1 / 10
http://www.samaritani.ch
Responsabilità al volante dei «bisonti»
10 I Intervista
alla presidente centrale
14 I Ambulanze,
luci blu e sirene
16 I Il Gruppo HELP
di Tenero-Contra
21 I Patrick Rohr alle
Giornate d’Impulso
ENFIN!
Sylvia: J’avais tellement perdu
de poids en 1 semaine que j’ai
annulé mon rendez-vous
pour une chirurgie gastrique!
Un traitement
naturel contre
l’obésité a été
développé.
Sylvia nous raconte comment grâce à un procédé
révolutionnaire elle a perdu 22 kg en 7 semaines
alors qu’elle était désespérée et décidée à se faire
poser un ballon gastrique.
passés et j’avais 25 kilos en trop.
J'avais tellement essayé de procédés miracles
que je ne croyais plus à rien. Je ne trouvais plus rien
à m’habiller, je n'osais pas sortir et la plage était
devenue un supplice. Mais le pire, c’étaient les
réflexions de mon mari et de mon fils que je ne veux
pas rapporter ici. Enfin, au niveau affectif avec mon
mari cela devenait catastrophique.
Et puis un jour, à la télé, j’ai vu une émission
sur les chirurgies gastriques pour les personnes qui
souffrent et qui n’arrivent pas à maigrir. En réalité,
il s’agit de placer un ballon dans l’estomac. Par conséquent, on ne peut pas manger beaucoup et donc on
maigrit.
Au bout du rouleau et prête à tout pour redevenir une vraie femme, je suis allée voir mon médecin.
Je lui ai dit que je voulais faire cette opération. Finalement, nous avons fixé une date pour l’intervention. J’avais pris une décision radicale et j’étais
convaincue du résultat.
Le jour après, j'ai confié cette décision à ma
meilleure amie Monica. Le lendemain, elle m’a
appelé pour me dire que son mari qui est ingénieur
biologiste, avait entendu parler d’un nouveau procédé qui assure le même effet, mais qui évite les
inconvénients d’une intervention chirurgicale.
Il s’agissait d’une sorte de poudre qui gonfle
pour atteindre un volume multiple dans l’estomac et
permet d’agir comme le ferait un ballon gastrique.
Deux jours après, elle était devant ma porte
avec le paquet contenant la poudre miracle qu’il fallait prendre sous forme de capsules. Quand j'ai lu la
composition, j’ai constaté qu’il s’agit d’un dispositif médical certifié et à 100% naturel qui n'entraîne
aucun effet secondaire nocif.
Je pensais surtout à mon opération qui appro-
chait (c’était dans 10 jours). Je me suis dit que ce
serait une bonne occasion de m'y habituer.
Alors j'ai pris 3 capsules une demiheure avant chaque repas principal et l’effet a été immédiat.
Je mangeais ce que je j’aimais, mais je ne n'avais plus
ces pulsions qui vous font
grignoter toute la journée.
Après 3 jours, j'avais perdu
1,5 kilos et en fin de semaine,
la balance a affiché 3,5 kilos de moins.
Il me restait 3 jours avant l'opération. J’ai
appelé mon médecin pour lui raconter ce qui m'arrivait. Quand je lui ai parlé de la composition de
PLANTO-SLIM (c'est le nom de ces capsules qui
contiennent cette poudre miracle), il n'a pas été
étonné.Il m'a dit que j’avais réalisé naturellement ce
que je m’étais préparé à faire avec une opération
chirurgicale. Nous avons décidé ensemble d’annuler mon opération et de suivre les résultats ensemble chaque semaine.
Evidemment, j’ai continué à perdre du poids
régulièrement. Le premier mois j’avais perdu exactement 13 kilos – et cela sans faire aucun effort particulier.
Je mangeais ce que j’aimais, à ma faim avec un sentiment de satiété que j'avais oublié depuis longtemps. Je me sentais en pleine forme. J’ai perdu 22
kilos après 7 semaines. Là, mon médecin m’a dit
stop c’est assez.
J’avais peur de reprendre du poids en arrêtant
de prendre PLANTO-SLIM. Pour éviter donc l’effet yoyo bien connu, je prends tout simplement 2
capsules de PLANTO-SLIM avant des repas particulièrement riches en calories, mais c'est tout.
J’ai enfin la silhouette dont j’ai si longtemps
rêvé et avec mon mari j’ai des relations affectives
plus belles que jamais auparavant.
POURQUOI PLANTO-SLIM AGIT COMME
UN BALLON GASTRIQUE NATUREL
PLANTO-SLIM agit selon le même principe que le ballon gastrique qui est introduit dans le cadre d'une opération (ce ballon doit remplir l’estomac). La différence c’est que PLANTO-SLIM est à 100% naturel. Chaque jour vous perdez du
poids sans sensation de faim. Découvrez-en les raisons ci-dessous …
1) Sensation de satiété
pour longtemps
Les capsules PLANTO-SLIM
sont remplies de poudre de
glucomannane de konjac, un
extrait végétal de la racine de
konjac spécialement traité.
En prenant cette poudre avec
de l'eau, celle-ci gonfle dans
l'estomac jusqu'à atteindre
200 fois son volume normal
et forme une masse gélatineuse qui enferme les composants alimentaire broyés.
Ainsi, vous mangez nettement moins que d’habitude
car votre estomac est rempli
plus rapidement. Grâce à
cette sensation de satiété
durable et agréable vous ne
ressentez plus de sensation de
faim omniprésente. La poudre
elle-même est éliminée de
manière naturelle sans être
digérée. PLANTO-SLIM peut
être pris à volonté.
2) Réduit l’absorptionde
calories
En outre, PLANTO-SLIM
retarde l'absorption de graisses et réduit la quantité de
glucides qui sont absorbés par
la nourriture. Le résultat?
Non seulement, vous mangez
moins, mais aussi vous absor-
bez moins de calories de ce
que vous mangez. De cette
manière, vous perdez automatiquement de poids et ce, sans
avoir faim un seul instant.
3) Remboursement
garanti
N'hésitez pas et commandez
PLANTO-SLIM
encore
aujourd’hui. Si vous ne perdez pas de poids avec PLANTO-SLIM, nous vous remboursons votre argent sans
discuter. C’est honnête, n’estce pas?
Avalées avec de l’eau, ces capsules
agissent comme un ballon
gastrique naturel.
+
+
=
=
‘ Si vous souhaitez perdre du poids normalement, prenez 2
capsules avant chaque repas principal.
‘ Si vous souhaitez perdre du poids rapidement, prenez 3
capsules avant chaque repas principal.
Trendmail SA, Service-Center
Bahnhofstr. 23, 8575 Bürglen TG
Tel. 071 634 81 25, Fax 071 634 81 29
www.trendmail.ch
BON DE COMMANDE
!
OUI, je commande contre facture (10 jours) + participation aux frais d'envoi
(Fr. 5.90) comme suit:
Veuillez cocher ci-dessous le régime souhaité:
o PLANTO-SLIM régime 10 jours (64 capsules)
o
No d'art. 3603
o
No d'art. 3601
Fr. 48.–
PLANTO-SLIM régime 1 mois (192 capsules) ‘ Recommandé pour des résultats optimaux!
au lieu de Fr. 144.–
seulement Fr. 98.– !
PLANTO-SLIM régime 2 mois (384 capsules)
No d'art. 3606
au lieu de Fr. 288.–
Monsieur
o
o
seulement Fr. 178.– !
Madame
Nom:
Prénom :
Rue/N°:
NPA/lieu:
A envoyer à: Trendmail SA, Service-Center, Bahnhofstr. 23, 8575 Bürglen TG
205-218
on histoire est somme toute assez banale...
Pour résumer, entre 23 ans, quand j’ai eu mon
M
fils unique, et hier si je puis dire, 10 ans s’étaient
Editoriale
Sommario
Sommario
Reportage
04 | Autisti professionisti
Una giornata con un camionista per ca­
pire i rischi del mestiere, e non solo sulla
strada.
Ricette di successo
07 | L’importanza dei giovani
I giovani membri sono molto importanti
per la vita della Sezione, come avvicinarli.
Un anno è già passato …
Buon Anno!
Quella mattina nevicava molto. Ep­
pur mi sembra ieri. Salivo il Ceneri
lungo l’autostrada innevata e supe­
rando i parecchi … bisonti della stra­
da fermi o di traverso senza catene
… L’appuntamento per il colloquio
era nella sede della ASSTM di Rivera.
Lì ho incontrato con piacere e per la
prima volta il Capo del Settore co­
municazione di Olten Eugen Kiener
e il nostro presidente cantonale An­
drea Rusconi. Pochi giorni dopo,
loro e i colleghi della redazione di
Olten, avrebbero «tirato assieme»,
proprio durante le festività natalizie
e non senza mille interrogativi, il pri­
mo numero della nuova rivista «oggi
Samaritani». Io ho avuto il grande
piacere e la fortuna di poter conti­
nuare, in un buon e stimolante am­
biente di lavoro, questa sfida con il
secondo numero della rivista e tutti i
successivi. E questo grazie alla fiducia
accordatami dal Settore comunica­
zione di Olten e grazie anche e so­
prattutto a tutti voi, cari Samaritani!
Una sfida, dico, poiché questa
nuova rivista come pure le Newslet­
ters fanno parte di un nuovo modo
di comunicare e di rapportarsi con i
soci voluto dalla Federazione svizze­
ra dei Samaritani. Una sfida che,
dopo un anno, mi sembra sia stato
più che giusto cogliere ed affrontare,
proprio per dare al movimento sa­
maritano svizzero anche un’unità di
informazione oltre che di immagine.
E mi sembra che piano piano ci stia­
mo riuscendo. Ma si può ancora mi­
gliorare e fare molto, come lo ribadi­
sce, in questo numero, la nostra
presidente centrale Monika Dusong.
L’importante è crederci, provare, a
volte fare il primo passo e non mol­
lare il pedale … dell’entusiasmo. E’
quello che auguro a tutti voi per il
2010, care Samaritane e cari Samari­
tani!
Attualità dalla
Federazione
Sezioni e Associazione
10 | Intervista a Monika Dusong
La presidente della FSS parla degli ob­
biettivi per il nuovo anno: aumentare le
sinergie.
16 | Sezioni ticinesi si raccontano
Un nuovo Gruppo Help a Gordevio, le
attività di quello di Tenero e voci da
Canobbio.
Buono a sapersi
18 | Anatomia umana
L’apparato locomotore attivo: impariamo
a conoscerne meglio il funzionamento.
Ritratto
21 | Patrick Rohr
Il successo e il carisma di un moderatore
TV che sa parlare alla gente e comunicare.
Sommario
E
ditoriale
03
Mara Zanetti Maestrani
oggi samaritani 1/10
Reportage
04
In Svizzera sono ben 80 000 gli autisti professionisti in circolazione
Dove il viaggio è ancora il lato meno
pericoloso
Trasportare, scaricare, consegnare, ritirare … e tutto velocemente: il tempo stringe. In Svizzera,
80 000 autisti professionisti guadagnano la loro pagnotta praticamente al volante. Tuttavia, il
viaggio in sé è ancora la parte meno pericolosa di questa professione, come ha potuto constatare
il reporter che ha passato una giornata con un camionista.
Testo e foto: James D.Walder
La vista sull’autostrada dall’alto del­
la cabina del camion è ottima. Già
da lontano si vede la colonna di vei­
coli, subito dopo l’oramai noto pun­
to critico di Brüttisellen. Jimmy
Schmid, che in verità si chiama però
Ulrich, frena lentamente il camion e
si incolonna sulla corsia di destra,
assieme agli altri veicoli in attesa.
«Negli ultimi anni – racconta – il
traffico è aumentato di molto; le co­
lonne mi rubano molto tempo e
all’impresa costano molti soldi, ma
cosa si può fare? Anche se si costru­
isse da qualche altra parte una nuo­
va galleria o una nuova corsia, il
problema dell’ ‹imbottigliamento
del traffico› verrebbe solo trasferito
oggi samaritani 1/10
altrove». Jimmy è camionista da più
di 20 anni. In questo bel pomeriggio
di dicembre, ha caricato con la gru a
Winterthur (presso il suo datore di
lavoro) delle grandi e pesanti tavole
di legno che ora sta portando nella
zona di Zurigo, in un grande cantie­
re.
Lavoro di precisione e forza
Quando, dopo l’attesa, finalmente si
potrebbe dare gas, il camion già
deve uscire dall’autostrada. «Sono
atteso laggiù» – ci dice indicando in
lontananza, dove si scorge una gru
mastodontica, addirittura più alta di
un campanile poco lontano. E oggi,
sul cantiere, non siamo accorsi solo
noi, ma ci sono già altri tre camioni­
sti della stessa ditta (Marcel Bern­
hard, René Schneider e Andrea
Bühler) con i loro grandi automezzi.
Accanto alla gru di cantiere, è posi­
zionata un’altra enorme autogrù
di 300 tonnellate della ditta stessa
di Winterthur. Ad un primo colpo
d’occhio, questa autogrù enorme
sembra addirittura … oscillare, con
le sue ruote a mezzo metro da terra.
In effetti il contrappeso dell’autogru
non è posizionato correttamente.
Jimmy chiede ai suoi colleghi di
­aiutarlo: bisogna intervenire tutti
­assieme per riportare in equilibrio
stabile il pesantissimo mezzo.
Cantieri pericolosi
Con uno strano sentimento, quasi di
sconcerto, ho constatato come i
quattro autisti con le loro sole forze
Il camionista Jimmy
Schmid al volante
del suo camion.
hanno potuto fissare la catena al
grosso cubo di cemento del contrap­
peso e come, solo poco dopo, lo stes­
so penzolava alto sopra le loro teste.
Se la catena dovesse rompersi, a
poco servirebbero a questo punto i
casti in plastica degli operai … Ve­
dendo queste cose nel cantiere, mi è
stato subito chiaro che i viaggi dei
camionisti i loro grossi automezzi
sono decisamente la parte meno pe­
ricolosa del loro lavoro. «Sia gui­
dando che nel cantiere, bisogna esse­
re completamente concentrati per
In alto con il contrappeso – il montatore
di gru e gli autisti si danno una mano.
non incappare in incidenti», ­osserva
il 48enne Jimmy Schmid. Anche
Werner Greuter, l’autogruista esper­
to, è molto concentrato quando,
guardando verso l’alto, manovra
con il suo «Joystick» in mano il con­
trappeso, lassù in alto.
In cantieri di queste grandezze, si
nascondono spesso e volentieri pa­
recchi pericoli; i più frequenti sono
le cadute (vedi riquadro). Proprio
nel settore edile, a questo punto, è
davvero sensato e utile assolvere il
corso di Primi soccorsi, ossia nozio­
ni importanti che dal 1 settembre
2009 sono inserite nei corsi di for­
mazione continua obbligatoria per
gli autisti professionisti.
«I corsi sono ingiusti»
«E’ comunque un po’ ingiusto che
noi camionisti dobbiamo assolvere
35 ore di formazione continua entro
5 anni, mentre tutti gli altri automo­
bilisti non devono fare nulla», pensa
Jimmy la cui opinione è condivisa
dai suoi colleghi camionisti. In defi­
nitiva, il tema «Comportamento in
caso di incidenti stradali» riguarde­
rebbe tutti i conducenti. Soprattutto
se si pensa che molti conducenti
hanno assolto il corso di Primi soc­
corsi molti anni fa.
Tuttavia, tornando ai nostri ca­
mionisti, loro non hanno tempo per
prendersela per queste «misure di­
scriminanti» emanate dagli Uffici
della circolazione. Il lavoro urge: bi­
sogna smontare una gru e caricarne
la parte sommitale sul camion. Tutti
gli autisti aiutano in questo lavoro.
«Se è ben fissata, metà del viaggio è
già fatta», affermano sorridendo.
Oltre alle tavole di legno, viene
quindi caricata anche parte della
gru, del peso di oltre 1300 chili. Ora
tutti sono pronti e il viaggio conti­
La Federazione svizzera dei
Samaritani è pronta al via
Secondo la nuova normativa
concernente il permesso di guida
degli autisti professionisti, quest’ultimi devono frequentare nell’arco di
5 anni 35 ore di formazione
continua e aggiornamento su vari
argomenti, tra cui le due tematiche
«Primi soccorsi in caso di incidenti»
e «Comportamento in caso di
incidenti». Queste formazioni
saranno offerte da istituzioni varie,
accreditate e riconosciute dall’Associazione dei servizi della circolazione (ASA) della Svizzera e Liechtenstein.
«La Federazione svizzera dei
Samaritani (FSS) è in pole-position
e attende solo la luce verde per
poter partire. Stiamo lavorando e
prendendo tutti i provvedimenti per
poter iniziare il più presto possibile
con le nostre proposte di corsi»,
osserva Roland Marti, Capo del
Settore Formazione e Consulenza
del Segretariato centrale. «Diversi
corsi – continua – sono stati
elaborati e ora sono presso l’ASA
per la registrazione». La FSS
insomma è pronta in pole-position.
Durante la prossima riunione
prevista il 16 gennaio, il Comitato
centrale si chinerà definitivamente
sul relativo concetto di dettaglio.
Successivamente, secondo Marti,
verranno informate tutte le Sezioni
Samaritane e tutti i quadri attraverso comunicazione via mail, affinché
monitori e Sezioni possano sapere
come fare per organizzare e
proporre il corso. Inoltre verranno
organizzati dei momenti informativi
rivolti a monitori, quadri e Sezioni
allo scopo di fornire le necessarie
informazioni in merito.
ds.
In altezza si
posano i
contrappesi
alla gru.
oggi samaritani 1/10
Reportage
nua verso la vicina centrale idroelet­
trica, dove li attende una missione
delicata.
06
Una manovra delicata che … «regala» ore supplementari
La prossima destinazione si trova
proprio nelle vicinanze di un altro
svincolo autostradale. Nel frattem­
po il freddo inizia a farsi sentire e il
crepuscolo avanza lentamente pre­
annunciando la fine della giornata.
Nel nuovo cantiere, Jimmy scariche­
rà finalmente il suo camion:
si tratta infatti di usare le grandi
­tavole di legno come binari rialzati
(o corsie) per l’autogru. E quest’ ul­
tima deve appunto essere portata, e
in retromarcia (!), sui binari fino
all’enorme capannone della centrale
elettrica. Ma lungo la tratta da per­
correre ci sono vari ostacoli: buche e
piccole baracche da evitare. Così le
manovre si complicano e tutto di­
pende dall’esperienza, dalla pazien­
za e dalla grande sensibilità alla gui­
da di Werner Greuter che corregge il
volante al millimetro per far restare
le 10 ruote del grosso veicolo sui bi­
nari di legno. Ci si potrebbe credere
alla trasmissione «Wetten dass … ?»
(Scommettiamo che …?) vedendo il
grosso automezzo procedere centi­
metro per centrimetro in retromar­
cia; solo l’ambiente circostante è un
po’ più «rude» rispetto a quello tele­
visivo! Gli altri uomini a questo
punto possono solo dar fiducia a
Werner. Alcune volte gli gridano:
«stop!» e scompaiono veloci tra le
grandi ruote dell’automezzo per
­riposizionare in modo corretto le
­tavole di legno. Solo così il «grande
mostro» avanza. Finalmente il lavo­
ro termina, l’autogru è arrivata a
destinazione.
E’ già buio quando, col camion, ci si
rimette infine in viaggio di ritorno
verso Winterthur, non senza di nuo­
vo qualche breve colonna sull’auto­
strada. Dopo aver fatto benzina ed
aver compilato l’abituale rapporto
di lavoro e dopo 10 ore e mezza di
lavoro, finalmente Jimmy ha termi­
nato il suo lavoro. «Oggi è stata una
giornata lunga, con molta ‹action›»
– conclude Jimmy, prima di infilarsi
nella sua Dodge e scomparire nel
buio verso casa.
n
Doris Spühler: Samaritana e capo del personale
La nuova regolamentazione per il permesso dei conducenti professionisti
concerne Doris Spühler in due maniere: da una parte la 43enne è capo del
servizio del personale della ditta «Toggenburger» di Winterthur, che conta
in totale più di 100 autisti. D’altra parte Doris è una Samaritana appassionata: «da 22 anni – afferma – appartengo alla Sezione di Andelfingen e
dintorni, nella campagna zurighese; e da 7 anni sono presidente della
Sezione». Inoltre è istruttrice in seno all’Associazione cantonale e specialista qualificata nella sicurezza sul lavoro.
Nella ditta, la formazione continua obbligatoria è stata regolata come
segue: «i costi per i corsi consigliati dalla nostra ditta vengono sostenuti
dalla ditta stessa» – spiega la responsabile – «Si tratta complessivamente di
circa 25 000 franchi all’anno. Per questa ragione, i corsi non sono conteggiati come ore di lavoro, ma vengono seguiti dai dipendenti nel loro tempo
libero», precisa la nostra interlocutrice che, tra l’altro, a livello personale ha
la licenza per condurre camion, taxi e moto.
Offerta di corsi, è tempo di accelerare!
Jimmy Schmid carica la parte sommitale
della gru sul suo camion.
Doris Spühler sostiene convinta che bisogna accelerare i tempi nell’offerta
concreta di corsi: «la FSS deve cogliere al volo questa enorme opportunità
e offrire questi corsi indirizzati agli autisti professionisti il più presto
possibile in tutta la Svizzera; tema centrale dei corsi: primi soccorsi in caso
di incidenti. Le imprese aspettano queste offerte», afferma la capo del
personale. Il flusso burocratico creato da queste nuove disposizioni è
abbastanza considerevole, con un altrettanto considerevole impegno a
livello amministrativo. Tuttavia la formazione continua del personale, in
passato come nel presente, è sempre un fattore importante per le imprese.
Come esperta nel campo della sicurezza, la 43enne constata che nel suo
campo di attività, sono pochi gli incidenti che si verificano sulla strada, e di
più quelli sui cantieri, come cadute. Le cadute sono molto più frequenti –
afferma – secondo le nostre statistiche, un incidente su due è il risultato di
una caduta. E, comunque, nella metà dei casi le persone non si feriscono
nell’azienda, ma durante il tempo libero, ad esempio praticando sport.
Naturalmente il profilo dell’autista professionale ha diverse sfaccettature,
in definitiva non tutti i camionisti
sono come quelli descritti in questo
reportage. Comunque la formazione
continua è importante, sia per i
camionisti che per i conducenti di
autobus, bus di linea, tram o altro;
tutti assieme – queste 80 000
persone – portano con loro una
grande responsabilità.
Doris Spühler è contemporaneamente Samaritana e capo del
personale di una grossa impresa,
per cui tocca con mano i bisogni
dei camionisti.
oggi samaritani 1/10
Ricetta di successo 24
I giovani soci
fanno bene alla Sezione!
L’approccio ai giovani è diverso da
quello che i può avere con gli adulti.
Nell’attività in Sezione, abbiate cura
di organizzare eventi e corsi che avvicinano in modo diretto i giovani
(ad esempio: un’azione «Primi soccorsi a scuola»). Presentatevi e parlate sempre a nome della Sezione,
rivolgendovi ai giovani in modo deciso. Date un’immagine attrattiva e
vivace della vostra Sezione.
Eliminare i pregiudizi
Spesso i pregiudizi da una parte
(giovani) e dall’altra (adulti) ostacolano in qualche modo una buona
integrazione e collaborazione. Ad
esempio, spesso il linguaggio dei
giovani è percepito come un «problema». I giovani si esprimono infatti in modo diverso dagli adulti.
Bisognerebbe quindi accettare il linguaggio dei giovani, il che però non
vuol dire in nessun caso assumere a
tutti gli effetti questo linguaggio,
che spesso indispone gli adulti. Si
tratta in pratica di avvicinarsi l’un
l’altro dimostrando tolleranza reciproca. I soci attivi della Sezione dovrebbero avvicinare i giovani e presentarsi. Per fare questo, le
occasioni sono molte (incontri, corsi, eventi).
funziona, i giovani si sentono subito
molto bene e accettati.
Integrare i giovani
I giovani sono un’iniezione di ottimismo ed entusiasmo nella Sezione. Nel contempo si occuperanno, a
loro volta, di cercare nuove forze e
individuare nuove opportunità che
permetteranno alla Sezione di vivere a lungo!
Se alcuni giovani entrano in Sezione, è sconsigliabile spingerli subito
nei Gruppi Help o in settori particolari di attività. Non abbiate fretta e
non forzate. Non tutte le Sezioni
possono del resto fondare dei
Gruppi Help. I giovani possono essere integrati bene nella normale
vita della Sezione, con il lavoro degli
adulti. Hanno però bisogno della
necessaria assistenza. Se questa
Siete interessati? Super-Sami ne sa
di più! Nel manuale «Lavorare con i
giovani», vi mostra qual è l’approccio corretto con i giovani e a cosa
porre l’attenzione quando si lavora
con loro. www.samaritani.ch >
Down­loads > Marketing > Manuali
> Lavorare con i giovani.
Gery Meier,
Capo Settore Marketing
Ricette di successo
Sempre più Sezioni Samaritane si lamentano della mancanza di nuove e
giovani leve. La domanda è a sapere come si possono motivare ed interessare
i giovani al lavoro in Sezione. Una premessa importante per guadagnare la
loro fiducia, è quella di rivolgersi direttamente a loro, parlare con loro in modo
aperto e coinvolgerli nella Sezione accompagnandoli ed integrandoli.
07
Organi in… organismi e organizzazioni
Nel nostro corpo, molte cose funzionano senza che noi coscientemente ne
dirigiamo il funzionamento. Il nostro
cuore batte e la nostra digestione funziona senza nessun ordine cosciente
da parte nostra. Ci rendiamo conto
dell’esistenza di alcuni organi solo
quando qualcosa in loro non funziona
a dovere. Ad esempio, i disturbi digestivi sono assai fastidiosi, poiché ci rovinano i nostri abituali ritmi di vita. Ma
appena i disturbi scompaiono, non ci
pensiamo più.
A volte, questi «inghippi» di salute
sono più seri. Allora ciò ci fa prendere
coscienza che per vivere necessitiamo
davvero di tutto quanto il nostro organismo. Solo allora agiamo in modo più
cosciente a facciamo attenzione a dare
al nostro corpo quello di cui ha bisogno
per restare sano e prestante. I nostri
organi non sono macchine indistruttibili. Anche noi, qui al Segretariato cen-
trale di Olten, a volte funzioniamo senza che pressoché nessuno se ne renda
conto. Avete un’idea di quante e quali
prestazioni avere ricevuto dal Segretariato nel corso dell’anno che si sta per
concludere? Oppure avete percepito la
nostra presenza solo perché una volta,
magari, qualcosa ha avuto un piccolo
inghippo e ciò ha disturbato il «normale corso» delle vostre cose?
La lista delle nostre attività e prestazioni, visibile sul sito www.samaritani.
ch sotto «Organizzazione/Segretariato
centrale» comprende ben 48 singole
attività. Anche noi non siamo
«macchine indistruttibili». Tuttavia ci rallegriamo di poter svolgere la nostra funzione anche nel
2010 allo scopo di mantenere la
FSS in piena forma, sana e forte!
Kurt Sutter,
Segretario centrale
oggi samaritani 1/10
FLAWA Prodotti per il
­trattamento delle ferite
I partner della FFS
I bendaggi servono per proteggere le ferite dall’azione degli agenti esterni, contro
i punti di compressione, per il fissaggio, il sostegno o come bendaggi di scarico.
08
Il cerotto adesivo Nova Haft e la
benda elastica di garza Fixelast sono
utilizzati principalmente per il fissaggio di compresse e come bendaggi di copertura.
Il bendaggio coesivo Nova Quick
offre un sollievo immediato in caso
d’incidenti di tipo sportivo: sulle articolazioni l’applicazione di Nova
Quick funge ad es. da bendaggio antiscivolo o di scarico che mette rapi-
damente «in scarico» la parte del
corpo interessata.
FLAWA Nova Cool – il prodotto
intelligente 2 in 1, formato da un
bendaggio a freddo, ad azione compressiva. Nova Cool offre un sollievo immediato in caso di strappi,
compressioni, contusioni, tumefazioni e schiacciamenti. Nova Cool
non deve essere messo in frigorifero
e la sua azione dura ca. 2 ore. Grazie
al raffreddamento e alla compressione ad effetto immediato la tumefazione non si espande. Il bendaggio
compressivo a freddo consente quindi all’articolazio­ne di continuare a
muoversi.
All’aperto o al chiuso, Nova Cool
è l’aiuto immediato in ogni disciplina sportiva. Si consiglia quindi di
applicare Nova Cool subito dopo il
verificarsi dell’incidente, per prevenire la temuta tumefazione ed ottenere un primo sollievo del dolore.
Nova Cool può essere riutilizzato
più volte senza alcun problema.
Nova Color porta colore nel
mondo dei bendaggi e può essere
utilizzato come benda universale
per il fissaggio, il sostegno o anche
come bendaggio compressivo e di
copertura.
La migliore medicina in
caso di mal di pancia e
per riscaldarsi
Borsa dell’acqua calda
con rivestimento di peluche
Art. 5748
CHF 16.—
Prezzi con IVA, spese di spedizione CHF 9.– per ordinazioni infersiori a
CHF 200.–
Ordinazione Autoadesivi Super-Sami
Inviare a:
Federazione svizzera dei samaritani
Servizio di vendita
Casella postale, 4601 Olten
Telefono 062 286 02 85
Fax 062 296 03 71
e-mail [email protected]
http://shop.samariter.ch
Quantità
No. cliente
Sezione/Associazione
Cognome
Nome
Via
NPA/Luogo
Telefono
e-mail
I partner della FFS
09
Vedere ed essere visti
Il TCS s’impegna in favore di condizioni
visive e di visibilità ottimali sulla strada
Soltanto aguzzando la vista, e con una buona illuminazione, gli automobilisti riescono a districarsi nel traffico in modo sicuro in autunno e inverno. In collaborazione con l’Associazione
svizzera dell‘ottica, il TCS offre agli automobilisti la possibilità di beneficiare gratuitamente di
ottime condizioni.
Guidando un veicolo, gli occhi sono
messi a dura prova. Oltre il 90%
delle informazioni rilevanti per il
traffico sono raccolte attraverso la
vista. Di conseguenza, una buona
capacità visiva è la prerogativa basilare per viaggiare senza affaticarsi,
in modo concentrato e, di conseguenza, sicuro.
Informazioni su illuminazione e test
visivo gratuito
Nell’ambito della sua campagna
«Vedere ed essere visti», il TCS offre
agli automobilisti la possibilità di
sottoporsi in Svizzera a un test gratuito della vista, compiuto da uno
specialista, membro dell’Associazione svizzera dell’ottica. Il relativo
buono, unitamente all’opuscolo sul-
la campagna, si possono scaricare
dalla pagina Web del TCS. Ma non
è tutto: il TCS dà informazioni e
La valutazione personale può
ingannare!
Quasi sempre il peggioramento
delle capacità visive si sviluppa così
lentamente che chi ne è colpito si
adegua continuamente e si accorge
del calo della vista soltanto quando
la carenza della capacità visiva è già
chiaramente progredita. È di
conseguenza importante far
controllare ogni tre anni le proprie
capacità visive, indipendentemente
dal fatto che si portino o meno
occhiali o lenti a contatto.
consigli per avere una chiara visione
dall’interno dell’automobile e un’ottima visibilità del proprio veicolo.
Per esempio, vengono spiegate le differenze tra fari anabbaglianti e luci
diurne oppure l’esigenza di regolare
i fari abbaglianti. Con queste utili
informazioni, gli automobilisti aumentano, in modo semplice, la loro
sicurezza, come pure quella degli altri utenti della strada.
In questo modo disponete della
rassicurante certezza che, in materia di condizioni visive, avete preso
i migliori provvedimenti per un inverno senza preoccupazioni.
Informazioni dettagliate sulla
campagna del TCS «Vedere ed essere
visti» sono disponibili all’indirizzo:
www.infotechtcs.ch.
oggi samaritani 1/10
Attualità dalla Federazione
10
Una chiacchierata con la Presidente centrale Monika Dusong
Le attività vanno sincronizzate
Sono tre le tematiche principali che la Presidente centrale Monica Dusong mette al centro degli
obbiettivi per il 2010: 1. legami e sinergie più intensi tra le attività dell’Organizzazione centrale,
delle Associazioni cantonali e delle Sezioni; 2. una discussione approfondita sulle alternative di
finanziamento dell’Organizzazione centrale e 3. l’entrata nell’era dell’ «e-Learning».
Intervista raccolta da: Eugen Kiener
Red.: Perché parla di sinergie e
maggiori «concatenamenti» nell’
ambito della collaborazione fra i
tre livelli della Federazione?
Monika Dusong: proprio come la
Svizzera, anche la nostra Federazio­
ne dei Samaritani è una creazione
complessa che conta tre entità, tre
livelli. In questo senso è molto im­
portante che riusciamo tutti assieme
ad «armonizzarci». La collaborazio­
ne tra i livelli federativi si svolge, a
dipendenza dei vari compiti e servi­
zi, su diversi piani: ad esempio,
l’Organizzazione centrale fornisce
una parte delle sue prestazioni diret­
tamente alle Sezioni Samaritane
quando invia loro le nuove docu­
mentazioni per i corsi oppure quan­
do forma i quadri delle Sezioni.
Altre prestazioni vengono indi­
rizzate ed eseguite per le Associa­
zioni cantonali, le quali – a loro
­volta – utilizzano poi gli input
dell’Organizzazione centrale per
fornire servizi alle loro Sezioni.
Il tutto, insomma, funziona come
un grande ingranaggio. Seguendo
questa immagine, è importante al­
oggi samaritani 1/10
lora che ogni ruota dell’ingranaggio
intersechi l’altra in modo giusto e
sincronizzato, dandole slancio ed
energia per «ruotare» a sua volta in
modo ottimale; le ruote non devono
bloccarsi a vicenda.
Essere pronti ad accogliere impulsi
dalla FSS
Dove si possono ancora intravedere
migliori sinergie?
Per la prima volta, l’Organizzazione
centrale ha elaborato per il 2010 un
programma di attività che definisce
in modo chiaro cosa ci si aspetta dai
tre livelli della FSS. Ovviamente,
come noto, questo programma è
stato dapprima discusso dai rappre­
sentanti delle Associazioni cantona­
li e poi approvato dall’Assemblea
generale dei Delegati a Kloten. Ma
questa votazione positiva non rap­
presenta solamente un «SI» al Pro­
gramma di attività della FSS. Ques­
to «SI» significa anche che sia
le Associazioni cantonali che le
­Sezioni sono pronte e in grado di
­accogliere gli impulsi provenienti
dall’Organizzazione centrale.
Affinché la FSS possa raggiungere
gli scopi e gli effetti desiderati, dob­
biamo ben valutare ed accordarci
sulle nostre offerte, dosarle ed orga­
nizzarle bene. Dobbiamo in sintesi
armonizzare tutto quello che faccia­
mo sui 3 livelli: Organizzazione cen­
trale, Associazioni cantonali e singo­
le Sezioni.
La creazione di sinergie è stata
uno degli argomenti più importanti
della scorsa Conferenza d’autunno.
Si è in particolare evidenziato che
tutti noi possiamo ancora fare pro­
gressi nell’accogliere e nel mettere a
frutto le offerte. Non c’è infatti nes­
sun senso nel trovare o fare cose
nuove, quando quelle già presenti
non vengono utilizzate o lo sono
troppo poco. Per questa ragione,
solo per fare un esempio pratico, de­
sideriamo che le Sezioni Samaritane,
ma anche le Associazioni cantonali,
conoscano bene e imparino i conte­
nuti della «Cassetta degli attrezzi» e
che la utilizzino in modo intensivo.
Buon Anno
Di cuore, auguro a tutte le
Samaritane e i Samaritani un Buon
Anno Nuovo, con tanta salute,
incontri gioiosi ed arricchenti e
nuovo entusiasmo!
Ha citato «e-Learning»: in futuro è
pensabile frequentare un corso di
Primi soccorsi da casa, seduti davanti al PC?
Non tutto si può fare al PC: molte
cose bisogna esercitarle in pratica.
Solamente quando i gesti di soccor­
so vengono effettuati e ripetuti di
persona e in concreto, si impara ad
aiutare in modo sicuro ed efficiente.
Tuttavia alcuni concetti teorici pos­
sono essere facilmente trasmessi ed
appresi grazie a «e-Learnig».
Dobbiamo stare al passo con i
tempi e sfruttare i progressi tecnolo­
gici dove questo ha senso. «E-Lear­
ning» può essere impiegato sia per
l’istruzione dei nostri quadri come
pure in occasione dei corsi per la po­
polazione. Attraverso l’utilizzo delle
nuove tecnologie possiamo rendere
moderni ed attrattivi i nostri corsi,
accorciarne la durata e quindi pure
il costo. Tutto ciò a beneficio anche
delle Sezioni e allo scopo di sostene­
re il nostro primo posto quali mo­
derni fornitori di formazione per i
laici.
Quando arriverà «E-Learning»?
Il progetto è in fase embrionale, ma
non dovremmo perdere il treno…
Sarebbe davvero bello se potessimo
essere pronti per il 2013, anno del
nostro Giubileo.
Unificare ed armonizzare anche
l’immagine verso il pubblico
Di cosa di occuperà ancora la FSS
nel nuovo anno?
Nel 2013 la FSS festeggerà il suo
125esimo anniversario di esistenza.
Vogliamo sottolineare questo impor­
tante traguardo in modo che ci siano
effetti permanenti, sia al nostro in­
terno, che verso l’esterno. Stiamo già
facendo i primi preparativi: il Comi­
tato centrale ha in questo senso già
fatto una lista di prime idee, e deside­
ra pure invitare chi ha delle proposte
interessanti a comunicarcele. Proprio
su questo tema, verrà pubblicato
prossimamente un sondaggio sul
sito www.samaritani.ch .
In seguito, ci chineremo anche
sulla tematica dei loghi dei Samari­
tani, avendo cura di lavorare per
un’armonizzazione grafica di quest’
ultimi al fine di migliorare la nostra
immagine e rafforzare il nostro pro­
filo verso il pubblico. In questo sen­
so è necessario un significativo passo
verso un’armonizzazione, una certa
unità d’immagine.
Con l’obbligo, per gli autisti pro­
fessionisti, di seguire una formazio­
ne continua, i Samaritani hanno
l’occasione di offrire ulteriori corsi.
L’Organizzazione centrale ha colto
la palla al balzo e sta lavorando in
questo senso.
Ci sono altre tematiche, magari già
presenti da tempo, che richiederanno ancora l’impegno della FSS?
Sì, certo, lo sviluppo e il rafforza­
mento delle sinergie tra le Sezioni
Samaritane è uno di questi temi.
Non dobbiamo sciupare le nostre
energie portando avanti singolar­
mente ognuno le proprie novità o
attività, credendo di riuscire da solo
a svolgere tutti i compiti e le incom­
benze. Qui possiamo ancora fare
progressi e invito tutte le Sezioni ad
almeno provare a rivolgersi alle Se­
zioni vicine, constatando come –
spesso – uniti in un progetto si possa
essere più forti.
Un gruppo Help per ogni Sezione
Mi sta molto a cuore la promozione
dell’attività e del movimento giova­
nile. Il mio forte desiderio è che ogni
Sezione riesca sempre ad istituire un
suo gruppo giovanile e che un rap­
presentante di questo gruppo sieda
dei comitati sezionali. I giovani sono
pronti ad assumersi delle responsa­
bilità.
Poi dovremmo, e in modo urgen­
te, poter eleggere più rappresentanti
della Romandia nei nostri gremi, a
cominciare dal Comitato centrale.
Al momento, non c’è infatti la neces­
saria garanzia che il flusso di infor­
mazioni tra l’Organizzazione cen­
trale e la Romandia funzioni.
Infine dovremmo inserire in modo
stabile la cura dei malati nei nostri
programmi di corsi. Quest’anno i
corsi di «Cure a domicilio in caso di
pericolo di contagio» non hanno
avuto molto successo. E’ però im­
portante che la popolazione appren­
da a prendersi cura correttamente
dei malati per essere preparati in
caso di necessità o urgenze. Le basi
delle cure dei malati dovrebbero far
parte di una formazione base di ogni
cittadino, come i principi dei primi
soccorsi.
n
Attualità dalla Federazione
Le entrate sono troppo dipendenti
dai corsi effettuati
Qual è il problema maggiore nel
f­inanziamento dell’Organizzazione
centrale?
Diversamente da altre associazioni,
le prestazioni e i servizi dell’ Orga­
nizzazione centrale della FSS non
sono finanziate dagli importi e da
contributi dei soci, bensì dipendono
unicamente dal numero dei corsi di
Primi soccorsi effettuati. In questo
senso, le nostre finanze poggiano
su una base… relativamente insicu­
ra. Questo tema è stato affrontato
per la prima volta durante la scorsa
Conferenza d’autunno. Sono state
valutate e soppesate – dal punto di
vista della fattibilità e dell’ accetta­
zione – alcune alternative e forme
di finanziamento diverse. Alcune
proposte verranno valutate e il
tema resterà d’attualità anche nel
2010.
11
Usare i mezzi ausiliari già esistenti; approfittare delle buone idee
Cosa significa in concreto per le Sezioni, sviluppare sinergie nelle attività?
L’Organizzazione centrale come pure le Associazioni cantonali si aspettano
da ogni Sezione che quest’ultima utilizzi effettivamente le offerte da loro
proposte. Rivolgo qui un appello alle Associazioni e alle Sezioni: dovrebbero
aiutarsi e fare in modo che i loro programmi di attività, approvati dalle
rispettive assemblee, siano effettivamente realizzati.
Per aiutare le Sezioni, offriamo loro molti «strumenti» messi a disposizione
dall’Organizzazione centrale, come ad esempio le tecniche per reclutare
nuovi soci, come fondare un Gruppo Help, come migliorare la pubblicità
verso l’esterno, ecc. Basta curiosare nei documenti da scaricare dal sito
www.samaritani.ch (Download Menu) o chiedere ai collaboratori del
Segretariato centrale (telefono: 062.286.02.00).
Non sempre bisogna escogitare nuove cose: spesso basta agire con i mezzi a
disposizione per realizzare e portare avanti attività di successo, come ad
esempio l’offerta di corsi nelle scuole. Molte Sezioni sono attive in questo
senso già da anni e con soddisfazione.
Solo se saremo capaci di lavorare ancora meglio, mano nella mano e nella
stessa direzione, la nostra posizione quale organizzazione laica nel settore
del soccorso sanitario resterà la più forte.
oggi samaritani 1/10
Attualità dalla Federazione
3domande
12
Perché non un «Buono
regalo» per un corso?
Lea Meier
«Una comunità … di varie
organizzazioni»
«Tutti fratelli – vivere e sperimentare
in comune», questo è il motto del
Campo HELP di Pentecoste che si
svolgerà in maggio ad Heiden, Can­
ton Appenzello, in concomitanza con
il 100esimo anniversario dalla morte
del lungimirante Henry Dunant, fon­
datore del movimento della Croce
Rossa, esteso ora a livello mondiale. Il
Campo sarà organizzato dalla Federa­
zione svizzera dei Samaritani (FSS). Il
Comitato d’organizzazione è com­
posto anche da volontari dei movi­
menti giovanili della Croce Rossa
Svizzera (CRS). La redazione di Olten
ha chie­s to alla responsabile del pro­
gramma Lea Meier, di Basilea, i con­
tenuti principali dello stesso.
ds.
Qual è l’idea di base che sta dietro al
programma?
Sull’arco dei tre giorni, cercheremo di
costruire idealmente un ponte tra le
varie organizzazioni, creando delle
comunità tra i partecipanti. Al sabato
si inizia all’interno delle proprie orga­
nizzazioni: Help, Società Svizzera di
Salvataggio (SSS), Società svizzera
delle Truppe sanitarie e movimenti
giovanili della CRS. Alla sera tutti i
partecipanti si incontrano per la pri­
ma volta per una fiaccolata in comu­
ne. La domenica sono previsti dei
Workshops e un programma volto a
conoscere i sette principi della CR,
mentre il lunedì, all’insegna del motto
«Tutti fratelli», è previsto il grand fi­
1
oggi samaritani 1/10
nale … Ma su questo non diciamo
ancora nulla!
Quali sono i punti forti del Campo in
relazione all’importante giubileo?
Oltre al concerto della domenica sera,
citerei qui senz’altro l’ampio ventaglio
di Workshops che offriremo, a scelta,
ai partecipanti. I temi sono variati, sia
teorici che pratici: dalla conoscenza
della CR e della vita di Henry Dunant,
fino all’impegno sociale o a lavori pra­
tici nell’ambito dei pompieri, del nuo­
to di salvataggio o del massaggio car­
diaco, senza dimenticare workshops
meno impegnativi e più divertenti
come il teatro o i giochi africani.
2
Chi sono i membri di comitato?
Come si svolge il lavoro di preparazione?
L’allestimento del programma viene
effettuato da un apposito gruppo di
lavoro, che esamina assieme le prime
idee fino al perfezionamento delle più
valide. In questo gruppo c’è almeno
un rappresentante di ogni organizza­
zione. Contemporaneamente curia­
mo la collaborazione e i contatti con
le Autorità sul posto, quelle di Hei­
den: comuni, istituzio­ni, scuole e la
società «Dunant-Anno 2010 Heiden»
del Museo Dunant. Da tutti questi
enti, percepiamo un grosso impegno
e una grande voglia di partecipazio­
ne. Altre informazioni sul sito:
www.pfila2010.ch
3
Anche se le festività natalizie sono
appena concluse, non è troppo tardi
per lanciare a tutti voi un’idea; idea
che mi è stata formulata da un caro
amico (Jacques Küng, presidente
dell’Associazione cantonale Glarona)
e che propone la creazione dei «Buo­
ni regalo» nell’ottica di migliorare ul­
teriormente la comunicazione e l’of­
ferta dei corsi proposti dalle vostre
Sezioni. Pensate: i coniugi svizzeri
spendono ogni anno in media 562
franchi a testa per regali (di Natale,
ma anche per altre numerose ricor­
renze). Che ne dite? E se le Sezioni
samaritane riuscissero ad entrare in
questo «mercato»? Possiamo contare
sui nostri Samaritani, attivi e passivi,
quali ambasciatori dell’azione dei
«Buoni regalo»? Pensate a quanti
ambasciatori abbiamo a disposizione
per promuovere tramite tutte le Se­
zioni svizzere un’azione di gennaio
incentrata su «Buoni regalo» per la
partecipazione, ad esempio, ad un
corso soccorritori (e/o altri corsi)
presso la vostra Sezione. Tutti i Sa­
maritani hanno dei «fuochi» fami­
gliari, delle conoscenze e degli amici,
quindi molti hanno la possibilità di­
vulgare a genitori, nonni, madrine e
padrini, ecc. e far acquistare il «Buo­
no regalo» da dedicare ai giovani che
vogliono o devono partecipare al
corso soccorritori. Inoltre, il Comitato
della Sezione può chiedere ai Comuni
della propria regione – specificando
la bontà dell’iniziativa – gli indirizzi
dei giovani d’età compresa tra i 14 e
15 anni. Quindi si procede con l’invio
di una lettera, tipo quella spiegata nel
numero scorso di «oggi Samaritani»
(Azione di Natale 1). L’impegno pro­
posto alla Sezione è notevole, ma ne
vale la pena. Vogliamo provare? Vi
auguro un Buon Anno Nuovo!
Renato Lampert
Vicepresidente della FSS
Divertimento e sicurezza
da gennaio a dicembre.
ivo
Esclus
25 anni
per i 16 a
il soccorso stradale
del TCS per
CHF’an6no6.–
all
si o di
corsi 2-fa
perfeziona
buono di CHF
Validité du
50.–
bon:
ion
ation
mat
fform
e for
cour s de
nnement
• pour un
de perfectio
usbi ldun g
2 phases ou
Zweipha sena
la date de
gsku rss
2 ans dès
• für eine
WN CLU B
• dura nt
Weit erbi ldun
m
au COOLDO
oder einen
datu m im
souscription
s
nach Beit ritts
cour
re
de
s
Jah
2
jour
•
• tous les
CLU B
présentation
cour s, sur
COOLDOWN
e de
• le jour du
et de la cart
Kur stagen
n
cheiin
ive du bon
Gutssche
• an allen
gt
érat
imp
edin
stag unb
n
en
eise
• am Kur
membre
rkar te vorw
ou sur
r
und Mitg liede
.bon s.tcs.ch
aupr ès
• sur www
vationen unte
hone
eser
télép
ne-R
par
oderr per
• Onli
réservat ion
ine.t cs.ch
ssou s
n
nden
ende
tehe
choi si ci-de
www.gut sche
nach steh
du cent re
tres bons
einem der
Telefon in
le avec d’au
la le
labl
entr en
• cumulab
Ausbildu ngsz
ren
bar mit ande
• kumulier
nen
Gutschei
t:
Gültig kei
Validità:
fasii o
ne 2 ffas
ione
azio
ffor maz
corso dii form
• per un
namento
oscr izione
di perfezio
a data di sott
alla
dall
id
• due ann
CLU B
WN
LDO
nto del
al COO
di svol gime
siasi data
• per qual
corso
igo di
del corso, obbl
socio
tessera di
• il gior no
la
e
o
il buon
presenta re
su
ione onli ne
per telefono
• prenotaz
s.ch oppu re
di
www.buoni.tc
indicati qui
dei cent ri
presso uno
segu ito
buon i
i le con altri
la ile
labi
• cumulab
driver membercard
BE
Jenny Mustermann
Data di emissione:
Validità:
original
original
Numerosi sconti perman
enti dai nostri partner
e molti altri vantaggi su
ww w.cooldownclub.ch!
{
{
mento
012.811.837
15.08.2008
14.08.2009
Attualità dalla Federazione.
Luce blu e sirena
alternata sono
riservate per
questi veicoli
14
Quali sono le regole per le luci blu e le sirene ad alternanza
Quando Kojak passa col rosso a
­sirene accese
La mano che esce dal finestrino dell’auto in corsa folle, posiziona la luce blu sul tetto, si inserisce
la sirena … Le ruote stridono sull’asfalto quando il tenente Kojak schiaccia il pedale del gas e
passa col rosso i semafori della grande Manhattan; allora negli spettatori della fortunata serie
televisiva sale l’adrenalina e il divertimento! Tuttavia, quello che vale per i poliziotti come Kojak,
per i Pompieri, per le ambulanze e per i veicoli di servizio sanitario, non vale per i Samaritani!
Un Samaritano lettore della nostra
rivista ci ha fatto pervenire un rap­
porto di un incidente stradale avve­
nuto a Basilea, nel quale un’automo­
bile privata equipaggiata di luci blu
e sirena ha attraversato con il sema­
foro rosso un incrocio sfiorando pe­
ricolosamente un altro veicolo. Alla
Polizia, in sede di protocollo, l’igna­
ro automobilista ha confessato di
essere Samaritano nel suo tempo li­
bero e di non aver assolutamente
saputo che luci blu e sirena sono
­riservate esclusivamente ai veicoli
della Polizia, dei Pompieri (servizi
antincendio) e di determinate orga­
nizzazioni di soccorso (servizi sani­
tari), nonché ai servizi doganali.
oggi samaritani 1/10
Stando alla sua deposizione, l’ignaro
Samaritano si sarebbe procurato
l’equipaggiamento in Internet e lo
avrebbe montato da solo sulla sua
automobile. Un comportamento il­
legale, non permesso, che è stato poi
punito severamente con il ritiro del­
la patente per alcune settimane e con
una cospicua multa pecuniaria …
Iscrizione nella licenza di circolazione
Le regole in proposito sono fissate in
modo chiaro e inequivocabile dalla
Legge, in particolare nelle direttive
emanate dal Dipartimento federale
dell’Ambiente, dei Trasporti, dell’
Ener­gia e delle Comunicazioni (DA­
TEC) e dal suo Ufficio federale delle
Strade (USTRA) inerenti l’equipag­
giamento con luci blu e sirene (Ordi­
nanza del 19 giugno 1995 concer­
nente le esigenze tecniche per i
veicoli stradali, OETV, art.110).
Inoltre nelle direttive per la costru­
zione e l’equipaggiamento di veicoli
sanitari dell’Interassociazione di sal­
vataggio (IAS) si legge pure che
l’equipaggiamento con luci e sirene è
permesso solamente solo dietro au­
torizzazione dell’Ufficio cantonale
stradale (Autorità d’immatricolazio­
ne) competente e con relativa iscri­
zione nella licenza di circolazione.
Come afferma Michael Müller,
capo del Settore informazione e co­
Quali veicoli sono riconosciuti
come sanitari?
L’equipaggiamento dei veicoli
sanitari comprendente un’installa­
zione fissa di segnali visivi ed
acustici deve essere autorizzata
dalle Autorità cantonali sanitarie
competenti e rispettare le direttive
federali e quelle inerenti l’equipag­
giamento dei veicoli sanitari e di
soccorso dell’Interassociazione di
salvataggio (IAS). Veicoli e
conducenti devono inoltre
appartenere ad un’organizzazione
di soccorso ufficiale e riconosciuta
e devono essere raggiungibili e
collegati ad una centrale di
soccorso cantonale o intercantona­
le. Nella categoria delle ambulan­
ze, rientrano i veicoli di soccorso e i
veicoli medici di primo intervento.
Per tutti gli altri casi (vetture di
intervento con equipaggiamento
particolare, veicoli medici privati,
veicoli per catastrofi in caso di
grandi eventi) valgono invece delle
disposizioni specifiche. ds.
Escluse le esercitazioni dei Pompieri
Reto Rimle, monitore di Sezione
dei Samaritani di Moulen, conosce
bene regole e disposizioni, essendo
già stato comandante del Corpo
Pompieri di Muolen: «I nostri inter­
venti come Firs­tresponder (Gruppo
Samaritani in caso di incidenti) li
effettuiamo con un veicolo Chevro­
let Van dei Pompieri, di colore ros­
so e dotato pure di luce blu e sire­
na.» Cosa, questa – come spiega il
nostro interlocutore – che è possibi­
le solo grazie e tramite il Corpo
Pompieri, altrimenti non si potreb­
be equipaggiare con luci e sirene un
veicolo samaritano. Ed è importan­
te sottolineare che il veicolo viene
impiegato solo in caso di reale ur­
genza. Luci e sirene non possono
assolutamente essere usate in caso
di esercitazione.
Ai veicoli in dotazione alle Sezioni
Samaritane possono essere applicati
i loghi magnetici della Federazione
svizzera dei Samaritani o i loghi del­
la Sezione. Questi loghi sono però
da considerare solo come «pubblici­
tà» o segni di riconoscimento dei
Samaritani e non garantiscono nes­
sun diritto. «Un Samaritano – osser­
va Rimle – non deve né equipaggiare
un veicolo con segnali speciali, né
utilizzarlo, salvo nel caso in cui im­
piega un mezzo dei Pompieri auto­
rizzato, e ciò per un reale intervento
urgente a salvaguardia di persone o
cose di valore.»
Pubblicità sull’auto privata
La Smart con le insegne samaritane
del monitore di corso e di Sezione
Thors­ten Pohl della Sezione Samari­
tani di Dürnten è molto conosciuta
in tutto l’Oberland zurighese: «Da
quando sono in giro con questo vei­
colo – racconta – ho già aiutato al­
cune volte la Polizia, accorsa in caso
di incidente, a regolare il traffico sul
luogo dell’evento. Da allora viaggio
sempre con l’equipaggiamento sani­
tario e un estintore. Il prossimo ac­
quisto potrebbe essere un apparec­
chio AED.»
Attualità dalla Federazione.
Intervento di servizio e urgenza
Ad eccezione delle automobili della
Polizia, l’intervento del veicolo di
soccorso deve essere ordinato da
una Centrale d’intervento. L’urgen­
za che giustifica questi interventi è
data dai casi dove è richiesto un ra­
pido ed efficace soccorso al fine di
salvare la vita di persone: pompieri,
sanitari e/o polizia si mettono dun­
que in moto. Ciò è richiesto anche
nei casi di pericolo arrecato alla si­
curezza pubblica (e quindi necessità
di riportare l’ordine pubblico), nei
casi di salvaguardia di importanti
oggetti di valore oppure nell’inse­
guimento di fuggitivi. In tutti questi
casi, il non rispetto delle regole del
codice stradale e l’applicazione del
diritto di precedenza è permesso
solo se le condizioni del traffico
sono così sfavorevoli, che l’interven­
to di soccorso sarebbe seriamente
ostacolato e quindi compromesso.
Il solo inserimento della luce blu,
non implica nessun diritto di prece­
denza. In principio, questo diritto
diventa effettivo, e anche di notte,
solo con l’attivazione simultanea di
luce blu e sirena. Il conducente può
violare anche i limiti di velocità.
15
Luci intermittenti anteriori sono già
standard
Oggi le luci intermittenti anteriori
installate sui veicoli dotati di luce
blu sono diventati standard anche in
Svizzera (come già in Germania). In
effetti, guardando nello specchietto
retrovisore, a volte risultano meglio
visibili che non la luce sul tetto.
Queste luci frontali sono permesse
solo sui veicoli di soccorso e solo
come accessorio.
n
Dominik Senn
La pubblicità sul veicolo del
Samaritano Thorsten Pohl non è
solo permessa ma anche utile
Bild: zVg.
image: Patrick Lüthy
municazione della Direzione dell’Uf­
ficio federale delle Strade (USTRA),
i veicoli permessi circolanti con luci
blu e sirene comportano – conside­
rato il loro diritto di precedenza –
un maggior ris­chio per gli altri uten­
ti della strada e per il traffico in
generale, ma anche un elevato peri­
colo per il veicolo stesso. I condu­
centi di questi veicoli possono «vio­
lare» le regole del codice stradale.
«Tuttavia», ammonisce Müller,
«luci e sirene possono essere usate
solo se il servizio è veramente urgen­
te e quando le regole stradali non
possono davvero venir rispettate.»
oggi samaritani 1/10
Concordia – Gordevio
Sezioni, Associazioni
Fondato il quarto Gruppo HELP del Ticino
16
Lo scorso 29 ottobre presso la sede
Samaritani Concordia di Gordevio
si è tenuta la fondazione ufficiale
del Gruppo Help «Giovani Samaritani» alla presenza di 18 ragazze e
ragazzi fra gli 8 e i 18 anni su un
totale di 22 iscritti, accompagnati
da buona parte dei loro genitori.
Alla prima lezione di prova erano
presenti ben 20 ragazzi, tutti volonterosi, entusiasti e ben disposti. Ciò
che lascia ben sperare per il futuro!
All’importante e significativa cerimonia di saluto e fondazione,
hanno preso la parola il presidente
della Sezione, il vice sindaco di Gordevio signor Mario Laloli, il vice
sindaco di Maggia Aron Piezzi e il
rappresentante del Ticino nel Comitato centrale della Federazione svizzera dei Samaritani (FSS) a Olten
signor Renato Lampert.
Tutti hanno espresso parole di
incoraggiamento e di lode ai giovani presenti, che hanno deciso di
mettersi a disposizione per apprendere, anche divertendosi, la base
dei primi soccorsi.
Parole di lode sono state rivolte
anche agli organizzatori, in particolare alla famiglia Bonetti, che hanno dato un validissimo contributo
per il raggiungimento della creazione di questo Gruppo; creazione che
da tempo era un progetto nel casset-
to della Sezione Concordia. La simpatica cerimonia si è conclusa con
un piccolo aperitivo offerto dalla
Sezione.
Il neo costituito Gruppo Help
viene ad aggiungersi ai tre già attivi
in Ticino, ossia quelli di Bodio-Personico-Pollegio, quello di LodrinoProsito e quello di Tenero-Contra.
Giovanni Maddalena
Tenero-Contra
Esperienza di gestione di un Gruppo
HELP in Ticino
in cui ognuno ha la possibilità di
esercitarsi. Nel gruppo si impara a
colla­borare e a scambiarsi opinioni
per trovare la soluzione migliore per
affrontare un caso reale.
Un incontro si svolge solitamente
nel seguente modo: si dà il benvenuto, si affronta una piccola lezione di
teoria, si fa pratica a gruppi, ci si riunisce per una valutazione dell’attività e si fa merenda tutti assieme.
Nel corso dell’anno vengono pure
proposti momenti ricreativi per co-
noscersi meglio e stare assieme divertendosi. Per esempio si sono organizzate un’escursione a Cardada
con corsa d’orientamento e una
giornata al Nara a slittare.
Lo scorso settembre alcuni ragazzi hanno partecipato alle Gare
­Samaritane a Rebstein con esito
­positivo: è stata anche l’occasione
per esibire le nuove magliette del
gruppo.
Linda Cavagna
foto: di Moreno Rubbi
Il Gruppo Help di Tenero-Contra da
un anno a questa parte è gestito da
quattro giovani Samaritani di età
compresa fra i 17 e i 19 anni.
Il gruppo si riunisce a scadenza
mensile, solitamente la domenica
pomeriggio dalle 16 alle 18, presso
le Scuole elementari di Tenero. Le
attività sono rivolte a ragazzi dagli
11 ai 16 anni motivati e interessati al
primo soccorso. Quest’anno sono
iscritti 25 ragazzi.
Le attività comprendono aspetti
del soccorso tratti dal corso soccorritori ed esercizi pratici presentati
sotto forma di situazioni o di giochi.
Si lavora per lo più in piccoli gruppi,
oggi samaritani 1/10
Canobbio
«Ten botta» – scrivo a nome mio,
ma parlo della mia Sezione Samaritana di Canobbio, una Sezione che
ha vissuto alti e bassi, ma che finora
ha «tenuto botta». Abbiamo pure
potuto convincere la nostra presidente a restare in carica, ma purtroppo non abbiamo registrato nuovi arrivi … in un certo senso, stiamo
invecchiando … La nuova arrivata
dello scorso anno si è dimostrata valida come revisore e speriamo di poterla convincere a rimanere come
cassiera, qualora il nostro cassiere –
preso da molti impegni – proprio
non ce la farà più. Così i soliti impegni ed incarichi della Se­zione ricadono sui pochi attivi rimasti. Ciò
nonostante abbiamo svolto un ricco
programma, composto da: vari picchetti (che hanno soddisfatto le esigenze dei richiedenti), una gita di
due giorni offerta ai compaesani,
abbiamo organizzato l’esercizio
all’aperto in giugno (presso «la vaccherie», una specie di «dacia russa»
di Berto Pedrini, il nostro socio più
anziano, a Trevano) esercizio organizzato anche per le Sezioni consorelle di Comano e Massagno; abbiamo poi allestito una speciale
bancarella per sottolineare il nostro
55esimo di attività.
Ma non è tutto: agli anziani di
Canobbio, abbiamo offerto l’entrata
gratuita al teatro dialettale locale
con la partecipazione di oltre 50
annun­ciati, per alcuni di loro abbiamo pure organizzato il trasporto.
Inoltre la nostra Sezione ha partecipato all’autunno canobbiese ed ha
allestito una tombola, nonché organizzato il Convegno intersezionale
(era invitata anche la Sezione di Comano, con la quale collaboriamo
Rianimazione cardio-polmonare: anche con l’età, si riesce...
molto bene, anche se non è nello
stesso Distretto). I partecipanti sono
stati una trentina. L’esercizio inscenava un incidente stradale: a giudizio dei presenti è stato molto utile
ed ha incontrato la soddisfazione dei
partecipanti. In particolare, ci ha
fatto piacere che i presenti, una volta concluso l’esercizio, non si sono
dileguati subito, ma hanno avuto
pia­cere a soffermarsi per uno scambio di vedute e due chiacchiere in
compagnia. Inoltre, queste occasioni ci permettono, se ce ne fosse bisogno, di constatare come Samaritani
anziani e giovani possono ben lavorare assieme! La più anziana partecipante al nostro Convegno ha 75
anni ed è assolutamente ancora in
piena forma! Trasporta la barella, a
fianco magari di una Samaritana
più giovane, appena 20enne! Il nostro socio più anziano Berto Pedrini
insegna ed ha insegna­to benissimo il
nodo samaritano ai più giovani.
In dicembre, abbiamo poi allietato il pomeriggio ricreativo per i pen-
Un Samaritano 72enne insegna il nodo samaritano ad una giovane di 20 anni, mentre
una futura Samaritana di 9 anni osserva
sionati di Canobbio ed abbiamo
partecipato con due bancarelle al
mercatino della festa di Natale del
paese.
Oltre a tutto questo, ogni anno e
come tutte le Sezioni, abbiamo in
­calendario la nostra assemblea,
l’esercizio mensile, le riunioni mensili di comitato, la partecipazione
alla Giornata del Malato, la grigliata presso il monitore, le visite per il
compleanno dei più «attempati» e la
cena per il comitato e i soci attivi nei
picchetti! Una bella e variegata attività, insomma!
Il nostro maggior incoraggiamento, sono le testimonianze di affetto e
di gratitudine che riceviamo nello
svolgimento di queste attività.
Questo ci dà forza e speranza per
continuare, augurandoci di poter
proseguire ancora per molti anni,
dato che purtroppo veniamo a conoscenza di Sezioni che, sempre più
spesso, sono costrette a chiudere la
loro attività. In effetti, penso che
dobbiamo reagire, fare qualcosa e
trovare nuove strategie per convincere soprattutto i giovani ad unirsi a
noi, e a darci – tra qualche anno – il
giusto cambio per poter tener vivo
lo spirito samaritano anche in futuro. Per concludere, auguro a tutti
una buona continuazione, tanta forza e coraggio per «tener botta», auguro soddisfazioni e gratificazioni,
così come noi Samaritani ce lo aspettiamo, vedendo sui visi delle persone che abbiamo soccorso i loro
sorrisi spontanei e la gioia di chi ha
appena ricevuto un bel gesto da parte nostra.
Franca Dotti
Sezioni, Associazioni
Insieme si può, anziani e giovani
­collaborano bene
17
oggi samaritani 1/10
Buono a sapersi
18
Senza la muscolatura
sarebbe impossibile
praticare uno sport.
Anatomia umana, 3
Apparato locomotore attivo
L’apparato locomotore attivo è composto dai muscoli, dai tendini e dalle guaine
tendinee. Senza muscolatura l’essere umano non potrebbe muoversi.
Testo: Brigitte Strahm
Illustrazioni: Huch/Jürgens: Mensch
Körper Krankheit, Elsevier GmbH,
Urban & Fischer Verlag München
I muscoli sono formati da cellule allungate e filamentose chiamate fibre
muscolari o fibrocellule. Queste determinano il movimento, il battito
cardiaco e altre funzioni vitali. Si distinguono tre tipi di tessuto muscolare:
Tessuto muscolare liscio: si trova
nella parete muscolare del tratto gastro-intestinale. La fibra muscolare
liscia possiede un nucleo unico, centrale e allungato, talvolta ramificato.
La sua contrazione è lenta e involonoggi samaritani 1/10
taria. Anche allo stato di riposo le
fibre muscolari lisce sono sempre
sotto tensione. La contrazione della
muscolatura liscia avviene autonomamente oppure è prodotta dal sistema neurovegetativo.
Tessuto muscolare striato: costituisce l’intero sistema della muscolatura scheletrica. Le contrazioni delle
fibre muscolari striate dipendono
dal sistema nervoso centrale e sono
in gran parte volontarie.
Il miocardio, un muscolo striato
particolare
Il miocardio, o muscolo cardiaco, ha
una struttura simile a quella dei muscoli striati. Osservandolo al micro-
scopio si noterà la striatura tipica
della muscolatura scheletrica, ma
anche delle cellule dotate di un nucleo centrale, come quelle della muscolatura liscia. Come la muscolatura liscia la muscolatura cardiaca è di
tipo involontario.
Nel presente articolo ci occuperemo dei muscoli striati, o muscoli
scheletrici. Il corpo umano ne comprende circa 400, alcuni dei quali
sono formati da parti distinte. La
muscolatura dello scheletro consente la mobilità, come camminare o
correre, oppure dei movimenti localizzati, come afferrare un matita.
I muscoli compongono circa il 45
percento della massa corporea e
consistono in cellule altamente spe-
cializzate dotate di quattro proprietà fondamentali:
• eccitabilità
• contrattilità
• estensibilità
• elasticità
Struttura dei muscoli striati: la muscolatura scheletrica è costituita da
fasci di fibre muscolari avvolti da
tessuto connettivo e attraversati da
vasi sanguigni e nervi. Ogni fascio
conta centinaia di fibre muscolari.
Fibre muscolari: al microscopio appaiono come filamenti la cui lunghezza può raggiungere i 15 centimetri (diametro: 0,1 mm) e che sono
in grado di contrarsi. Un’unica fibra
muscolare può contenere fino a mille nuclei. Si rilevano inoltre un’alternanza di bande chiare e scure perpendicolari all’asse della cellula: a
questa particolarità si deve il termine «fibra muscolare striata».
I muscoli dello scheletro sono per
lo più ancorati in due punti. La parte meno mobile si chiama inserzione
d’origine e quella mobile inserzione
terminale. La parte centrale del muscolo è detta ventre muscolare.
Contrazione dei muscoli scheletrici:
la muscolatura scheletrica si contrae
grazie a un impulso nervoso. Ogni
fibra muscolare è collegata a un neurone, detto motoneurone, che le tras­
mette degli impulsi nervosi provenienti dal cervello. Sotto l’effetto
della contrazione, che può essere rapida e vigorosa, il muscolo striato
può accorciarsi della metà.
I muscoli sono in grado di contrarsi, ma per allungarsi è necessaria
l’azione di un altro muscolo, capace
di agire in senso opposto e perciò
detto antagonista. Ogni articolazione del corpo umano dispone di coppie di muscoli antagonisti (flessori
ed estensori); quando uno di essi si
tende l’altro si rilassa, poi si contrae
per far tornare il primo nella posizione iniziale.
sorridere sono necessari 17 muscoli
del viso. Per un’espressione imbronciata ne sono necessari addirittura
una quarantina.
I nome dei muscoli dipende dalla
zona in cui sono situati, dalle loro
dimensioni, dal numero, dall’origine
e dalla forma. Così ad esempio il
trapezio, uno dei muscoli più grandi
del corpo umano. Esso si estende
dalla regione cervicale fino alla scapola e alla clavicola. È fissato sui
processi spinosi delle vertebre cervicali e toraciche ed ha forma triangolare. I due muscoli trapezio (uno in
ogni lato del corpo) danno origine a
una forma trapezoidale.
Interazione dei
muscoli estensore
e flessore del
braccio.
Forme di muscolatura scheletrica: i
muscoli hanno forme e dimensioni
diverse. Uno dei muscoli più piccoli
fa muovere il globo oculare. Tra i
muscoli più grandi rientrano i muscoli delle cosce, della schiena e delle
natiche. I muscoli delle estremità
hanno forma affusolata, mentre altri, come i muscoli del ventre, sono Tono muscolare: Anche quando
piatti. I muscoli del viso sono anche sono a riposo i muscoli sono sottodetti muscoli mimici e si innestano posti costantemente a impulsi nersotto la pelle del viso. La mimica è vosi. Questi determinano una tenresa possibile dal movi… e dell’innervazione di una fibra muscolare.
mento contemporaneo di
diversi muscoli facciali. Per
Sezione di un muscolo dello scheletro …
oggi samaritani 1/10
Buono a sapersi
sione detta tono muscolare, che è ad
esempio responsabile della postura
eretta del corpo umano. Il tono muscolare della muscolatura della nuca
fa sì che quando siamo seduti la testa non ricada in avanti né all’indietro.
Se si recide il nervo di un muscolo
si verifica una perdita di tono muscolare; ne consegue una paralisi del
muscolo, che diviene flaccido. La
marcia favorisce la trasmissione degli impulsi nervosi, inducendo un
accorciamento del muscolo e un aumento del tono.
20
Contrazione isotonica e isometrica:
La contrazione isotonica (a tensione
costante) si ha quando un muscolo
si accorcia e genera un movimento.
Questo avviene ad esempio quando
muoviamo le gambe e camminiamo.
Nella contrazione isometrica il
muscolo sviluppa tensione ma non si
accorcia, o lo fa solo minimamente.
In tale caso non si produce alcun
movimento anche se si consuma
energia. Questo ci consente ad esempio di portare una borsa sul braccio.
Muscolatura maschile e femminile:
gli uomini hanno una massa muscolare molto maggiore rispetto alle
donne. Ciò è dovuto all’ormone sessuale maschile, il testosterone, che
agisce notevolmente sullo sviluppo
muscolare. Anche la forza muscolare differisce molto nei due sessi: le
donne raggiungono solo il 65% della forza dell’«uomo medio».
Lavoro muscolare: per funzionare, i
muscoli hanno bisogno di energia,
che viene prodotta per degradazione del glucosio in presenza di ossigeno. Attraverso tale processo
metabolico l’organismo produce
costantemente calore. Nella fase di
riposo, il 20% del calore viene prodotto dall’attività muscolare, come
ad esempio il lavoro compiuto per
mantenere la posizione eretta o seduta, oppure per trasportare un oggetto.
Durante l’attività fisica, la produzione di calore dei muscoli può raggiungere oltre il 90%.
Se la temperatura corporea diminuisce, l’organismo si difende cer-
cando di produrre calore attraverso
un’attività muscolare: i brividi.
I tendini e la guaina tendinea
Tendini: strutture fibrose che ancorano i muscoli alle ossa. I tendini
possono essere molto lunghi, come
quelli dei muscoli delle dita della
mano, che terminano a livello
dell’avambraccio e attraversano
quindi il polso e le articolazioni delle
dita.
Guaina tendinea: i tendini sono avvolti da una guaina connettivale detta guaina tendinea, contenente una
sostanza lubrificante. La guaina tendinea non solo stabilizza i tendini,
ma impedisce il loro sfregamento
contro i muscoli, i nervi, i vasi sanguigni e le ossa.
Con il tempo i muscoli che sollecitiamo maggiormente diventano più
forti ed efficienti. Al contrario, se rimangono a lungo inattivi, i muscoli
si atrofizzano e diminuisce la loro
funzionalità. Per questo un allenamento regolare della forza muscolare è molto importante. n
Felix Pfammatter alla meritata pensione
Da Mister 144 a Mister Expo
A fine 2009, Felix Pfammatter lascerà il suo lavoro nella sede di Olten
per entrare al beneficio della meritata pensione, concludendo così la sua
collaborazione con il Segretariato
centrale della FSS. Felix è stato responsabile sia del Servizio vendita
come pure del Settore corsi, settori
dove ha sempre saputo prestare la
sua preziosa consulenza. In questi
campi di attività, Felix Pfammatter
ha elaborato pure delle basi di lavoro
importanti che ora possono venir
utilizzate nell’offerta di corsi, come
ad esempio quello per gli autisti professionisti. Più di 1000 Samaritani
hanno avuto l’occasione di conoscer-
lo sull’arco dei 159 giorni di Servizi
sanitari presso l’Expo 2002. Di lui,
si è avuto modo di apprezzare il suo
impegno per la causa samaritana, le
sue capacità organizzative e la sua
gioia e voglia di fare. Una persona
sempre disponibile e pronta ad ascoltare.
Originario del Vallese, Felix in
gioventù è stato attivo nel soccorso
aereo e, nell’ambito delle istituzioni
di primo intervento, ha partecipato
attivamente alla creazione del numero d’emergenza 144. Più tardi, a Basilea Città, è stato per anni a capo
del Corpo di soccorso, formato da
una settantina di uomini. Entrato
alle dipendenze della FSS, aveva già
alle spalle una solida e lunga esperienza, anche nel settore
samaritano: è stato
infatti a lungo socio
della Sezione di Riehen di Basilea e,
successivamente, ha
portato all’istituzione dell’Associazione cantonale basilese, unendo i Samaritani di Basilea
campagna e di Basilea città; Associazione che ha poi anche presieduto
per diverso tempo. Eugen Kiener
Impressum
«oggi samaritani»
1/2010
Editore
Federazione Svizzera
dei Samaritani FSS
Martin-Disteli-Strasse 27
Casella postale
4601 Olten
Telefono 062 286 02 00
Telefax 062 286 02 02
[email protected]
www.samaritani.ch
oggi samaritani 1/10
Segretario centrale: Kurt Sutter
Abbonamenti,
cambiamenti d’indirizzo
per scritto all’indirizzo citato
Prezzo d’abbonamento
Singolo abbonamento
per terzi:
Fr. 33.– annuali
10 numeri all’anno
Tiratura: 5000 copie
Redazione
Eugen Kiener, Dominik Senn
Segretariato: Karin Schmid
Telefono 062 286 02 23
Svizzera Romanda
Chantal Lienert
Ticino e Moesano
Mara Maestrani
Casa Vescovi, 6717 Dangio
Telefono e fax 091 872 17 47
[email protected]
Inserzioni
Kretz AG
Verlag und Annoncen
Casella postale
8706 Feldmeilen
Telefono 044 925 50 60
Telefax 044 925 50 77
[email protected]
www.kretzag.ch
Impaginazione, stampa, spedizione
AVD Goldach
9403 Goldach
Patrick Rohr, Zurigo
«Una battuta per
rompere il ghiaccio»
Testo e foto: James D. Walder
L
e sue comparse alla Televisione
svizzero tedesca in trasmissioni
di successo sono indimenticabili,
siano esse in «Arena» quale abile
conduttore oppure nell’emissione
«Quer» dove, con empatia, ha intervistato molte persone interessanti.
Quindici anni di presenza in TV
hanno fatto di Patrick Rohr una persona nota in tutta la Svizzera tedesca. «Da una parte – racconta Rohr
– naturalmente è bello sentirsi conosciuto ed essere fermato per la strada dalle persone che desiderano parlarmi, ma dall’altra ci sono giorni in
cui desidero solo rimanere anonimo.
Ma appunto, tutto ha un suo prezzo
nella vita.»
Se non avesse vissuto tutti quegli
anni in televisione e in modo così
positivo e se non avesse manifestato
pubblicamente e ripetutamente il
suo talento, le sue capacità e la sua
retorica, oggi Patrick Rohr non sarebbe di certo un brillante direttore
col suo consueto e aperto sorriso –
devo già contare sull’aiuto di cinque
collaboratori. Nel medesimo tempo
ho scritto un paio di libri con consigli utili; libri che sono diventati bestseller. No, a dire la verità non mi
manca il periodo della TV, anche se
è stato davvero fantastico.»
Re della conversazione
Durante le conversazioni, il 41enne
appare autentico ed aperto, schietto.
Parla e racconta in modo interessante, gesticolando, ma sa anche ascoltare molto attentamente. E’ davvero
una fortuna che la Federazione svizzera dei Samaritani (FSS) lo abbia
potuto avere per le sue Giornate
d’Impulso a Olten, in aprile. Nella
sua veste di esperto di «Gioventù e
Sport», a suo tempo aveva frequentato un corso di Primi soccorsi. A
parte ciò, non ha però poi mai avuto
altre occasioni di avvicinarsi al mondo Samaritano.
Ha appena pubblicato il suo nuovo – e secondo – libro dal titolo «So
meistern Sie jedes
Gespräch»
(«Così
gestite ogni conversazione»). Il primo
era intitolato «Reden
wie ein Profi» («Parlare come un professionista»). «Scrivere
libri – confessa spiegando la sua passione – è sempre
stato un mio sogno. Il lavoro in televisione era immediato e ‹sfuggente›,
mentre i libri possono approfondire
e rimangono nel tempo.»
Malgrado la sua lunga esperienza, le sue conoscenze e la sua prepa-
«Ci sono anche giornate
nelle quali desidero rimanere
anonimo.» Patrick Rohr
di un’impresa di comunicazione.
Da quando, appena tre anni fa, ha
lasciato di sua propria iniziativa gli
studi a Leutschenbach per aprire
una sua ditta di consulenza con sede
a Zurigo, il successo è andato sempre in crescendo: «Oggi – conferma
razione, ammette che gli capita ancora, prima di entrate pubbliche,
che il «cuore gli batta forte in gola».
«La maggior parte delle volte – afferma però – dopo la prima frase e/o
una battuta di humor il nervosismo
mi passa. La risata rompe sempre il
ghiaccio e facilita il contatto con il
pubblico, in ogni caso.»
Ritratto
In qualsiasi posto della Svizzera lui
­compare, lo si conosce. Quindici anni
di presenza in televisione hanno il loro
effetto! Patrick Rohr, già moderatore
televisivo, è oggi un affermato autore ­di
bestseller e un imprenditore di successo
nel campo della comunicazione.
21
Giornalista appassionato
Anche se spesso e volentieri si pensa
che Patrick Rohr sia vallesano, in
effetti non è proprio vero. Egli è cresciuto infatti nel Canton Glarona,
dove – ad appena 14 anni – ha fatto
le prime esperienze giornalistiche
scrivendo come collaboratore per­­
il giornale locale «Glarner Nachrichten». L’accento vallesano
(«che però oggi non è così forte
come un tempo», puntualizza il nostro interlocutore) lo ha invece «intaccato» un po’ più tardi, quando
con sua madre e sua sorella si erano
trasferiti da Nestal a Briga. «Come
Teenager per me era molto importante esprimermi, proprio come gli
altri.»
Il mestiere vero e proprio lo ha
imparato a Zermatt, presso la «Radio Matterhorn». Successivamente,
la sua entrata ed ascesa alla Televisione svizzera tedesca è stata notoriamente rapida, folgorante. Poco
dopo la sua partenza dalla tele, ha
addirittura ancora ricevuto il premio del pubblico televisivo quale
«Moderatore preferito della Svizzera». «Quando prendo un impegno,
voglio dare il massimo. Così farò
anche a Olten», afferma convinto
Patrick Rohr.
n
oggi samaritani 1/10
Scarica

Edizione 1/10 del 6 gennaio 2010