): 7 - 14 - 15 - 9 - 10
Exact: 537.50. Différent: 10.75.
Bon4: 3.50. Bon4sur5: 3.50. Bon3: 3.50
2 sur 4 (5 fr.): 7-NP; 14-NP; 15-NP; 9-Np: 10.–
7-9; 14-15; 14-9; 15-9: 8.50.
Basketball
Vladimir Buscaglia: «Je veux
vraiment ce titre avec les Lions»
Le Genevois
dispute samedi
sa quatrième finale
en… quatre saisons.
Après trois défaites,
il espère conclure
Arnaud Cerutti
Fribourg ou Lugano, Lugano ou
Fribourg? On ne connaîtra que ce
soir le nom de l’adversaire des
Lions de Genève en finale des playoff. En attendant d’être fixés, Vladimir Buscaglia et ses compères bossent fort afin d’arriver dans les
meilleures dispositions pour
l’acte I, qui se jouera samedi au
Pommier (17 h 30). Le très sympathique No 23 genevois, qui disputera sa quatrième finale de championnat depuis 2010 (!), affiche des
crocs très aiguisés. Et pour cause, il
rêve d’un sacre et nous l’a dit sans
détour, hier, autour d’un thé
chaud.
Vladimir Buscaglia, on vous
imagine impatient d’entamer
enfin les choses sérieuses…
C’est clair! Cela fera bientôt une
semaine que nous sommes qualifiés et on a vraiment envie que la
finale débute. Il nous faut éviter de
perdre le rythme. Le fait de ne pas
connaître notre adversaire ne
change toutefois pas grand-chose
pour nous. D’autant que nous
n’avons pas de préférence entre
Lugano et Fribourg!
On a le sentiment que les Lions
montent en puissance dans ces
play-off…
C’est fort possible. Nous sommes
très affûtés, nous n’avons aucun
blessé. En quarts de finale, le coach
était dans une logique de gestion
du groupe. Après, Neuchâtel nous
a mené la vie dure en demi-finale,
mais nous avons quand même
passé l’épaule en seulement trois
matches. En play-off, nous avons
augmenté notre niveau à chaque
sortie. Cela prouve qu’on est bien
en jambes.
Et vous aussi, puisque vous en
avez fini avec les nombreuses
blessures qui ont gâché une
partie de votre saison…
Franchement dit, j’adore mon
équipe et mes coéquipiers, je
prends un immense plaisir avec ce
groupe, mais j’ai vécu l’année la
plus pourrie de ma vie! Je suis allé
de petit pépin en petit pépin, ce qui
a poussé certaines personnes à me
remettre en question. C’était fatigant, usant. A la limite, j’avais
mieux vécu ma rupture du tendon
d’Achille il y a quelques années…
Néanmoins, sur un plan
personnel, vous en serez à votre
quatrième finale de championnat
en quatre ans. C’est quelque
chose de grand!
(Il fait la moue) Oui et non, car j’ai
perdu les trois finales précédentes
(ndlr: dont deux avec Fribourg)!
Autant dire que j’ai une grosse envie de l’emporter cette fois-ci.
J’aimerais vous dire que c’est le
moment, car je le veux vraiment,
ce titre. Nous attendons d’ailleurs
cette finale depuis un petit moment, car avec le potentiel que
nous avons, l’atteindre était un minimum…
Qu’est-ce qui a changé entre les
Lions 2011-2012, finalistes contre
Lugano, et ceux d’aujourd’hui?
Beaucoup de choses! Il y a d’abord
Souriant et revenu en forme, Vladimir Buscaglia s’attend à une grosse finale. Peu importe l’adversaire! GEORGES CABRERA
eu une nouvelle philosophie, amenée par un nouveau coach, et une
autre manière de travailler. Ensuite, le groupe n’est plus le même.
Nous sommes tous pros, nous travaillons dur et il n’y a aucun problème d’ego. Dans cette équipe,
tout le monde sait ce qu’il doit
faire. Nous avons des joueurs intelligents, responsables…
Quand vous êtes-vous rendu
compte que les Lions 2012-2013
pouvaient aller aussi loin?
Dès le premier match de la saison,
j’ai dit à «Oli» (ndlr: Vogt) que l’on
pouvait être vraiment très fort.
Nous avons des passeurs, des rebondeurs, des défenseurs, des scoreurs… Nous possédons une
équipe très complète, dans laquelle le ballon tourne sans problème. J’ai toujours pris plus de
plaisir à jouer au sein d’une formation collective. Autant dire que je
m’éclate aujourd’hui.
Et cette équipe gagne qui plus
est, puisque vous en êtes à
20 succès de rang…
Bien sûr, mais ce n’est pas important pour l’instant! Ça nous ferait
en effet une belle jambe d’avoir
gagné vingt fois de suite s’il n’y a
pas de titre derrière! On ne pourra
se vanter de ça que si l’on gagne ce
championnat…
Justement, le basket genevois
n’a plus remporté le titre depuis
1988. Ressentez-vous une
pression particulière?
Vladimir Buscaglia évoque les Lions à sa façon
Avant de s’engager dans cette
finale, Vladimir Buscaglia,
d’humeur badine, a bien voulu
nous parler en quelques mots de
ses coéquipiers et du duo
d’entraîneurs.
Mike Bader (coach assistant):
«Mike, je le connais depuis
longtemps puisque je jouais
contre lui, gamin. Pour moi, et ça
va peut-être l’étonner, il est le
meilleur préparateur physique
que j’aie connu dans ma
carrière.»
Tony Brown: «C’est notre
capitaine, un leader par l’exemple.
Toujours sérieux, toujours à
l’heure. L’an passé, il avait fait des
play-off incroyables. Je sais que l’on
pourra encore compter sur lui.»
Jeremy Jaunin: «Même s’il n’en
est peut-être lui-même pas
convaincu, il a encore énormément progressé cette saison.
Aujourd’hui, je regrette de ne
l’avoir pas pris avec moi aux
Etats-Unis lorsque j’aidais les
sélections genevoises en 2005…»
Juwann James: «C’est un faux
timide. J’adore jouer avec lui. Il
nous apporte tellement sur le
terrain!»
Abdul Khachkarah: «Il est le
joueur que je provoque le plus,
que je pousse dans ses derniers
retranchements. Mais le tout
dans un but constructif.»
Mikael Maruotto: «J’ai toujours
trouvé que Miki avait un énorme
potentiel. Je l’avais pris avec nous
pour le voyage aux Etats-Unis en
2005. Il est très polyvalent et il
dispose encore d’une énorme
marge de progression.»
Kelvin Parker: «Je ne l’aimais pas
lorsqu’il évoluait à Monthey. Mais
Kelvin est typiquement le joueur
qu’il faut avoir dans son équipe.
C’est un «c…» comme adversaire,
mais un supercoéquipier. Drôle,
intelligent, qui n’a pas peur de
prendre ses responsabilités…»
Ivan Rudez (entraîneur): «Il m’a
comparé à une Volvo dans vos
colonnes. Je ne vais pas me
risquer à le comparer à quelque
chose (rires), mais j’avoue que je
suis content qu’il soit là. Ivan
Andrej Stimac, un joueur
apprécié par Buscaglia. CABRERA
Rudez a beaucoup de charisme, il
est dur mais juste. C’est une
chance pour le basket genevois
que de pouvoir s’appuyer sur lui.»
Florian Steinmann: «Lui aussi a
beaucoup progressé. Physiquement, il ressemble à un joueur de
LNA. Flo a une grosse confiance
en lui, il n’a peur de rien. Il va
falloir le suivre de près ces
prochaines années car il a encore
de la marge.»
Andrej Stimac: «Il aime
beaucoup parler. Dès qu’il s’y
met, tu ne l’arrêtes plus (rires).
Andrej est très drôle, c’est
vraiment un bon gars. Sur le
parquet, il est un joueur tellement atypique pour notre
championnat, mais aussi
tellement fort…»
Babacar Touré: «Baba, c’est
Baba; je l’adore! Il nous apprend
sa langue, le wolof. Sur le plan du
jeu, il a accepté d’endosser un
autre rôle que la saison passée et
je suis persuadé qu’il nous sera
très utile pendant la finale.»
Oliver Vogt: «On se côtoie
depuis dix ans en équipe de
Suisse, on a joué un an ensemble
à Sion-Hérens puis trois à
Fribourg. Oui, «Oli» est un vrai
pote, mais je ne le ménage pas.
Je le chambre énormément. On a
une vraie relation Romand-Alémanique, à se titiller sur chaque
trait de caractère…» A.CE.
Non, beaucoup moins que la saison passée. L’an dernier, tout le
monde ne parlait que d’un titre.
Cette saison, sans doute aussi
parce que le coach a su nous protéger, la pression n’existe pas.
Enfin, vous arrive-t-il de songer à
la saison prochaine?
Pas pour l’instant. Je suis focalisé
sur la finale. On verra ensuite. Tout
dépend de ce que l’on me propose
et de ce dont je me sens capable. Je
pense de toute manière rester dans
le basket toute ma vie!
La finale (best of 5). Samedi 18 et
mardi 21: matches 1 et 2 à Genève.
Vendredi 24 et mardi 28: matches 3
et 4 à l’extérieur. Vendredi 31:
match 5 à Genève.
Page 17
Page 17
GEORGES CABRERA
Avant la finale, Buscaglia
tire le portrait des Lions
AFP
Wawrinka et Murray
tournent le dos à Rome
Résultats et classements
Football
Europa League – Finale
Benfica Lisbonne - Chelsea.............................. 1-2 (0-0)
Tennis
Rome. Masters 1000 et tournoi WTA
(6,2 millions de dollars/terre battue).
Simple messieurs. 2e tour: Dolgopolov
(Ukr) bat Wawrinka (S/15) ab. Granollers
(Esp) bat Murray (GB/3) 6-3 6-7 (5/7) ab.
Ferrer (Esp/4) bat Verdasco (Esp) 5-7 7-5 6-3.
Nadal (Esp/5) bat Fognini (It) 6-1 6-3.
Janowicz (Pol) bat Tsonga (Fr/8) 6-4 7-6
(7/5). Chardy (Fr) bat Nishikori (Jap/16) 6-4
6-1. Simon (Fr) bat Youzhny (Rus) 7-5 6-3.
Paire (Fr) bat Benneteau (Fr) 6-7 (3-7) 6-4 7-6
(7-4). Kohlschreiber (All) bat Ramos (Esp) 6-4
6-1. Gulbis (Let) bat Troicki (Ser) 6-1 6-1.
Simple dames. 2e tour: Suarez Navarro
(Esp) bat Oprandi (S) 6-4 6-2. Sharapova
(Russ/2) batMuguruza (Esp) 6-2 6-2. Na
(Chine/5) bat Jie (Chine) 6-3 6-1. Errani (It/7)
bat McHale (EU) 7-5 5-7 6-2. Stosur (Aus/9) bat
Shuai (Chine) 7-6 (7/5) 6-0. Kirilenko (Rus/12)
bat Lepchenko (EU) 6-3 6-1. Vinci (It/13) bat
Burnett (It) 6-1 6-4. Cibulkova (Slq/14) bat
Oudin (EU) 5-7 6-1 6-3. Stephens (EU/16) bat
Bertens (PB) 4-6 6-3 6-2. Jankovic (Ser) bat
BJovanovski (Ser) 6-2 6-0. Dominguez Lino
(Esp) bat Wickmayer (Be) 6-4 6-4.
Cyclisme
Tour d’Italie. 11e étape. Tarvisio - Vajont,
182 km: 1. Navardauskas (Lit/Garmin)
4h23’14 (41,484 km/h) 22’’ de bonif. 2. Oss (It)
à 1’08 (12’’ de bonif.). 3. Pirazzi (It) à 2’59 (8’’ de
bonif). 4. Puccio (It) à 3’07. 5. Martens (All). 6.
Di Luca (It). 7. Martinez (Esp), tmt. 8. Pauwels
(Be) à 3’10. 9. Petrov (Rus) à 3’11. 10.
Rodriguez (Ven) à 3’25.
Puis: 20. Intxausti (Esp) à 5’23. 29. Wiggins
(GB) à 5’41. 31. Evans (Aus). 32. Nibali (It). 36.
Uran (Col). 38. Scarponi (It). 40. Gesink (PB),
tmt. 57. Morabito (S) à 6’00. 75. Danilo
Wyss (S) à 10’01.
Classement général: 1. Nibali (Astana)
43h26’27. 2. Evans à 41’’. 3. Uran à 2’04. 4.
Wiggins à 2’05. 5. Gesink à 2’12. 6. Scarponi à
2’13. 7. Santambrogio (It) à 2’55. 8. Niemiec
(Pol) à 3’35. 9. Intxausti à 4’05. 10. Pozzovivo
(It) à 4’17. Puis: 47. Morabito à 39’10. 84.
Wyss à 1h11’49.
U Tour de Californie. 3e étape. Palmdale Santa Clarita, 177,7 km: 1. Sagan
(Slq/Cannondale) 4h20’31. 2. Matthews (Aus).
3. Farrar (EU). 4. Meersman (Be). 5. Van
Poppel (PB). 6. Hushovd (No). Puis: 27.
Franck (S). 45. Zaugg (S). 51. Schär (S).
Classement général (3/8): 1. Acevedo
(Col/Jamis) 13h59’50. 2. Van Garderen (EU) à
12’’. 3. Deignan (GB) à 27’’. 4. Frank à 45’’. 5.
Rogers (Aus) à 55’’. 6. Mancebo (Esp) à 1’03.
Puis: 36. Schär à 11’23. 53. Zaugg à 19’21.
Basketball
U NBA. Play-off (best of 7), demi-finales
de Conférence. Est. 4e match: Indiana
Pacers - New York Knicks 93-82 (Indiana
Pacers mène 3-1 dans la série).
Ouest. 5e match: San Antonio Spurs Golden State Warriors 109-91 (San Antonio
Spurs mène 3-2 dans la série).
Hockey sur glace
NHL. Play-off (best of 7), demi-finales de
Conférence. 1er match. Est: Pittsburgh
Penguins - Ottawa Senators 4-1. Ouest: Los
Angeles Kings - San Jose Sharks 2-0.
À L’AFFICHE
Football
Super League
Ce soir
19.45 Bâle - Lausanne-Sport
19.45 Sion - Grasshopper
Vendredi
20.30 Thoune - Saint-Gall
Samedi
19.45 Servette - Young Boys
19.45 Zurich - Lucerne
Classement
1. Bâle .............................................................. 32 18 9 5 57-30 63
2. Grasshopper..........................................32 16 9 7 37-30 57
3. St-Gall ......................................................... 32 16 8 8 49-29 56
4. Zurich ......................................................... 32 13 7 12 50-41 46
5. Sion .............................................................. 31 12 9 10 36-41 45
6.
7.
8.
9.
Thoune ...................................................... 32
Young Boys............................................32
Lucerne ..................................................... 32
Lausanne ................................................. 32
11
10
8
6
8
9
12
9
13
13
12
17
38-42
43-43
34-42
25-45
41
39
36
27
10. Servette .................................................... 31 5 8 18 24-50 23
Hockey sur glace
Quarts de finale
Aujourd’hui
12.00 Russie - Etats-Unis à Helsinki
14.45 Suisse - Rép. tchèque à Stockholm
17.30 Finlande - Slovaquie à Helsinki
20.15 Canada - Suède à Stockholm
Basketball
Play-off (best of 5), demi-finale
Ce soir (5e et dernier match)
19.30 Fribourg Olympic - Lugano
(2-2 dans la série).
Anticiper tous les scénarios
AU MASCULIN
FR OLYMPIC - LUGANO
BASKETBALL • Fribourg Olympic et les Lugano Tigers se retrouvent ce soir pour
e
un 5 match décisif pour une place en finale. Quel sera le poids des options tactiques?
Ne pas perdre les joueurs
«Après le match III perdu de 29
points, on était obligé de tenter des
choses», rappelle Damien Leyrolles.
«Offensivement, on n’a rien changé du
tout entre les matches III et IV ni ajouté
un seul «setplay» (système de jeu, ndlr).
La seule différence, c’est qu’on a mieux
réalisé la plupart des choses.» Défensi-
vement, par contre, il y eut du nouveau:
«Sur l’ensemble d’une saison, on garde
toujours des options en réserve, d’autres qu’on utilise ou pas, d’autres encore
qu’on réutilise ou pas. En play-off, le
temps pour travailler manque. Donc,
on remet parfois au goût du jour certaines choses assimilées précédemment. Mais un coach doit toujours être
dans l’anticipation par rapport à ce que
l’adversaire va pouvoir proposer. Et on
n’a pas toujours les réponses. Enfin, il
faut aussi veiller à ne pas multiplier les
consignes sous peine de perdre les
joueurs qui se sentent sécurisés quand
ils peuvent reproduire quelque chose
qu’ils maîtrisent.»
Forcément, Damien Leyrolles pourait être tenté de confier une deuxième
fois après mardi le marquage du stratège serbe Branko Milisavljevic aux
soins experts d’Ian Savoy. «Ian a reçu
un rôle de mission, presque de sacrifice», expose l’entraîneur d’Olympic.
«Ce n’est pas un gros attaquant et on
sait ce qu’on peut perdre dans ce secteur quand il est sur le terrain. Mais il a
faim de basket et est plus frais que les
autres. C’est vrai qu’il a muselé Milisavljevic sur certaines situations, ou a
au moins réduit son emprise sur le jeu.
On le reverra donc. Ian sera jugé làdessus, et il le sait très bien.»
A l’inverse, Damien Leyrolles est
parfaitement conscient que les Tigers
ne peuvent pas se permettre une
deuxième fois de laisser Arizona Reid
causer autant de dégâts. «Ou bien Lugano va travailler pour qu’«AZ» n’aie
pas la balle, ou bien Lugano va le laisser recevoir la balle et ensuite «traper»
(doubler le marquage, ndlr) sur lui. Je
peux donc déjà assurer qu’AZ ne rentrera pas 41 points ce soir et qu’on sera
obligé de basculer les responsabilités
sur les autres joueurs. Il faudra que ces
autres joueurs soient performants
quand ils recevront la balle…»
Reste à déterminer le poids réel de
la tactique dans le résultat final.
«Toute tactique a une durée de vie limitée et n’est valable que jusqu’au
moment où l’adversaire a trouvé la parade», convient Damien Leyrolles. «Et
toute tactique n’est valable que si chacun y adhère en s’y engageant à fond.
Mais le message principal que je ferai
passer est le suivant: y aller à bloc en
jouant sur l’adrénaline, pas sur la
réflexion.» I
IAN SAVOY EN MISSION
En 2011, à 21 ans, Ian Savoy prenait
une décision radicale: «J’ai décidé de
commencer un apprentissage d’employé de commerce et ma situation a
forcément changé par rapport aux
années où je ne faisais que du basket.
Là, je ne peux pas assister à tous les
entraînements et il m’arrive aussi de
louper des cours.» Mais jamais Ian
Savoy n’a regretté son choix: «Cela fait
du bien de penser à autre chose et
d’avoir une vie plus stable. Et puis, je
devais aussi penser à avoir une formation à côté du basket.»
A pas encore 23 ans, Ian Savoy s’est
déjà fait une réputation de joueur
coriace: «Ce rôle défensif me plaît et je
ne peux pas, cette année, prétendre à
davantage de responsabilités. A l’ave-
nir, j’aimerais toutefois que mon rôle
puisse s’élargir un peu plus», admet-il.
Quasiment pas aligné lors des trois
premiers matches de la demi-finale
des play-off contre les Lugano Tigers,
Ian Savoy a soudain été investi d’une
mission particulière lors du 4e: contrôler le Serbe Branko Milisavljevic, la tête
pensante des champions en titre. Il a
eu seize minutes pour y parvernir. «Ce
joueur n’est pas très rapide. Par
contre, il est très fort techniquement
et je dois essayer de ne pas trop marcher dans ses feintes. Ma mission est
simple: le couper de la balle, ou en tout
cas faire en sorte qu’il reçoive le moins
possible de ballons.» Cela fonctionnera-t-il encore ce soir? SL
Shaw: «Si je peux être dangereux loin du cercle...»
Qui au poste 4, celui d’ailier fort: Matt Shaw ou Josh Almanson? Cette question, Damien Leyrolles, l’entraîneur
d’Olympic, se l’est souvent posée. Il ne se la pose plus.
Car en inscrivant 14 points – dont un 4 sur 5 sur la ligne
des 6 m 25 – mardi à Lugano, Shaw a validé son ticket
pour le match No 5, décisif rappelons-le. A l’exemple de
Matt Schneidermann, qu’il retrouvera ce soir sur le parquet de Saint-Léonard, le Californien de 25 ans est le
type-même du joueur difficile à défendre. Parce qu’il est
grand (2m03) mais particulièrement à l’aise à longue
distance, chose inhabituelle chez les «big men».
plus grand atout. Je suis conscient que mes statistiques ne seront pas chaque soir aussi bonnes, mais
quand je prends un shoot, j’attends toujours qu’il
fasse mouche.
Matt Shaw, avez-vous toujours été aussi adroit à trois
points?
Depuis mes années universitaires, le tir à trois points
fait partie de mon jeu. Je dirais même que c’est mon
Vous n’avez disputé que deux matches de cette série:
les No 1 et 4. Le premier n’avait pas été brillant...
C’est vrai, mais je n’avais affronté qu’une seule équipe
depuis mon arrivée, à la mi-avril: Bâle, en quarts de fi-
Tous les joueurs intérieurs ne sont pas aussi adroits...
Je le sais, et le coach le sait puisqu’il me demande de
prendre ma chance à chaque fois que je suis démarqué. Car si je peux être dangereux loin du cercle, cela
laisse davantage de place dans la raquette pour les
autres.
nale. Lugano, c’était donc tout nouveau. J’ai dû apprendre à connaître mes adversaires, c’est pourquoi je dirais
que le fait de ne pas avoir joué les deux matches suivants m’a fait à quelque part du bien. J’ai pu m’imprégner de la tactique des deux équipes, étudier les systèmes... Mardi, j’étais prêt.
A quel point cette concurrence avec Josh Almanson estelle difficile à vivre?
Il n’y a aucun problème entre nous. C’est une décision
stratégique du coach. Il connaît les qualités de chacun
et lui seul sait qui il doit aligner face à telle ou telle
équipe, ou à tel ou tel moment. Pourquoi nous ferions-nous la guerre, Josh et moi? Au contraire, il
m’aide beaucoup et j’ai beaucoup appris à son
contact. PIERRE SALINAS
PLAY-OFF DE LIGUE A
Demi-finale au meilleur des cinq matches. Acte V
Fribourg Olympic - Lugano Tigers (2-2) ce soir 19 h 30
TROIS QUESTIONS À...
Randoald Dessarzin
> Entraîneur des
Lugano Tigers avec
lesquels il avait
fêté le triplé la
saison passée,
Randoald Dessarzin fait le point
avant le 5e match
décisif ce soir à Fribourg. Les Tigers
obtiendront-ils le droit de défendre leur
titre face aux Lions de Genève?
KEYSTONE-A
STEFANO LURATI
«Bagarrer et
encore bagarrer»
> Les mots. «On se retrouve à 2-2 avec
chaque équipe ayant réussi à remporter
une rencontre sur le terrain de l’adversaire.
L’avantage du terrain sur un 5e match est
vraiment très minime. On sait pertinemment que Lugano est capable de venir
jouer la gagne dans notre salle»: même si
le public fribourgeois se déplacera en
masse ce soir, ce ne sera pas suffisant si
Olympic est dans un jour «sans» au lieu
d’être dans un jour «avec». Damien Leyrolles en est le premier conscient. Il insiste
donc: «Il faudra bagarrer, bagarrer et
encore bagarrer en faisant preuve d’un
engagement à toute épreuve. Je m’attends
à un bras de fer au cours duquel l’équipe
qui craquera aura beaucoup de peine à
revenir dans la partie.»
> Les maux. Les éclopés sont toujours les
mêmes. Côté Olympic, Ed Draughan joue
avec une petite déchirure à une cuisse qui
le pénalise dans sa détente au tir. Côté
Lugano, Dave Fergerson reste sur la touche.
> Et moi? Lui, c’est Dusan Mladjan. Celui
que Damien Leyrolles qualifie de «plus
beau shooteur que j’ai vu en Suisse»
détient peut-être les clés de cette demifinale. Par l’imprévisibilité de ses tirs et
par sa capacité à dégainer dans les positions les plus improbables, le shooteur
des Tigers peut frapper à chaque instant.
Dans un grand soir, il devient inarrêtable.
Mais le sera-t-il? SL
Damien Leyrolles explique, les joueurs écoutent: «Toute tactique n’est valable que si chacun y adhère.» KEYSTONE
Acculés à innover pour bousculer les
convictions des Lugano Tigers, Damien
Leyrolles et son assistant Mehdy Mary
ont repris la main dans le duel tactique
qui les oppose à Randoald Dessarzin et
à son adjoint Walter Bernasconi. Mardi,
les stratèges français du Fribourg Olympic ont puisé dans leur stock pour modifier la donne: Ed Draughan meneur
de jeu à la place de Jonathan Kazadi,
Roberto Kovac dans le cinq de départ,
Ian Savoy investi d’une mission défensive sur le maître à jouer Branko Milisavljevic. Autant d’éléments qui, additionnés, ont fini par compter dans le
résultat final. En prime, personne aux
Tigers n’a trouvé la parade pour freiner
Arizona Reid (41 points marqués, 7
fautes provoquées, 8 passes décisives).
Et Olympic ne s’est pas privé d’enfoncer
le clou en insistant avec un système de
jeu conçu pour valoriser Reid quand il
est dans un grand soir. Mais que pèseront toutes ces considérations stratégiques dans un 5e match-couperet?
19 H 30
1. Mardi, Olympic a proposé plusieurs
nouvelles options tactiques. D’une
manière générale, quel est le poids
de la tactique dans un match de
play-off?
Au cas par cas, la tactique peut avoir un certain poids dans le décompte finale, mais ce
n’est pas l’élément décisif. Il me paraît relativement minime. Ce qui fait la différence et
m’impressionne, c’est comment une équipe
est soudain capable d’aller au combat. Mais
ce n’est pas une raison pour ne pas préparer
une bonne crème anti-Reid…
2. Quel impact psychologique cette première balle de match ratée peut-elle
avoir sur vos joueurs?
Il est certain qu’il faut être capable de se
vider les têtes par rapport à la défaite de
mardi. Maintenant, je le répète: c’est
40 minutes, balle au centre quelque soit
le terrain où l’on va jouer. Cela reste un
panier à 3 m 05, dix joueurs et trois
arbitres. On était à 40 minutes d’une
place en finale. On y est toujours.
3. Les clés de ce 5e match?
En ce qui me concerne, la constance.
Or, cette saison, on n’a jamais respiré la
sérénité. Mardi, on a un black-out total pendant lequel on prend un éclat de 21-2. Au
final, on ne perd que de 5 points. Tout va
donc se jouer sur de petites séquences.
STEFANO LURATI
N BREF
BALL
Parker s’est montré décisif
109-91 mardi au Texas, San Antonio a repris
(3-2) dans la demi-finale de la conférence
BA qui l’oppose à Golden State. A l’est, Indiana
sa part 3-1 face aux Knicks. Tony Parker s’est
cisif dans un cinquième acte crucial pour les
rançais a signé un double double, terminant
arqueur de la rencontre avec 25 points tout en
0 passes décisives. SI
SUR GLACE
urgh retrouve la confiance
et Los Angeles ont entamé victorieusement leur
de conférence de NHL. Les Penguins ont battu
tandis que le tenant du titre s’est défait 2-0 de
près s’être extirpé de justesse du piège tendu
w York Islanders de Mark Streit, Pittsburgh a reonfiance pour disposer facilement des Senators
Le «game winning goal» (2-1) est tombé dès la
sur une réussite du Russe Evgeni Malkin, élu
ueur de la soirée. Les autres buts des Penguins
rqués lors de situations spéciales. SI
BASKETBALL
Union Neuchâtel étudie trois options
Union Neuchâtel, qui avait menacé de se retirer de la LNA par la voix de son président Andrea Siviero (PHOTO STEFANO LURATI) samedi
dernier, n’entend pas réagir à chaud. Le comité
du club va étudier trois options selon «L’Express/L’Impartial». Il se donne jusqu’à fin juin
pour prendre une décision. Puni par la Ligue
nationale (LNBA) après diverses critiques
émises à l’encontre de l’arbitrage lors de l’acte I
de la demi-finale des play-off perdu face aux
Lions de Genève, Union Neuchâtel envisage
tout d’abord d’accepter les règles de la LNBA. Il
poursuivrait ainsi l’aventure en LNA.
Le promu pourrait ne pas accepter ces règles. Ce refus pourrait se traduire par un retrait des dirigeants – l’assemblée générale
pourrait alors décider de continuer ou non en
LNA – ou par une demande de relégation en
Ligue régionale qui serait effectuée par le comité actuel. Union Neuchâtel pourrait également décider d’ouvrir le débat sur un possible
changement de règlement au sein de la
LNBA. «La Ligue nationale est faite par les
clubs et pour les clubs, mais on estime qu’il y
a un gros dysfonctionnement», explique le
vice-président d’Union Patrick Cossettini
dans les colonnes de «L’Express/L’Impartial».
«Nous sommes ouverts, et avant de nous
décider, nous allons nous approcher de tous
nos sponsors, des autorités de la ville et du
canton, ainsi que des différents partenaires
qui nous ont aidés à faire de cette saison une
réussite sportive», souligne encore Patrick
Cossettini, dont le club a glané cette année la
Coupe de Suisse après avoir décroché sa qualification sur le tapis vert à la suite du retrait de
son «bourreau» des demi-finales Vacallo. SI
LUGANO - FRIBOURG 36-14
(15-7) • Fribourg: Tschudi, Fox, B. Mabboux, Cloux, Vyroubal, Sapin, Gomez, Mennecart, de Roche, Brodard, Bossy, Bourdet,
Berset, Cortes, J. Mabboux, Meier, Gillet, Fidanza, Jeger, Magnin, Vidoz, Hamburger.
Classement de ligue B: 1 Lugano 15/61. 2.
Fribourg 16/59. 3. Monthey 16/55. 4. Neuchâtel 15/49. 5. Nyon 2 18/37. 6. La Chauxde-Fonds 13/26. 7. Berne 15/24. 8. Lucerne
15/23. 9. Würenlos 14/15. 10. GC Zurich 2
13/4.
BASKETBALL
Villars cherche un entraîneur
Alain Dénervaud ne sera plus
l’entraîneur du Villars Basket la
saison prochaine. Arrivé peu
avant Noël avec pour mission de
redresser une situation compromise, l’ancien joueur du Fribourg
Olympic est parvenu à qualifier in
extremis le club du Platy pour les
play-off de ligue B. Pressenti par le
comité de Villars pour poursuivre
sa mission la saison prochaine,
Alain Dénervaud a été contraint
de renoncer pour raisons professionnelles. «Nous n’avons pas encore trouvé un nouveau coach,
mais déjà établi des contacts»,
précise Jean-Pierre Raineri, le responsable technique du club.
Autre départ: celui de l’Américain Robbie Ray Lewis que le comité n’a pas souhaité conserver.
Quant aux Tessinois Filippo Veglio
et Marko Kraljevic, ils pourraient
bien ne plus être villarois la saison
prochaine. Le premier devrait
poursuivre ses études à Macolin et
le second hésite à continuer à
jouer au basket. Réponse définitive fin juin après les examens universitaires. «On est déjà en discussion avec un nouveau meneur qui
prendra la place de Veglio», précise Raineri.
Pour le reste, tous les joueurs
fribourgeois rempilent pour une
saison. C’est le cas de Thierry Andrey, Léandre Chkarnat, Greg
Currat, Ludovic de Gottrau, Mohamed Hassan, Jonathan Kaniama, Malik Mechti, Kevin Monteiro, Fabien Pythoud et Nicolas
Reghif. SL
ATHLÉTISME/GUIN
Schaller le plus rapide sur 1000 m
BASKETBALL
15 mai 2013 12:02; Act: 15.05.2013 12:06
Union Neuchâtel étudie
trois options
Union Neuchâtel, qui avait menacé de se retirer de la LNA par la
voix de son président Andrea Siviero samedi dernier, n'entend pas
réagir à chaud. Le comité du club va étudier trois options. Il se
donne jusqu'à fin juin pour prendre une décision.
Puni par la Ligue nationale (LNBA) après diverses critiques émises
à l'encontre de l'arbitrage lors de l'acte I de la demi-finale des playoff perdu face aux Lions de Genève, Union Neuchâtel envisage tout
d'abord d'accepter les règles de la LNBA. Il poursuivrait ainsi
l'aventure en LNA.
Le promu pourrait ne pas accepter ces règles. Ce refus pourrait se traduire par un
retrait des dirigeants - l'assemblée générale pourrait alors décider de continuer ou
non en LNA - ou par une demande de relégation en Ligue régionale qui serait
effectuée par le comité actuel, selon L'Express/L'Impartial.
Envoyer
Union Neuchâtel pourrait également décider d'ouvrir le débat sur un possible
changement de règlement au sein de la LNBA. «La Ligue nationale est faite par les
clubs et pour les clubs, mais on estime qu'il y a un gros dysfonctionnement»,
explique le vice-président d'Union Patrick Cossettini dans les colonnes de
L'Express/L'Impartial.
«Nous sommes ouverts, et avant de nous décider, nous allons nous approcher de
tous nos sponsors, des autorités de la Ville et du Canton, ainsi que des différents
partenaires qui nous ont aidés à faire de cette saison une réussite sportive»,
souligne encore Patrick Cossettini, dont le club a glané cette année la Coupe de
Suisse après avoir décroché sa qualification sur le tapis vert à la suite du retrait de
son «bourreau» des demi-finales Vacallo.
(ats)
NBA
16 mai 2013 07:35; Act: 16.05.2013 07:49
Le Thunder sorti par
Memphis
C'est fini pour Oklahoma City ! Finaliste malheureux la saison
dernière face à Miami, le Thunder est tombé devant Memphis en
demi­finale de la Conférence Ouest.
Battus 88-84 dans leur salle, Thabo Sefolosha et ses coéquipiers se
sont inclinés pour la quatrième fois de suite par les Grizzlies pour
perdre 4-1 cette série. Une série qu'ils n'ont pas abordée, faut-il le
rappeler, à armes égales en raison de l'absence de Russell
Westbrook, opéré au ménisque. Memphis se hisse pour la
première fois en finale de la Conférence.
Kevin Durant a été bien malheureux lors de ce match V. La star du Thunder a raté
un tir à 6 secondes du buzzer qui aurait pu permettre à son équipe de revenir à la
hauteur de Memphis. Durant fut surtout très maladroit dans ses tirs avec un 5 sur
21.
Envoyer
Aligné seulement 19 minutes, Thabo Sefolosha a marqué 5 points (2 sur 5). Il a pris
4 rebonds et et délivré 2 assists. Manifestement, son coach Scott Brooks lui a
marchandé sa confiance tout au long de ses play-off.
A l'Est, Miami a, comme Memphis, cueilli une quatrième victoire de rang pour
conclure sa série face à Chicago. Dans sa salle, le Champion en titre a enlevé le
match V 94-91 après avoir été mené de 11 points en seconde période.
Demi-finales de Conférence (best of 7e). 5e match. Ouest: Oklahoma City Thunder Memphis Grizzlies 84-88; Memphis remporte la série 4-1. Est: Miami Heat Chicago Bulls 94-91. Miami remporte la série 4-1.
(si)
n BASKETBALL 2e LIGUE
L’IBC Delémont
se maintient
V Arlesheim II - Delémont
42-62 (20-37)
Delémont: Vallat (16 points/5 fautes),
Lièvre (14/2), Boesch (12/4), Bieri (9/3),
Goffinet (7/3), Queloz (2/1), Di Meo (2/0),
Kaempf (0/0), Marquis (0/0).
L’
IBC Delémont se maintient en 2e ligue bâloise!
Au terme d’une saison riche en
rebondissements et en variations dans l’effectif, les Jurassiens ont échappé à la relégation. Ils ont remporté de façon
méritée leur dernier match, 6242, dans la salle d’Arlesheim.
Après un premier quart sans
trop de réussite mais remporté
14-9, l’IBCD a accéléré pour se
donner une marge de 17 points
à la pause. Le doute s’est installé à la suite d’un relâchement,
mais un réveil dans l’ultime période a permis aux hommes de
la capitale de prendre définitivement le large. Ouf!
LQJ
Classement: 1. Arlesheim I, 20 matches/34
points. 2. Dudes, 19/28. 3. Münchenstein,
19/25. 4. Liestal, 18/24. 5. Bären, 19/22. 6.
Starwings, 19/21. 7. Riehen, 20/16. 8. Arlesheim II, 20/14. 9. Muttenz, 20/10. 10. Delémont, 20/10. 11. Pratteln, 20/8.
ORNALEdelPOPOLO
GIOVEDÌ 16 MAGGIO 2013
basket
BENFICA - CHELSEA
1-2
RETI: 59’ Torres 0-1; 68’ Cardozo (rigore) 1-1; 93’
Ivanovic 1-2.
BENFICA: Artur; André Almeida, Luisao, Garay (78’ Jardel), Melgarejo (66’ John); Perez, Matic, Rodrigo (66’ Lima); Gaitan, Cardozo, Salvio.
CHELSEA: Cech; Azpilicueta, Ivanovic, Cahill,
Ashley Cole; Lampard, David Luiz; Ramires,
Mata, Oscar; Torres.
NOTE: Amsterdam Arena, 46.163 spettatori; arbitro Kuipers (Ol). Palo: 88’ Lampard.
Utente e-GdP: lnba - Data e ora della consultazione: 16 maggio 2013 09:44
Stasera (19.30) alla St. Léonard la “bella” della semifinale tra l’Olympic Friborgo e i Lugano Tigers
Per trovare la finale,
occorre la perfezione
di marco galli
Punto e a capo. Dopo la rocambolesca sconfitta rimediata martedì all’Elvetico, il Lugano dovrà
giocarsi l’accesso alla finale stasera
alla St. Léonard di fronte alla prevedibile bolgia friborghese, che è
tutt’altra cosa rispetto al (timido)
calore dei tifosi bianconeri (solo
f
400 le presenze,
una miseria per un
simile appuntamento...). Dopo la
partita perfetta di sabato si sapeva
che in gara-4 ci sarebbero potuti
anche essere dei problemi, del resto
l’Olympic sapeva di giocarsi tutto e
quindi non aveva alternative, doveva osare di più. Ha però sorpreso, nella fattispecie, l’incapacità
dei Tigers di trovare una soluzione
per fermare lo scatenato Reid; ma
anche nel gioco i ticinesi hanno faticato nel tentativo di scardinare il
“muro” friborghese.
E qui sta il secondo problema.
Il Friborgo cercherà di nuovo di
attuare una pressione asfissiante
sul portatore di palla bianconero,
Milisavljevic in primis. Coach Dessarzin lo ha alternato con Bavcevic,
inserendo pure Dusan Mladjan in
cabina di regia. La presenza di Ma-
gnani sarebbe pure stata preziosa.
In fondo Marco nei precedenti impegni aveva mostrato una particolare attitudine, guidando la squadra anche in modo autoritario.
E poi ancora ci era sembrato che
Molteni potesse essere un giocatore prezioso nel lavoro difensivo:
sabato l’allenatore lo ha tenuto in
panchina, martedì lo ha impiegato
ma solo a partita in corso quando
Barber era gravato di falli. Westher
avrà magari il suo caratterino, ma
in campo sa rendersi utile e lo ha
dimostrato. A nostro avviso sarà
importante che tutti, ma proprio
tutti, riescano a scendere in campo
perché anche la rotazione in panchina possa risultare decisiva.
Randoald Dessarzin guarda
avanti, anche perché consapevole
che ora non sono ammessi più errori, chi vince passa, chi perde va
in... vacanza: «I playoff sono questi,
ogni partita ha la sua storia, bisogna ritrovare la giusta energia fisica
e soprattutto mentale. Non c’è tempo per preparare qualcosa di speciale, bisogna tornare in campo ed
essere concreti e presenti per tutti i
40 minuti. Basta un calo e l’avversa-
“Lello” in pista a Brands Hatch
rio ne può approfittare prontamente, come ha saputo fare l’Olympic».
Coach, ma allora per vincere stasera cosa ci vorrà veramente? «Sicuramente l’orgoglio e la capacità
di trovare delle efficaci soluzioni facendo però valere il collettivo, perché con le individualità non si va
lontano. Sono comunque fiducioso,
i ragazzi hanno i mezzi per fare la
differenza».
Roberto Kovac arriva quando
meno te lo aspetti, due sue “triple”
martedì hanno pesato come macigni nell’ultimo quarto e così il suo
Friborgo ha saputo tenere duro fino
alla fine: «Non avevamo alternative, dovevamo dimenticare la batosta di sabato e vincere, ci siamo
riusciti e questo grazie alla nostra
grinta e, ovviamente, alla superlativa prova di Reid. Lui è giocatore
di classe, quando trova il ritmo giusto può davvero fare malissimo, è
un motivatore come pochi e la sua
voce la fa sentire nel momento del
bisogno. Oggi abbiamo il fattore
campo dalla nostra, ma sappiamo
benissimo che nei playoff giocare
in casa non sempre può aiutare.
Occorrerà fare le cose giuste nel
momento giusto. Ci attendiamo
un Lugano deciso a tutto e quindi
dovremo sapere difendere in modo
aggressivo, cercando di costringere
i bianconeri ad effettuare tiri difficili come abbiamo saputo fare in
gara-4. Sarà una partita dura, ma
noi vogliamo la finale e possiamo
farcela».
Per quanto riguarda gli effettivi:
sul fronte bianconero squadra confermata (con la solita eccezione ri-
tennis
guardante Fergerson, infortunato),
in casa Friborgo squadra che vince
non si tocca, anche perché Shaw
(a
nostro avviso poco impiegato da
Leyrolles, viste le sue doti anche
dalla lunga distanza) ha dimostrato maggiore solidità rispetto al
connazionale Almanson. La partita
inizierà alle 19.30.
LNA maschile, semifinale, gara-5
Friborgo - Lugano
oggi 19.30 (2-2)
La semifinale
tra Lugano
e Friborgo
sembra sospesa.
Ma stasera
darà il suo
insindacabile
verdetto:
o dentro o fuori.
(foto Maffi)
Infortunio per il vodese – Fuori anche la Oprandi
Wawrinka getta la spugna
Oggi Simon sfida Federer
Prime sorprese al Masters 1000 di Roma, dove
nel secondo turno sono stati eliminati Andy
Murray (battuto dal polacco Janowicz), Jo-Wilfried Tsonga (steso dallo spagnolo Granollers)
e Kei Nishikori (superato dal francese Chardy).
Stessa sorte per Stanislas Wawrinka, che ha
però gettato la spugna prima dell’incontro con
Alexandr Dolgopolov per un problema a una
coscia. Eliminata pure Romina Oprandi, che è
stata sconfitta 6-4 6-2 dalla spagnola Carla Suarez Navarro. L’unico rossocrociato rimasto in
lizza è quindi Roger Federer, che oggi negli ottavi di finale incrocerà la racchetta con il francese
Gilles Simon, vincitore ieri sul russo Mikhail
Youzhny con il punteggio di 7-5 6-3. Il bilancio
fra i due giocatori è in perfetta parità (2-2) e per
la prima volta si sfideranno sulla terra battuta.
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PALLE DA BASKET
Nuvoloni neri si addensano...
Preoccupa il disimpegno
di sponsor pesanti come
la Benetton a Friborgo
e l’Helsinn a Lugano.
di Mec
L’orizzonte del basket che verrà
si tinge sempre più di nero, per
gli ottimisti di grigio fumo. Già,
il fumo è forse una componente
essenziale, come quello che è
stato soffiato negli occhi dei ti-
fosi da diverse società, come
quello che permea oramai da
decenni Federazione e Lega
quando si tratta di progetti:
fumo come i soldi che vanno in
certe direzioni, leggi acquisti di
giocatori che sono delle vere
ciofeche. Fumo come quello che
si alza ogni qualvolta si cercano
i colpevoli di certe magagne del
basket, vere cortine fumogene
che nascondono poltrone e diritti acquisiti, non per meriti
ovviamente.
I segnali di fumo, invece, ci
giungono dal contesto stesso,
travalicano le Alpi, così come i
Navajos trasmettevano a Tex
Willer, per loro Aquila della
Notte, a chilometri di distanza,
si adagiano sui nostri pensieri.
Dopo l’esclusione (auto o meno
poco cambia) del Vacallo e il ritiro del Nyon, ecco che arriva la
decisione definitiva del ritiro
della Benetton quale main
sponsor dell’Olympic e un abbassamento degli investimenti
in casa bianconera. Il ritiro
dell’azienda italiana era deciso,
ma tutti aspettavano un ripensamento. Quello della Helsinn
va in sintonia con il disimpegno, chiamiamolo così dell’altro sponsor bianconero legato
al mondo arabo, AbdulGafahr.
Se due delle prime tre squadre
svizzere, le più titolate in ogni
caso, cominciano a tirare i cordoni della borsa, immaginiamoci scenari agonistici decisamente al ribasso. Anche perché
la quarta in stagione, il Neuchâtel, per bocca del suo presidente
Siviero, ha detto chiaramente
che il budget futuro non sarà
diverso da quello investito quest’anno.
A Monthey si fanno i conti al risparmio, mentre a Massagno
non si è mai parlato di voli pindarici. Se ci mettiamo la riduzione di uno straniero e il fatto
che di svizzeri bravi non ce ne
sono più all’orizzonte (quante
novità quest’anno? Aspettiamo
aiuti nella ricerca), il destino è
quello di un basket sempre più
povero tecnicamente, sempre
meno adeguato a pensieri fuori
le mura. Ci saranno tanti (si fa
per dire, ovviamente) orticelli,
con qualche americano buono e
qualche fumantino, lo spettacolo scemerà e non è escluso che
si torni a giocare all’aperto.
Scherziamo, o per lo meno crediamo di farlo. Ma visto come
certe idee poi vengono prese sul
serio...
BASKET | PLAYOFF
BASKET
Siamo al dentro o fuori
Semifinali, gara 5
Oggi, gara 5
19.30 Olympic - Lugano
Gara 5 di semifinale
a Friborgo, stasera, ore
19.30. Da seguire via
computer per i tifosi,
dal vivo per chi può.
di Dario Bernasconi
Una trasferta che i bianconeri
avrebbero voluto evitare ma che,
giocando in maniera sconcertante nell’ultimo quarto di gara 4,
dovranno sobbarcarsi.
Eppure Stockalper e compagni
martedì hanno avuto la possibilità di chiudere prima la gara
quando, avanti diverse volte di 68 punti, non hanno avuto la freddezza di chiudere: qualche tiro
affrettato, qualche passaggio da
campetto, qualche distrazione
difensiva. Si sa che i dettagli fanno la differenza, soprattutto nei
playoff anche se non si possono
chiamare dettagli i 41 punti di
Reid, ma le lacune difensive su di
lui sì.
Dessarzin era molto abbattuto:
«Capita che un giocatore trovi la
serata magica, dove tutto funziona. Noi abbiamo cercato di cambiare difese, uomo, raddoppi, ma
siamo stati una coperta corta. E
ci hanno punito oltre i nostri demeriti». Già perché questo Olympic non è stato forte come squadra in attacco, come dicono i 5
I passi falsi non saranno più ammessi
punti di Draughan e di Yates, ma
ha saputo mettere la museruola
a Milisavljevic: una pressione
molto forte ne ha limitato i passaggi, una chiusura attiva le penetrazioni. Non è bastato che fosse Dusan o Bavcevic a impostare
per cambiare le cose. Il Lugano,
soprattutto nell’ultimo quarto, si
è trovato senza idee e con movimenti senza palla troppo lenti e
prevedibili, favorendo il lavoro
difensivo ospite.
Stasera il Lugano dovrà andare
in campo consapevole della sua
forza, facendo tesoro dei vuoti
TI-PRESS/PUTZU
palesati martedì. Vincere a Friburgo si può, non è impossibile.
Bisognerà però stare in campo
40’ senza cali di tensione, senza
passaggi a vuoto. Per l’Olympic si
tratterà di ripetersi: ma Reid sarà
ancora così efficace? La difesa
burgunda sarà ancora così fisi-
ca? Usciranno i Draughan e gli
Yates inibiti nelle ultime due
gare? La qualità tecnica degli uomini di Leyrolles sarà veramente
superiore? Quaranta minuti o
poco più, e avremo un verdetto.
Nel dentro o fuori, da domani
qualcuno sarà in vacanza.
(serie 2-2)
GIRO D’ITALIA
Undicesima tappa, Tarvisio - Vajont: 1.
Navardauskas (Lit/Garmin) km 182 in
4h23’14 (41,484 km/h); 2. Oss (I) a 1’08”;
3. Pirazzi (I) a 2’59”; 4. Puccio (I) a 3’07”;
5. Martens (Ger); 6. Di Luca (I); 7. Martinez
(Sp), t.s.t.; 8. Pauwels (Be) a 3’10”; 9. Petrov (Rus) a 3’11”; 10. Rodriguez (Ven) a
3’25”. Poi: 20. Intxausti (Sp) a 5’23”; 29.
Wiggins (GB) a 5’41”; 31. Evans (Aus); 32.
Nibali (I); 36. Uran (Col); 38. Scarponi (I);
40. Gesink (Ol), t.s.t.; 57. Morabito (S) a
6’00”; 75. D. Wyss (S) a 10’01
Classifica generale: 1. Nibali (Astana)
43h26’27”; 2. Evans a 41”; 3. Uran a 2’04.
4. Wiggins a 2’05”; 5. Gesink a 2’12; 6.
Scarponi a 2’13”; 7. Santambrogio (I) a
2’55”; 8. Niemiec (Pol) à 3’35. 9. Intxausti a
4’05”; 10. Pozzovivo (I) a 4’17. Poi: 47. Morabito a 39’10”; 84. D. Wyss a 1h11’49”
BASKET | UNDER 16
Novità sotto canestro
La stagione di basket
giovanile è ormai
in dirittura d’arrivo; dopo
le finali ticinesi d’inizio
maggio, restano solo
da giocare i campionati
svizzeri in Romandia.
di Daria Voumard
A competizioni terminate, è
giunta l’ora di tirare le somme
dell’annata anche per Ticino Basket e a farlo ci ha pensato il suo
presidente Claudio Franscella:
«Abbiamo avuto una stagione
impegnativa, ma molto soddisfacente. Siamo partiti con un torneo internazionale a Bellinzona
in merito ai festeggiamenti del
70esimo di fondazione dell’Associazione cantonale e in memoria
di Dario Koludrovic. Un’occasione che ha visto un grande afflusso di pubblico e in cui le nostre
selezioni cantonali si sono distinte per qualità e impegno contro squadre blasonate. I nostri
sforzi si sono concentrati soprattutto sui centri di formazione,
dove abbiamo cercato di perfezionare sempre più la qualità, offrendo alle nostre squadre esperienze fuori Cantone. Quest’anno
abbiamo intensificato i tornei in
Italia, appuntamenti in cui i ragazzi hanno sempre ottenuto ot-
timi risultati e dimostrato grande fairplay». Ticino Basket non si
occupa solo delle selezioni, ma
allestisce i campionati e le maggiori manifestazioni cantonali
giovanili: «Nella parte finale di
stagione abbiamo organizzato la
Coppa Ticino e le Final Four, due
eventi che esprimono il meglio
del basket giovanile ticinese e
che hanno riscontrato un grande
successo».
‘Il progetto segnerà
l’inizio di un cammino
che potrebbe ampliarsi’.
La chiusura di stagione di Ticino
Basket è prevista in giugno con
una festa al Centro Sportivo di
Tenero a cui parteciperanno le
nostre selezioni. Ticino Basket
ha inoltre sollecitato i comitati
direttivi della Lega e Swissbasket per portare in futuro una
delle due manifestazioni più importanti, le finali di Coppa Svizzera e Coppa della Lega, nel nostro Cantone: «Abbiamo cercato
di indirizzare maggiormente i
loro occhi verso il Ticino, regione
molto importante per la pallacanestro ma a volte un po’ dimenticata dai vertici nazionali».
La grossa novità è però un’altra,
la fresca approvazione di un progetto per una squadra cantonale
maschile U16, che da settembre
giocherà un campionato nazio-
nale contro formazioni di pari livello. «Nel corso dell’anno abbiamo lavorato alla realizzazione di
un sogno che da tempo portavamo avanti con Swissbasket, la
creazione di un Team Ticino U16.
La squadra, composta dai migliori giocatori di categoria, verrà gestita dalla nostra federazione in collaborazione con tutti i
club del Cantone. Proprio alcuni
giorni fa, i club hanno avallato
l’importante progetto che segnerà l’inizio di un cammino molto
interessante, un’iniziativa che
potrebbe dar spazio ad altre formazioni maschili e femminili».
Un progetto che, va precisato, si
trova in una fase iniziale e a cui
non sono ancora stati associati
particolari nomi, ma che è in
cantiere da qualche anno: «Già
all’inizio del mio mandato, nel
2010, avevo messo sul tavolo
l’idea di creare una selezione
faro, un Ticino basket Team U16
che avesse l’obiettivo di fungere
da punto di riferimento per le
squadre dei centri di formazione
di categoria inferiore. Ora il progetto sta per concretizzarsi e
sono contento dell’interesse e
della collaborazione dimostrata
da tutte le società presenti al
momento dell’istituzione della
squadra, sono convinto che creerà grande entusiasmo all’interno
del movimento giovanile, dei
club e dei ragazzi».
Si comincia con gli U16, ma in futuro il progetto potrebbe estendersi
TI-PRESS/D. AGOSTA
IL PROGETTO
Trovato un compromesso tra sponsor, federazione e club
I selezionati avranno
la possibilità di misurarsi
per tutta la stagione con i
pari età della Svizzera.
Franscella
TI-PRESS/GALLI
Il Ticino Basket Team U16 è un
passo importante per tutto il
movimento giovanile.
«I selezionati saranno a disposizione esclusiva di questa
squadra per uno o due anni, un
periodo importante affinché
possano maturare e giocare con
frequenza ad alti livelli, in
modo da essere pronti e preparati per fare l’eventuale salto di
categoria in Lega Nazionale al
loro rientro nei club. Le otto
squadre che giocheranno questo campionato saranno un bacino per le Nazionali giovanili e
i ragazzi saranno seguiti dai selezionatori. È un progetto pilota
per il basket giovanile che mancava» aggiunge Franscella.
Un’iniziativa che impegnerà Ticino Basket a gestire una squadra sull’intera stagione: «Verrà
creato uno staff ad hoc, composto da tre rappresentanti delle
società sportive dei club e due
da Ticino Basket.
Si occuperà della parte amministrativa, ci sarà poi una commissione tecnica che selezionerà i giocatori».
Un progetto con un apparato simile richiederà investimenti
particolari... «Abbiamo già avuto il sostegno di alcuni sponsor,
tra cui la Domusdea Immobiliare Sa, che crede fortemente
nel progetto e l’ha dimostrato
investendo una cifra importante.
Swissbasket obbliga ad avere
uno staff completo e i costi non
sono indifferenti. Abbiamo trovato un compromesso con
sponsor, federazione e club».
Come pubblicizzare al meglio
questo progetto? «La squadra
avrà pure il compito di pubblicizzare il basket in Ticino, per
cui stiamo pensando di far disputare le partite prima dei vari
incontri di Lna a turno, sia nel
maschile sia nel femminile e
magari anche nelle altre società
che ne faranno richiesta. Questo discorso si riallaccia all’idea
di Ticino Basket di propagandare la pallacanestro su tutto il
territorio».
D.V.
Si punta al titolo
Domenica e lunedì si disputa a
Neuchâtel la finale del campionato svizzero di ginnastica ritmica che mette in palio i titoli
nazionali individuali e a squadre. Le individualiste (eccetto le
giovanissime P2), oltre al concorso generale, avranno la possibilità di accedere alle finali di
specialità.
Lo scorso anno il nostro movimento ginnico aveva conqui-
stato ben 14 medaglie. Merito in
primis delle ginnaste del Centro regionale Actg Lisa Rusconi
e Nicole Turuani con 9 medaglie e di Lisa Tacchelli che si era
aggiudicata il titolo assoluto. I
tre talenti scenderanno in pedana non con gli esercizi individuali bensì con il gruppo della
squadra nazionale. Le tre ticinesi figurano attualmente tra le
titolari della nazionale Senior
che ad aprile ha vinto una storica medaglia di bronzo in Coppa
del Mondo a Lisbona.
In lizza anche il gruppo elvetico
Junior (con le ticinesi Chiara
Torino e Melanie Soldati) che a
fine maggio rappresenterà i colori rossocrociati agli Europei.
Nella categoria G3 con i cinque
cerchi saranno impegnate anche l’Sfg Locarno e l’Sfg Biasca,
prima e seconda nelle prece-
denti competizioni. Possibili
medaglie potrebbero arrivare
anche con i gruppi G1 della Sfg
Locarno e del Centro Regionale
Ticino dell’Actg che, nella precedente qualifica, avevano monopolizzato i vertici della classifica.
Infine, in ambito individuale,
nelle due gare di qualifica si è
messa in evidenza Gaia Gnesa
(classe 2003 Sfg Locarno), che
nelle P2 aveva ottenuto in entrambi gli appuntamenti la medaglia d’argento. Oltre a lei, in
finale anche: Ana Rajkovacic,
Gilda Hauke, Stasa Dadò, Annachiara Grossi, Erika Ferrari,
Naima Marioni, Tina Celio, Lara
Pigazzini, Michela Strano, Michèle Morinini, Andrea Melone,
Viktoria Kitanova, Laura Mirizzi, Micol Tiraboschi, Alice Celio
e Tania Martinelli.
TI-PRESS/REGUZZI